Politique

Le projet d’édit budgétaire pour l’exercice 2026 ainsi que l’édit rectificatif pour l’exercice 2025 ont été déclarés irrecevables par les députés provinciaux du Haut-Lomami lors de la plénière tenue ce jeudi 11 décembre 2025 dans la ville de Kamina.Sur les 20 députés provinciaux présents, 17 ont voté pour le rejet des deux textes, contre seulement 3 votes favorables.
Les députés provinciaux du Kasaï-Oriental ont effectué une descente d’inspection sur les sites où se déroulent les travaux de réhabilitation de la voirie urbaine de Mbuji-Mayi et de la route rurale de Kabeya Kamuanga, exécutés par l’entreprise JMC. Ils ont visité notamment le concasseur du pont Lubilanji et le centre d’enrobé de Kabue, où les ingénieurs leur ont présenté l’état réel d’avancement des travaux et les matériaux disponibles.
Le président de la Commission de l’Union africaine, Mahmoud Ali Youssouf, a exprimé ce mardi sa « vive » inquiétude face à l’évolution de la situation sécuritaire dans la région des Grands Lacs, en particulier dans la province du Sud-Kivu, à l’est de la République démocratique du Congo, ainsi qu’en province de Cibitoke, au Burundi.
Le vice-premier ministre du Budget, Adolphe Muzito, a présenté, ce jeudi 11 décembre 2025, devant le Sénat les grandes lignes de l’exécution de la loi de finances rectificative 2025, ainsi que les orientations du projet de loi de finances 2026.Selon Adolphe Muzito, l’exercice budgétaire 2025 devrait se clôturer avec un budget global de 17,7 milliards USD, tandis que les recettes courantes atteindront 100 % des prévisions annuelles, soit 10,7 milliards USD.
L’Assemblée nationale a adopté, mercredi 10 décembre 2025, le budget 2026 réévalué à 54 335,7 milliards de francs congolais, soit 22 milliards de dollars américains. C'était au cours d'une plénière dirigée par le président de la chambre basse du Parlement, Aimé Boji Sangara.Présentant le rapport de la Commission Économique, Financière et Contrôle budgétaire, Guy Mafuta Kabongo a expliqué que le budget a été réévalué à cause du changement du taux de change.
La situation humanitaire s'est rapidement détériorée dans la ville d'Uvira, au Sud-Kivu, après l'offensive menée par la rébellion de l'AFC/M23, soutenue par le Rwanda. C'est ce que déplore le Gouvernement, à travers le ministère de la Communication et médias, dans un communiqué consulté par 7SUR7.CD ce jeudi.Le bilan de cette situation, à en croire la même source, fait état d'une centaine de morts, plusieurs blessés et plus de 200.000 nouveaux déplacés.
Le gouvernement provincial du Sud-Kivu confirme la présence des militaires rwandais et étrangers dans la ville d'Uvira depuis le mercredi 10 décembre 2025.Selon un communiqué rendu public mercredi dernier  et dont copie est parvenue à 7SUR7.CD, le gouvernement provincial du Sud-Kivu confirme ainsi la prise de cette deuxième ville du Sud-Kivu et siège provisoire des institutions provinciales après la chute de Bukavu.
Le gouvernement congolais exige des sanctions internationales contre le Rwanda, accusé d’avoir violé le cessez-le-feu en lançant des offensives meurtrières à Uvira, dans la province du Sud-Kivu.  Le ministre de la Communication et médias, Patrick Muyaya, a dénoncé quelque chose d'« inacceptable » qui fragilise l’accord de Washington, pourtant salué par la communauté internationale. À l'en croire, le Rwanda a clairement manifesté sa mauvaise foi après l'entérinement de l'accord de Washington.
Au total, 413 civils ont été tués par balles, grenades et bombes de Kamanyola, entité voisine du Rwanda et se situant au début de la plaine de la Ruzizi, jusque dans la ville d'Uvira.Ceci suite à  la progression des rebelles du M23 dans cette partie du Sud-Kivu, où des forces armées de la République démocratique du Congo en appui avec des éléments Wazalendo et des militaires burundais avaient assuré une résistance de plusieurs mois.
Le ministre de la Justice et garde des sceaux, Guillaume Ngefa, a reçu ce mercredi 10 décembre 2025, la ministre des Affaires sociales, actions humanitaires et solidarité nationale, Ève Bazaïba, dans le cadre d’une séance de travail consacrée à la mission de bons offices lui confiée par le chef de l’État, pour restaurer l’unité au sein de la communauté musulmane congolaise.