Politique

Réagissant à la réhabilitation du gouverneur Dieudonné Pieme Tutokot par la cour constitutionnelle, l'avocat de l'assemblée provincial, le député Félicien Kalala Mupinganyi qui avait défendu la motion de l'organe délibérant devant la Cour constitutionnelle est contre la position de la Haute Cour. Dans une interview accordée à 7SUR7.CD le vendredi 18 juin dernier, cet avocat a estimé que la Cour a agit « ultra petita », c'est-à-dire, en dehors de la demande du requérant.

Le président de la République Démocratique du Congo, est de retour dans la ville de Goma, chef-lieu du Nord-Kivu depuis la soirée de ce samedi 19 juin 2021. Un retour qui intervient après un périple qui l'a vu séjourner successivement dans la ville de Beni (Nord-Kivu), celle de Bunia en Ituri, ou encore un passage dans la ville commerciale de Butembo. Des sources de la Présidence jointes par 7SUR7.CD, affirment que le chef de l'État s'installe à Goma pour un séjour un peu plus long qui pourrait aller jusqu'au 30 juin prochain.

L'Assemblée nationale n'a pas tardé à réagir au sujet de la publication de l'audio de l'intervention du président de cette institution, Christophe Mboso, lors de la réunion avec des députés nationaux membres de l'Union sacrée de la Nation vendredi dernier à Kinshasa. En effet, dans son allocution relayée par plusieurs médias tant nationaux qu'internationaux, le président de la chambre basse du Parlement aurait déclaré que le chef de l'État est le "législateur suprême".

Le chef de l'Etat congolais Félix Antoine Tshisekedi a émis le vœu de voir son successeur à la tête de la République Démocratique du Congo, etre une femme. Il a exprimé ce souhait au cours d'une rencontre avec les forces vives de la province de l'Ituri, ce samedi 19 juin 2021 en ville de Bunia.

Le nouveau maire policier nommé récemment par le chef de l'État congolais dans le cadre de l'état de siège pour diriger la ville de Beni a officiellement pris ses fonctions ce samedi 19 juin 2021. La cérémonie y afférente a été présidée par le Colonel Lumbu chargé de l'administration et logistique du secteur opérationnel Sokola 1 et s'est déroulée en présence de plusieurs autorités civiles et militaires voire policières à l'hôtel de ville.

Martin Fayulu Madidi a, au cours de la conférence de presse de la coalition LAMUKA tenue le 18 juin 2021 à Kinshasa, accusé le président Tshisekedi d'organiser un passage en force au Parlement par l'adoption de la loi portant organisation et fonctionnement de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI). En outre, ce membre du présidium de LAMUKA a fustigé les propositions que l'ambassadeur des USA en RDC Mike Hammer formule à Félix Tshisekedi. C'est ainsi que Martin Fayulu a affirmé qu'il n'est pas un néo colonisé.

Le chef de l’État a affirmé avoir été saisi des conclusions définitives tirées des contrôles effectués suivant une procédure contradictoire et transmises aux responsables des structures contrôlées par l’Inspection Générale des Finances (IGF) Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo l'a fait savoir aux membres du Gouvernement lors de la 8ème réunion du conseil des ministres qu'il présidée le 18 juin 2021 par visioconférence depuis la ville de Bunia en Ituri.  Lesdites conclusions font état : 

L'assemblée nationale a, au cours de la séance plénière tenue ce vendredi 18 juin 2021 au Palais du Peuple, décidé de mettre les députés Louise Munga et René Lumbu Kyala à la disposition de la justice. Cependant, la chambre basse du parlement de la République démocratique du Congo n'a pas levé les immunités de ces deux élus du peuple, visés par la justice dans le cadre du dossier Bukanga Lonzo. 

La coalition LAMUKA, dirigée par le tandem Fayulu-Muzito a, au cours d'une conférence de presse tenue ce vendredi 18 juin 2021 à Kinshasa, déploré "l'arrestation" de ses militants qui manifestaient jeudi dernier devant l'ambassade des USA. D'après Adolphe Muzito, qui se considère comme l'actuel coordonnateur de LAMUKA, cette arrestation est à mettre à l'actif du président Tshisekedi qui, a-t-il martelé, est arrivé à la tête de la République démocratique du Congo par la fraude.

Les États-Unis d'Amérique et la République démocratique du Congo ont convenu d’organiser un deuxième dialogue formel sur les droits humains dans un an, soit en 2022.  C'est ce qu'indique une dépêche de la section des affaires publiques de l'ambassade des États-Unis datée du 17 juin 2021 et parvenue ce vendredi à la Rédaction de 7SUR7.CD.