Politique

Décédé dimanche 14 décembre dernier en Afrique du Sud, le gouverneur de l’Equateur, Louis Alphonse Koyagialo, sera inhumé ce lundi 22 décembre à Kinshasa au cimetière Nécropole de la N’sele. Sa dépouille mortelle est exposée depuis la veille au Palais du peuple, siège du Parlement congolais.

Un comité de suivi des recommandations formulées au cours du dialogue social pour la paix et la sécurité à Beni a été mis en place à la fin de ces assises qui se sont clôturées samedi 20 décembre. Ce comité de suivi est composé notamment des sénateurs, députés, notables et membres de la société civile. Dans la déclaration finale de ce dialogue social convoqué par la société civile, les participants recommandent au gouvernement congolais de démasquer « les infiltrés » au sein de l’armée et de réévaluer le processus DDR.

Treize détenus se sont évadés de la prison centrale de Munzenze à Goma samedi 20 décembre en fin d’après-midi. Selon les responsables de cette maison carcérale, ce sont au total vingt et un détenus qui ont tenté de quitter la prison. Les forces de l’ordre en ont rattrapé huit en usant de leurs armes.

La société civile déplore les cas de tueries et de pillages enregistrés sur la route Bunyakiri-Katasomwa. Depuis le mois d’octobre dernier, quatre personnes y ont été tuées par des miliciens Raïa Mutomboki. Le conseil de sécurité local réuni samedi 20 décembre à Katasomwa dans le territoire de Kalehe recommande le renforcement de l’effectif des forces de l’ordre sur cet axe routier pour mettre fin à cette insécurité. Selon la société civile de Katasomwa, le dernier meurtre enregistré sur cette route remonte au 16 décembre dernier.

Le ministre provincial de l’Energie du Katanga, Laurent Kaozi, a jugé préoccupante la situation de déficit en énergie électrique dans sa province. Il l’a déclaré samedi 20 décembre au cours de la matinée d’information sur le programme « Ecoles et village assainis ». Il a expliqué que le Katanga manquait actuellement « de façon permanente et constante » au moins 800 mégawatts d’énergie électrique.

(BRUXELLES)- Le retour de Moise Katumbi est annoncé pour mardi 23 décembre. Les membres de son cercle le plus proche ont confirmé l’information à votre site d’information. De Bruxelles en passant par Paris, Londres, Kinshasa jusqu’à Lubumbashi, la nouvelle est au centre des débats dans tous les salons huppés. Le gouv parti en soins à Londres rentre dans son fief au moment où ses administrés brûlent d’envie de le voir et surtout comprendre si l’info sur l’empoisonnement est vraie. Jamais, Lubumbashi ou mieux le Katanga était préoccupé d’un dirigeant comme c’est le cas aujourd’hui de Katumbi.

(LUBUMBASHI)- Lubum va vibrer le mardi 23 décembre à l’arrivée de son leader. Des grappes humaines vont se déferler sur toutes les rues pour réserver un accueil chaleureux au messie Katumbi. Le gouverneur victime de l’empoisonnement comme annoncé par le très sérieux Congo-News, retrouve son fief après plus de deux mois d’absence. La mobilisation a commencé dans les rues, quartiers et communes de Lubumbashi. Les lushois veulent faire passer un message à travers cet accueil qu’ils comptent réserver à leur gouv.

A son tour un autre membre de la famille politique du chef de l’Etat se prononce contre la révision de la Constitution. Et ce n’est pas n’importe qui car il s’agit de l’Abbé Malu Malu le président de la Ceni. Dans une interview accordée au magazine Jeune Afrique, l’abbé Malu Malu a dit ceci « en tant que citoyen, je souhaite que la Constitution soit respectée et je note que pour l’instant, concernant les articles verrouillés [portant notamment sur la limitation du nombre de mandats présidentiels], personne n’a pris l’initiative de leur révision ».

L’Union des républicains -UR met en garde Joseph Kabila contre tout projet politique qui violerait la constitution de la RDC et l’Accord-cadre d’Addis-Abeba.

Lors d’une conférence de presse au Brussels Club press Europe à Bruxelles, mardi 16 décembre 2014, Jean-Claude Muyambo, président du parti politique congolais SCODE a affirmé devant la presse internationale ainsi que la presse Rd-congolaise de Belgique son crédo de depuis quelques mois : Il est hors de question pour Joseph Kabila de changer la constitution pour se maintenir, il ne doit plus se représenter en 2016, la CENI doit organiser toutes les élections dans les délais.