Sécurité

Le représentant spécial du secrétaire général de l’Onu en RDC, Maman Sidikou réaffirme le soutien de la Monusco aux réfugiés burundais du camp de Lusenda, en territoire de Fizi (Sud-Kivu). Il l’a exprimé, samedi 16 janvier, en marge de sa première visite en territoires d’Uvira et Fizi (Sud-Kivu), où il a été à la tête d’une délégation, composée du vice-gouverneur du Sud Kivu, du représentant régional du HCR venu de Kinshasa, du commandant FARDC de l’opération Sokola 2. «Je voudrais vous réaffirmer l’engagement et la détermination de la Monusco, des agences du système des Nations unies et
Cent et huit casques bleus congolais de l’Unité de police constituée (UPC) ont regagné leur pays, vendredi 15 janvier, après deux ans et demie des services de sécurité, à Bangui (Centrafrique). Seuls dix parmi les cent dix-huit qui sont restés en République Centrafrique pour des travaux logistiques. C’est depuis le 31 décembre dernier que ces policiers étaient arrivés fin mandat, après une prolongation d’un mois pour sécuriser les élections à Bangui. A la descente d’avion à l’aéroport international de N’djili (Kinshasa), ce contingent était accueilli par une dizaine d’officiers de la p
La société civile de Kirumba dénonce la montée de l’insécurité dans cette cité, située à 200 km au Nord de Goma (Nord-Kivu). Cette structure dit avoir recensé, en deux semaines, les cas d’enlèvements, tueries et vols dans cette partie du Nord-Kivu, où les FARDC mènent des opérations contre les groupes armés locaux et étrangers. Dans la nuit du 14 au 15 janvier, des hommes armés ont pillé une dizaine de maisons dans le quartier Kinawa, dans la cité de Kirumba, où ils ont emporté de petits bétails et autres biens de la population. Un jour avant, des hommes armés avaient également kidnapp
Le vice-président de la société civile du territoire de Kalehe, Pascal Muzuka, a indiqué jeudi 14 janvier avoir été témoins des cas d’infiltrations à partir du lac Kivu durant la nuit du vendredi 8 janvier vers les hauts plateaux de Kelehe au Sud-Kivu. D’après lui, 80 hommes armés non autrement identifiés ont traversé la frontière aux environ de 21 heures, heures locales.
Neuf personnes ont été blessées par balles mercredi 13 janvier après qu’une dizaine de militaires des Forces armées de la RDC (FARDC) ont tiré sur des civils dans un comptoir des minerais au centre de la cité de Rubaya, une localité située à environ 60 kilomètres à l’Ouest de Goma (Nord-Kivu), a rapporté le président de la coopérative minière de Masisi. D’après des sources locales, tout est parti d’une décente d’une unité des FARDC dans un comptoir d’achat des cassitérites de la place. L’unité des FARDC s’est rendue dans ce comptoir pour confisquer une cargaison de minerais qui y était entre
La Mission de l’Onu en RDC compte sur les FARDC et les populations civiles pour sécuriser les zones de prédilection des milices. D’aucuns jugent tardives les interventions de la Force de la Mission des Nations unies pour la stabilité du Congo (Monusco) et des Forces armées congolaises dans les différents massacres perpétrés par les groupes armés contre les populations civiles dans l’Est du pays.
L’élu du Nord-Kivu aimerait savoir du VPM de l’Intérieur comment 20 personnes ont pu être massacrées à la hache et à la machette malgré la présence sur place des Fardc, de la PNC et des Services de sécurité.
Dans un message de condoléances adressé à la population de Miriki et de Lubero, Jean Chrysostome Vahamwiti compatit aux malheurs de sa base et encourage le déploiement en cours par l’Exécutif national des forces de sécurité sur l’axe Sud-Lubero-Walikale. Il invite également le Gouvernement à veiller au développement de cette contrée. Ci-dessous l’intégralité du message de l’élu de Lubero. MESSAGE DE CONDOLEANCES DE L’HONORABLE VAHAMWITI MUKESYAYIRA Chrysostome A LA POPULATION DE MIRIKI ET DU TERRITOIRE DE LUBERO AU NORD-KIVU
Les atrocités commises par les groupes armés à Miriki à l’est de Lubéro au Nord Kivu ne passent pas inaperçue pour l’ONU. Pour le directeur de l’information publique de la MONUSCO, ce sont les FDLR qui sont auteurs de ces massacres, car c’est eux qui sont présents dans cette zone. C’est vrai, a reconnu Charles Bambara, que la MONUSCO ne peut pas être partout au même moment surtout que ces éléments FDLR ont opéré avec les armes blanches.
Les habitants du quartier 3, dans la commune de Masina, vivent dans une insécurité criante, provoquée par les vols à mains armées à répétition et d’innombrables actes de délinquance posés çà et là par les jeunes brigands appelés communément " Kuluneurs ". Cette situation terrorise terriblement la population de ce quartier périphérique de Kinshasa. Chaque nuit qui passe, c’est au moins trois habitations du quartier 3 Masina qui sont visitées par les bandits.