Il a choisi une date symbolique pour l’organiser. Ce 19 août 2016, soit un mois jour pour jour avant le 19 septembre, date prévue par la Constitution pour la convocation du corps électoral en vue de l’élection présidentielle en RDC. Mais que retenir, au final, de cette nouvelle séance de questions-réponses de Moïse Katumbi sur Twitter ? Trois thèmes ont émergé : le drame de Beni, les mesures à prendre pour le développement du pays et, surtout, les questions politiques, prédominantes en cette période pré-électorale.
Quand Moïse Katumbi rentrera-t-il au pays ?
Politique
C’est pratiquement dans la douleur que le facilitateur de l’Union Africaine pour le dialogue en République Démocratique du Congo, Edem Kodjo, a procédé hier mardi 23 août à Béatrice Hôtel, au lancement des travaux du « Comité préparatoire », sur fond des contestations émanant spécialement des activistes de la société civile présents dans la salle.
Aussitôt après son allocution, des voix se sont élevées dans les rangs de la société civile pour dénoncer les méthodes de travail du diplomate togolais.
Avec des calicots, des cris et des chansons hostiles au facilitateur, ces activistes de la Soci
Le Secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, a encouragé mardi tous les acteurs politiques en République démocratique du Congo (RDC) à mettre fin à l’impasse entourant le processus électoral.
Le chef de l’ONU « continue de suive attentivement la situation en République démocratique du Congo (RDC), en particulier l’évolution du dialogue politique.
La seule hypothèse inscrite dans la Constitution de la République Démocratique du Congo - et plus particulièrement, à l’article 76 alinéa 4 - permettant à la Commission électorale nationale indépendante de saisir la Cour Constitutionnelle pour une prorogation du délai d’organisation de l’élection présidentielle est celle qui suppose que la vacance de la Présidence ait été déclarée par cette même Cour Constitutionnelle d’une part et d’autre part, qu’il y ait existence d’un cas de force majeure.
Par le présent communiqué au moment où la Commission électorale nationale indépendante (CENI
Il a lancé hier, mardi 23 août 2016, les travaux du comité préparatoire. Ils devront se dérouler du 23 au 27 août. Et, comme cadre, le choix a été porté sur l’Hôtel Béatrice situé à la Gare Centrale, à la Gombe. Là, durant cinq jours, les personnalités politiques et acteurs de la société civile mandatés et, puis, validés dans ledit comité préparatoire, vont travailler pour baliser le chemin du dialogue.
L’événement était de taille hier, à Béatrice Hôtel, à la Gombe. Edem Kodjo qui, depuis sa désignation en qualité de Facilitateur, a été tantôt enchevêtré dans des préalables à l’infini, tantôt récusé, a, enfin, sonné le tocsin, en installant les membres du Comité préparatoire du dialogue. Plus que jamais, la caravane de la paix portée par les assises du dialogue, a décollé, sans Tshisekedi et l’essentiel des ses anciens et nouveaux alliés.
Flotte-t-il un vent de New Deal sur la toute nouvelle province du Haut- Katanga ? Les Cent jours de Jean-Claude Kazembe inciteraient à croire que la " nouvelle donne " prend corps dans la partie la plus emblématique du "Katanga historique" inciteraient bien à croire .
Plusieurs journaux de la place de Kinshasa ont publié, ces derniers jours et notamment hier, des articles et des points de vue, affirmant que les efforts nécessaires ayant été faits, autant du côté de l’opposition que de la part du Gouvernement et de la Communauté Internationale, le chemin devant conduire au Dialogue Politique National Inclusif était désormais balisé.
Apparemment, rien ne peut plus arrêter le train qui doit permettre à la classe politique congolaise de se rassembler autour d’une table, pour se mettre d’accord sur un calendrier électoral consensuel et régler t
Le facilitateur de l’Union africaine a, par ailleurs, souligné que le dialogue se tiendra conformément à la Constitution et à la résolution 2277 du Conseil de sécurité.
Le Dialogue sera inclusif ou ne sera pas. Au regard des enjeux existentiels auxquels fait face la RDC, cette inclusion est non une simple profession, mais une nécessité vitale. C’est fort de cette donne que l’Opposition républicaine (OR) déclare ne pas être partie prenante dans les travaux du Comité préparatoire du Dialogue, faute justement de la nécessaire inclusion.
Pour porter haut le message de la plateforme dont Léon Kengo est autorité morale, une grande voix. Celle de Charles Bofassa Djema, modérateur de l’OR.