Dans un communiqué publié mardi 7 octobre dernier, Maître Omar Kavota, Vice-président et Porte-parole de la Société Civile du Nord-Kivu se dit très préoccupé par une éventuelle réorganisation couplée par des infiltrations des éléments ex-M23 en perspective des prochaines hostilités à partir des Territoires de Rutshuru et Nyiragongo.
Dans la foulée, ce communiqué révèle que certains éléments de cet ancien mouvement rebelle défait à la fin de l’année dernière par les vaillantes troupes loyalistes des Forces armées de la République Démocratique du Congo appuyées par les éléments de la brigade sp
Politique
jeu 09/10/2014 - 15:08
jeu 09/10/2014 - 15:05
Sauf changement de dernière minute, la chambre de 1ère instance III de la Cour Pénale Internationale entendra d’abord les dépositions du témoin P-169 à partir du 14 octobre prochain. Juste après cette audience, ce sera le tour des déclarations orales pour clôturer ce procès intenté à l’ancien vice-président de la République par le Procureur près la Cour Pénale Internationale.
jeu 09/10/2014 - 12:56
La société civile du Nord-Kivu soupçonne d’anciens membres de l’ex rébellion du M23 de procéder au recrutement de jeunes dans le Rutshuru, au Nord-Kivu. Dans un communiqué publié mardi 7 octobre à Goma, cette structure appelle la communauté internationale et le gouvernement congolais à enquêter sur ces «possibles» recrutements.
jeu 09/10/2014 - 12:17
Le commandant de l’opération “Sokola” a comparu mardi 7 octobre au procès des assassins présumés du colonel Mamadou Ndala en qualité de renseignant. Selon sa version, Mamadou Ndala aurait été tué par les rebelles ougandais des ADF. Le général Muhindo Akili Mundos explique sa thèse par le mode opératoire des assaillants.
Le convoi de Mamadou Ndala est tombé dans une embuscade le 2 janvier 2014 alors qu’il se dirigeait vers l’aéroport de Beni.
jeu 09/10/2014 - 12:11
La tempête vient de se calmer à la Majorité présidentielle. L’implication personnelle de l’Autorité morale a permis de remettre de l’ordre dans la boutique. Mais pour combien de temps le feu va s’éteindre ? A la MP, les volcans s’éteignent et d’autres se rallument. Donnant au commandant des troupes plus de travail que ne l’exige la tradition politique.
Faisant pourtant face à des enjeux qui ne pardonnent pas, la Majorité présidentielle se trouve être la famille politique la plus fragile en ce moment, parce que couvant en son sein des querelles intestines à répétition.
jeu 09/10/2014 - 11:14
Mais l’organe consultatif en matière économique et sociale doit bien remplir son rôle dans cet environnement déjà envahi par des structures presqu’analogues, sinon, il va tomber dans la routine habituelle.
L’institution récemment créée en République démocratique du Congo à la lumière de la constitution actuellement en vigueur, c’est le conseil économique et social !
D’après des textes particuliers qui régissent cet organe, le conseil économique et social est appelé à jouer le rôle d’export et de conseiller technique du gouvernement en matières économiques et sociales.
En tant que t
jeu 09/10/2014 - 10:58
Après le premier refus de lui accorder la liberté provisoire, le compatriote Fidèle BABALA Wandu court le risque de se voir bloqué par les contradictions des autorités politiques et judiciaires de son propre pays.
jeu 09/10/2014 - 08:25
Présidant mardi une réunion à Kingakati, Joseph Kabila a insisté sur la cohésion et la cohérence devant régir dorénavant les actions du regroupement politique, loin des intérêts partisans.
Enfin, les violons se sont accordés au sein de la Majorité entre ses cadres qui étaient jusque-là en brouille. Les pendules ont été remises à l’heure au sein de cette famille politique grâce à l’intervention
de son autorité morale qui vient de mettre un terme aux querelles intestines à la faveur d’une réunion convoquée le mardi 7 octobre à Kingakati, dans la périphérie ouest de Kinshasa.
jeu 09/10/2014 - 08:14
Le chef de l’Etat, Joseph Kabila Kabange s’est de nouveau retrouvé avec les membres de la Majorité présidentielle (MP) dans sa ferme de Kingakati, loin du tintamarre de la capitale congolaise. Pour toutes autres questions d’intérêt national, sauf pour la formation du gouvernement de cohésion nationale ni pour la très délicate… révision constitutionnelle.
jeu 09/10/2014 - 07:58
Le président sénégalais Macky Sall a expliqué à des visiteurs français qu'il valait mieux laisser le président burkinabè se représenter en 2015, même après 28 ans de pouvoir. La raison ? La stabilité sous-régionale dont Blaise Compaoré serait l'un des garants.