Sécurité

Les Forces armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) annoncent avoir tué trois rebelles ADF dans le secteur de Ruwenzori en territoire de Beni, au Nord-Kivu. C'était au cours d'une opération menée dans la nuit du mercredi à ce jeudi 15 décembre 2022, d'après le porte-parole de l'armée dans la région, qui donne l'information dans une dépêche transmise à la presse.

Dix personnes ont péri dans de nouvelles violences des rebelles ADF perpétrées dans la chefferie de Walese Vonkutu, en territoire d'Irumu, province de l'Ituri. Le drame a eu lieu dans le village Ndalya sur la route nationale numéro 4 la soirée du mardi 13 décembre 2022, rapporte à 7SUR7.CD la Convention pour le respect des droits humains (CRDH), antenne d'Irumu.

Une rencontre a réuni, d'une part, les rebelles du M23 et, de l'autre, des représentants de l'armée congolaise, de la MONUSCO, ceux de la Communauté d'Afrique de l'Est (EAC) ainsi que du Mécanisme conjoint de vérification. Ces échanges ont eu lieu le lundi 12 décembre dernier à Kibumba, cité située à une vingtaine de kilomètres de la ville de Goma (Nord-Kivu) et ont été co-animés par le général Jeff Nyagah, commandant de la force sous-régionale ainsi que le colonel Nzenze Imani du M23.

La Police nationale Congolaise (PNC) dans le Haut-Katanga annonce le renforcement des dispositifs sécuritaires sur les points stratégiques de la ville de Lubumbashi à l'approche des festivités de fin d'année 2022.

Treize (13) otages se sont échappés des mains des rebelles d'Allied democratic forces (ADF) dans le groupement Banande-Kainama en territoire de Beni (Nord-Kivu), le lundi 12 décembre 2022. Ces ex-otages sont arrivés à Kainama aux heures d'après-midi, apprend-on de la société civile.  Dans un entretien téléphonique à 7SUR7.CD, Jonas Kasumba Zawadi, président de cette structure citoyenne renseigne que la libération de ces ex-otages est consécutive à la pression exercée par la force conjointe FARDC-UPDF sur les assaillants dans la région.

Les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) et l'armée ougandaise (UPDF) annoncent avoir tué 30 rebelles d'Allied democratic forces (ADF) en province de l'Ituri, dans l'Est du pays. L'exploit a été réalisé à Beu près de Boga dans le territoire d'Irumu, du dimanche à ce lundi 12 décembre 2022, apprend-on du porte-parole de la coalition desdites armées.    "(…) Il y a eu destruction d'un campement des ADF/MTM à Beu près de Boga en territoire d'Irumu.

Les Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) annoncent avoir tué un autre commandant des ADF, ce dimanche 11 décembre 2022 dans le secteur de Ruwenzori en territoire de Beni au Nord-Kivu. La nouvelle a été relayée à la presse dans la région de Beni par le secteur opérationnel Sokola 1 Grand-Nord, dans une dépêche.

Une dizaine d'otages ont été relâchés par des rebelles ADF dans la chefferie de Walese Vonkutu en territoire d'Irumu en Ituri, le samedi 10 décembre 2022. La nouvelle est confirmée à 7SUR7.CD par la Société civile de la chefferie précitée par le biais de son secrétaire Dieudonné Malangayi, ce dimanche. La même source ajoute que ces ex-otages ont été retrouvés à Ndalya sur la route nationale numéro 4.

Plus de 10.000 combattants actifs regroupés dans 5 territoires de la province du Maniema se disent prêts à déposer les armes.  Ils l'ont fait savoir le vendredi 09 décembre 2022 à Kindu, chef-lieu de ladite province lors de l'atelier d'élaboration du plan opérationnel du programme de désarmement et mobilisation, réintégration communautaire et stabilisation. Ils disent répondre favorablement à l'appel du chef de l'État, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo qui cherche à  pacifier le pays notamment dans sa partie Est.

Dans un communiqué rendu public ce vendredi 9 décembre 2022, le Royaume de Belgique a condamné avec fermeté le massacre des civils par les terroristes du M23 à Kishishe et Bambo, au Nord-Kivu dans l'Est de la RDC.  Dans ledit communiqué, la Belgique estime que ce massacre ne restera pas impuni, tant sur le plan national qu'international. Elle demande aux enquêteurs nationaux et internationaux de continuer leur travail, en dépit des résultats de l'enquête préliminaire du BCNUDH et de la MONUSCO, qui a établi l'implication des M23.