Société

L‘Ogefrem vit à l’ère de grands travaux. Lentement mais sûrement, cette entreprise du portefeuille se dote d’infrastructures modernes selon la vision de la révolution de la modernité chère au chef de l’Etat.   L’élan de modernisation et la politique de grands travaux amorcés en 2013, avec l’érection d’un bâtiment ultramoderne sur fonds propres à l’Office de gestion du fret multimodal, se poursuivront encore aussi longtemps que le manager Anatole Kikwa trônera à la tête de cette entreprise du portefeuille de l’Etat.  

La  famille clarétaine de la RDC (prêtres, religieuses, religieux, laïcs,) a célébré avec faste, le mardi 8  décembre 2015 au couvent  des sœurs missionnaires clarétaines à kimwenza, un triple évènement  (la fête de l’immaculée conception de Marie, l’ouverture de la porte de l’année  jubilaire de la miséricorde divine et l’annonce de l’érection à partir du 2/2/2016, de la nouvelle province des missions en africaine).

A Butembo, le gouvernement provincial du Nord-Kivu a honoré sa parole en intensifiant, depuis septembre 2015, les travaux d’asphaltage de la voirie urbaine. A Butembo, Julien Paluku Kahongya, gouverneur du Nord-Kivu, honore sa parole en multipliant des actions qui donnent un sens à la « Révolution de la modernité ».  

Le budget alloué au secteur agricole en République démocratique du Congo n’a pas atteint 3% entre 2003 et 2013. La revue diagnostique des dépenses publiques dans le secteur agricole et rural de la Banque mondiale l’a révélé mardi 8 décembre.  

Au cours d’un point de presse qui s’est tenu hier mercredi 9 décembre 2015, à son siège dans la commune de Kintambo, le Centre de promotion, de protection et de défense des droits de l’homme (Ceprodhec) a dénoncé la spoliation et l’occupation illégale des concessions appartenant à autrui. Ce comportement est affiché non seulement par plusieurs personnalités mais aussi par certains officiers supérieurs des Forces Armées de la République démocratique du Congo.                  

La diversité d’actés de naissance, de mariage et de décès délivrés par les services de l’état civil au niveau des communes de Kinshasa constitue une grave anomalie. Car elle qui nuit à l’enregistrement de ces actes au niveau de l’administration. Les modalités de délivrance de ces documents, leurs coûts et formes, voire la qualité des personnes censées les signer devraient, logiquement, être identiques.

Suite aux désagréments causés par la pluie diluvienne du dimanche 6 décembre dernier sur la voie ferrée Matadi-Kinshasa, le train Express de la SCTP a connu de nombreux arrêts dans sa marche, avant d’arriver à la gare Kin-Est aux environs de 20 heures. Le Directeur général de la SCTP n’est pas resté insensible à cette situation. Il a présenté à cet effet ses excuses aux clients du Train Express, tout en leur promettant un service de qualité, n’eut été ces obstacles naturels. Ci-contre le communiqué de presse de la SCTP.

Trente et une personnes sont mortes en près de trois semaines dans des inondations provoquées par une succession de pluies torrentielles à Kinshasa, a-t-on appris mercredi 9 décembre auprès des autorités de la capitale de la République démocratique du Congo. Depuis le 19 novembre, « nous avons enregistré 31 décès provoqués par l'écroulement des maisons », a déclaré à l'AFP Emmanuel Akweti, ministre de l'Intérieur de la ville-province de Kinshasa.

Le Réseau des parlementaires africains contre la corruption appelle à la mise en place des mécanismes de signalement et de plainte publique des cas de corruption. Cette association de députés et sénateurs africains estiment également qu’il faut protéger les personnes dénoncent les cas de corruption. Ces mécanismes permettraient, selon ces parlementaires, de lutter efficacement contre la corruption.

La Fédération nationale des associations des personnes vivant avec handicap du Congo (FENAPHACO) a proposé, hier mardi 8 décembre, des pistes de solution pour résoudre les difficultés qui aggravent la situation de ces personnes en RD Congo. La FENAPHACO a présenté ces pistes de solution par l’entremise de son coordonnateur national, Me Patrick Pindu-di-Lusanga.