Société

Le Parquet général près la Cour d’appel de Kinshasa/Matete a ouvert une enquête au sujet des corps découverts le dimanche 3 juillet dernier dans la rivière Ndjili. Selon les témoignages recueillis auprès des riverains, ce sont sept corps que des pêcheurs ont découverts sur la rivière. Le procureur général de Matete, Idumbu Meli Meli, parle plutôt de trois corps. Il indique que ses services ont été alertés par la population qui a découvert des cadavres.

Le vice-ministre des congolais de l'étranger, Antoine Boyamba, condamne la mort dimanche 3 juillet dernier d'une Congolaise en Inde. Selon lui, la victime a succombé aux coups que lui a infligés son époux, de nationalité indienne. Un cas de violence conjugale que le ministre dit condamner. Le ministre indique avoir été informé de la nouvelle par l’ambassadeur congolais en Inde. Antoine Boyamba dit connaître le couple. Selon lui, la Congolaise et son époux se sont connus à Kinshasa avant d’aller vivre en Inde.

La production a baissé dans les unités de Petites et moyennes entreprises (PME) à Kalemie dans la province du Tanganyika, suite l’arrêt bientôt un mois de la centrale de Bendera qui fournit de l’électricité dans la zone. Dans la ville, les activités artisanales sont les plus touchées. Stanislas Kakudji est un habitant du quartier de la Mission non loin de l’hôpital général de Kalemie. Il fabrique depuis cinq ans du savon artisanal.Stanis explique que sa production est affectée depuis la coupure de l’électricité de la Société nationale d’électricité (SNEL) :

Une journée de deuil est observée mercredi 6 juillet dans les secteurs d’Oïcha et Beni-Mbau, en territoire de Beni, en mémoire de neuf civils tués la veille dans la région d’Oïcha par des présumés rebelles ougandais des ADF. Elle a été initiée par la société civile locale, qui fait état d’une paralysie totale d’activités socio-économiques depuis le matin.

Une vive tension a été observée mercredi 6 juillet dans la matinée au grand marché de Kinshasa et ses alentours. La population a manifesté contre le meurtre d’une Congolaise en Inde. Selon plusieurs sources, cette dame aurait été tuée dimanche dernier par son mari, de nationalité indienne. Pour l’instant, les raisons qui auraient poussées ce dernier à commettre ce crime ne sont pas encore bien élucidées. La plupart de boutiques et magasins sont restés fermés sur l’avenue du commerce et colonel Ebeya à Kinshasa.

Au moins deux cents ménages de Rutshuru sont desservis en électricité produite par la centrale de Matebe, inaugurée en décembre 2015 à environ 80 kms au nord de Goma. Selon le chargé des programmes au sein de la Fondation Virunga, une autre ligne est tirée pour alimenter le chef-lieu du territoire de Rutshuru et la cité de Kiwanja. Les deux cents ménages qui ont bénéficié de premiers raccordements vivent dans les villages au sud du chef-lieu du territoire de Rutshuru. Il s’agit de Rubare, Burahi, Kako et Rumangabo.

 

Le Commandement général des écoles militaires des Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) organise, le vendredi 8 et le samedi 9 juillet, les épreuves d’admission aux différentes écoles militaires. Ces examens se dérouleront sur tout le territoire de la République Démocratique du Congo.

Tel un grand marché, la Place Pascal à Kingasani, sur le boulevard Lumumba, entrée route de Mokali, grouille de monde du matin au soir. Vendeurs ambulants à la criée, consommateurs partagés entre les petits étals entassés les uns à côté des  autres, et piétons en divagation, se disputent un espace qui pour se déplacer, qui pour exercer leurs activités. Le spectacle est cauchemardesque. Sur le boulevard Lumumba et la route de Mokali, des colonnes de mini-bus en stationnement attendent des passagers, des bus qui se croisent en sens inverse avec

Jean-Paul Ntambua Kasanzu, maire de la ville de Mbuji-Mayi a procédé, lundi 4 juillet 2016, à l’installation des Conseils locaux de sécurité de proximité (CLSP). La cérémonie s’est déroulée à l’Hôtel Kadje, dans la commune de Bipemba. L’installation concernait deux communes, Muya et Bipemba. Le projet est rendu possible avec l’appui de l’Organisation internationale de migration (OIM), financé par les gouvernements américain et canadien. Il s’agit des comités locaux chargés de collecter, traiter, analyser et proposer des pistes de solutions à l’autorité urbaine.