Politique

La semaine dernière, à Genval, l’opposition congolaise a reconnu que "seule l’unité des forces politiques et sociales acquises au changement peut permettre d’atteindre (ses) objectifs". Devant la nécessité de lutter pour obtenir des élections telles que prévues par la Constitution, elle fait front aux projets du président Kabila de se maintenir au pouvoir, en se réunissant dans un "Rassemblement".

A l’occasion du début du sixième  sommet des Chefs d’Etat et des gouvernements de la Conférence internationale sur la région des Grands-Lacs (CIRGL) ce mardi 14 juin à Luanda (Angola), le Centre d’étude pour la paix, la démocratie et les droits de l’Homme (CEPADHO) demande aux dirigeants de la région de se pencher sur la question des rebelles ougandais des ADF. Cette organisation de la société civile du Nord-Kivu évoque une « menace terroriste » des ADF qui risque de traverser les frontières. Ces rebelles ougandais sont accusés d’être responsables de plusieurs massacres des populations civil

Une grande panique s’est emparée la nuit du dimanche à lundi 12 juin des habitants de la localité de Buleusa dans le groupement Ikobo, à la limite des territoires de Lubero et Walikale. Un groupe de présumés rebelles des FDLR armés auraient été aperçus aux alentours du village.

C'est finalement après le  2è tour que Rémy Massamba a remporté le mardi 14 juin l'élection pour le poste de 2e vice-président de la chambre basse face à Toussaint Alonga. Rémy Massamba a été élu par 227 députés nationaux contre 122 pour son challenger. Il remplace ainsi Kombo Nkisi, dont le décès intervenu il y a plus d'un mois avait laissé le poste de 2eme vice-président de l'Assemblée nationale vacant. Rémy Massamba, député Udps, avait les faveurs de la Majorité présidentielle. Toussaint son challenger n'avait donc pas beaucoup de chances de l'emporter.

Le facilitateur de la crise congolaise Edem Kodjo n'est pas encore au bout de ses peines. Son dialogue n'a toujours pas débuté. Ça commence à faire long pour un dialogue convoqué en novembre dernier. Pour le débloquer, l'ex premier ministre togolais a dit, le mardi 14 juin au cours d'un point de presse, son intention de se rendre à Bruxelles pour y rencontrer l'opposant historique Étienne Tshisekedi.

  Le facilitateur du dialogue se rend la semaine prochaine à Bruxelles pour rencontrer les conclavistes de Genval. Edem Kodjo pense qu’il faut avoir le même entendement avec l’opposition sur un certain nombre de points. Quelques concepts constituent encore le point d’achoppement entre les deux camps politiques. Il faut tout clarifier, dit-il pour éviter de semer la confusion. Le diplomate togolais sait que la tache ne sera pas facile face à une opposition très hostile à l’idée d’un dialogue made in Kabila.

    Chaque fois qu’un membre du gouvernement se présente au Palais du Peuple, dans le cadre d’une interpellation ou une question orale avec débat, on croit assister à une pièce de théâtre. Les « Honorables » dégainent leurs meilleures armes et font feu de tout bois. Et dans la conclusion de leurs séances, les auteurs des questions soumises aux débats se montrent généralement mordants : le tableau est noir et il n’y a pas photo entre les actions sur le terrain et le constant qu’en font les élus.   Au regard de ce spectacle, on peut dire que la démocratie fonctionne.

L’unification de Forces du changement fait peur Ouvert à Bruxelles le 8 du mois en cours, le conclave de forces politiques et sociales de la RDC acquises au changement a clos ses portes après d’intenses cogitations qui ont duré plus de 24 heures sous le leadership clairvoyant d’Etienne Tshisekedi wa Mulumba. Ce forum d’importance capitale, bien qu’ayant été de courte durée, a été très riche en enseignements dont le principal a été sans nul doute l’unification desdites forces qui fait déjà trembler les fondements de l’ordre institutionnel en place dans le pays. En e

Entre-temps, la divulgation de deux rapports de la mission concertée ONU-OIF est annoncée pour bientôt! La Commission électorale nationale indépendante (CENI) s’est conformée, une fois de plus, à la loi relative à son organisation et à son fonctionnement, en déposant son rapport annuel à l’Assemblée nationale. Cela conformément à la loi organique n°13/012 du 19 avril 2013 modifiant et complétant la loi organique n°10/013 du 28 juillet 2010 portant organisation et fonctionnement de la CENI, spécialement en son article 28, qui oblige cette institution d’appui à la dém

Le poste de 1er vice-président de la Commission PAJ à l’assemblée nationale est resté vacant depuis la disparition, en février dernier, du député USC Christian Badibangi.   Le député FONUS Emery Okundji occupe désormais les fonctions de 1er vice-président de la commission Politique administrative et juridique (PAJ) de l’assemblée nationale. Son élection a eu lieu, hier lundi 13 juin au cours de la plénière de cette commission.