Environnement

Réagissant aux dernières déclarations des autorités congolaises Le Fonds Mondial de la Nature (WWF) ne cache pas son inquiétude face au risque de modification des limites actuelles du Parc National de Virunga autour du lac Edouard à des fins d’exploitation pétrolière. Cette inquiétude s’appuie notamment sur les dernières déclarations du Premier Ministre congolais Augustin Matata Ponyo et relayées par plusieurs médias internationaux.

La guerre du pétrole, au propre comme au figuré, est loin de se terminer dans le Parc national de Virunga. Enfoui dans cette partie du Nord-Kivu, l’or noir continue d’être au centre de la controverse entre Kinshasa et l’Unesco. On vient d’apprendre, aux dernières nouvelles, que le sujet était au centre des entretiens entre le Premier ministre congolais Matata Ponyo et le Représentant résident de l’Organisme des Nations Unies pour l’Education, la Science et la Culture, Abdourahamane Diallo.  

Un lion au Gabon ! C’est un évènement parce que la dernière fois que le roi de la forêt a été aperçu dans ce pays date de 1996. Et ce fut une femelle. Selon toute vraisemblance, ce fauve serait venu de la RDC.

Le gouvernement de la république démocratique du Congo ne ménage aucun effort pour maintenir le niveau stable des relations que le pays entretien avec des partenaires bi et multilatéraux ainsi que des partenaires techniques et financiers dans tous les secteurs de la vie nationale.  

Il a fallu entendre le départ de Bavon Sam Mputu au Ministère de l’Environnement pour que des années sombres de ce Ministère fassent leurs apparitions. Le dernier cas, c’est la publication du rapport de l’Organisation non gouvernementale «Greenpeace» où cette ONG réputée dans les recherches des traçabilités du commerce de bois, a indiqué qu’il y a un chaos organisé dans le secteur de bois en RD-Congo. Des esprits avertis ne s’étonnent pas que «Greenpeace» revient à charge allant jusqu’à établir sur papier qu’il y a un chaos organisé dans le secteur du bois en RD-Congo.

Abritant le deuxième massif forestier du monde qu’est le bassin du Congo, l’Afrique centrale devra tirer profit des opportunités qu'offre l'industrie forestière pour la transformation des économies de la sous région.

La RDC prend part à la conférence continentale sur le changement climatique d’AfricaInterac prévue du 10 au 12 mars 2015 à Nairobi, au Kenya. Selon Bienvenu Ngoyi, acteur de la société civile environnementale de la RDC, cette conférence réunira les parties prenantes clés dans l’adaptation au changement climatique. Elles vont échanger des vues et forger un cadre de perspective et de collaboration au sein et entre les régions en Afrique afin d’améliorer des décisions politiques pour l’adaptation aux changements climatiques en Afrique.

Les pays de la zone devront évoluer progressivement vers la transformation poussée des produits forestiers, notamment en s’engageant dans des activités de deuxième et troisième transformation desdits produits. C’est là, la recommandation principale des travaux de la 31ème session du Comité Intergouvernemental d’Experts (CIE) de l’Afrique centrale qui s’est achevée à Brazzaville et qui s’est penchée sur le deuxième massif forestier du monde qu’est le bassin du Congo.

La salle des conférences du ministère des Affaires étrangères a servi de cadre le lundi 9 mars 2015, au déroulement de l’atelier de validation des travaux portant sur l’évaluation économique et les scenarii de développement dans le contexte de la Redd+ en République démocratique du Congo.

La République de la Namibie projette la construction d’un parc industriel dans la ville de Lubumbashi, chef-lieu de la province du Katanga en RDCongo. Ce projet a fait l’objet, mardi dernier au gouvernorat de province, de l’entretien entre le vice-gouverneur du Katanga, M. Guilbert Paul Yav Tshibal et l’ambassadeur de ce pays, M. WilbardHellao, en séjour de travail à Lubumbashi.