Le vice ministre des finances Junior Mata, a échangé ce jeudi 23 janvier 2020, avec une délégation du conseil national de la jeunesse (CNJ), dans son cabinet de travail.
L’entretien entre Junior Mata et la délégation de la CNJ, conduite par son vice-président, a porté sur la culture fiscale en République Démocratique du Congo.
Politique
Le député national Muhindo Nzangi de l'Ensemble pour le Changement a, au cours d'une interview accordée ce jeudi 23 janvier 2020 à 7SUR7.CD, déclaré que le jour où le chef de l'État, Félix Antoine Tshisekedi va se détacher de l'ancien président Joseph Kabila, ses jours seront comptés à la tête du pays.
"Le président (Felix Tshisekedi ndlr) est sous l'emprise du FCC, le jour où il va se détacher avec le FCC, il le sait bien, ses jours seront comptés à la tête de l'État " a-t-il fait savoir.
Lors de son séjour à Londres, en Grande Bretagne, où il a participé du 19 au 21 janvier au sommet d'investissement Royaume-Uni-Afrique, le chef de l'État a discuté avec le premier ministre britannique au sujet de la COP26 , indique un communiqué parvenu ce jeudi à 7SUR7.CD. Sommet sur le climat que va abriter cette année le pays de la Sa majesté la Reine Elisabeth 2.
La journée de ce jeudi 23 janvier 2020 au Forum Économique Mondial de Davos (Suisse) a été consacrée à l'Afrique. Deux chefs d'États étaient en honneur. Il s'agit de Félix Tshisekedi et de son homologue ghanéen, Nana Akufo- Ado.
Le tandem congolo- ghanéen a développé son discours autour de la problématique des investissements des africains dans leur pays d'origine.
Le porte-parole du chef de l'État, Kasongo Mwema Yamba Y'amba a rassuré ce jeudi 23 janvier 2020 que le président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo croit toujours à la coalition FCC-CACH.
Cependant, le porte-parole du chef de l'État déclare que ladite coalition ne peut pas passer en premier lieu au détriment des intérêts de la population congolaise.
A en croire une source proche du Sénat et qui a requis l'anonymat, la ministre d'État, ministre des affaires étrangères a répondu récemment à la question écrite lui a adressée par la sénatrice Francine Muyumba relative au rappel définitif des ambassadeurs de la RDC en poste à Genève et New-York aux Nations Unies.
A en croire cette source proche de la chambre haute du parlement qui a eu accès à la correspondance de la patronne de la diplomatie congolaise, celle-ci aurait répondu en des termes traduisant "une incompétence notoire" et il en veut pour preuve :
Dans une déclaration jeudi 23 janvier 2020 à Kinshasa, le chef de file de l'opposition républicaine légitime, Pierre Honoré Kazadi Lukonda Ngube Ngube, candidat malheureux à la présidentielle de décembre 2018 en RDC, note l'insuffisance d'une bonne gouvernance dans la gestion de Tshisekedi.
Pour lui, un chef de l'État ne peut pas prendre les décisions de la nation en dehors du pays.
En réaction suite à la polémique au sujet de la réplique de la Présidente de l'Assemblée Nationale concernant la menace de dissolution du parlement par Félix Tshisekedi, Mgr Ngube Ngube, chef de file de l'opposition républicaine légitime, qualifie de fondée la réponse de Mabunda et demande au chef de l'État de ne pas se laisser faire utiliser par l'Occident.
Devant la presse jeudi 23 janvier 2020 à Kinshasa, Mgr Pierre Honoré Kazadi Lukonda Ngube Ngube, candidat malheureux à la présidentielle de décembre 2018 en RDC, souligne qu'il n'existe pas de crise constitutionnelle en RDC. Pour lui, la crise évoquée par Tshisekedi est une crise entre individus de la coalition au pouvoir.
Lambert Mende Omalanga a apporté son soutien à Jeanine Mabunda qui essuie des critiques, après sa réaction à la menace du président de la République, Félix Tshisekedi, de dissoudre l'Assemblée nationale.
L'ancien ministre de la communication a, dans une interview accordée à 7SUR7.CD mercredi 22 janvier 2020, indiqué que la présidente de la chambre basse du Parlement dans son intervention n'a rappelé que les principes légaux établis en cette matière.