Société

Le village de Kiongo, situé à 9 kilomètres du chef-lieu de la chefferie de Mulongo,  dans le territoire de Malemba Nkulu est vidé de ses occupants depuis lundi 25 janvier, rapportent mardi 26 janvier des sources locales. Environ 300 ménages ont abandonné leurs activités pour se réfugier à Mulongo- Centre. Selon les mêmes sources, ces villageois affirment s’être sentis en insécurité après la libération de la prison par le parquet secondaire de Malemba-Nkulu il y a une semaine, de cinq gardiens d’une ferme privée accusés par les villageois de coups et blessures et viol sur certaines femmes du

  A Salamabila à plus de 420 kilomètres de Kindu au Maniema, la tension était vive mardi. Une marche pacifique a tourné au drame. Bilan : un mort et plusieurs blessés. La population en colère était descendue dans la rue pour protester contre le non respect du cahier des charges par la société minière Banro Mining. Alors que les manifestants s’approchaient des installations de cette société, les coups de feu ont retenti, explique un témoin. Pourtant, la marche a été autorisée par l’administrateur du territoire. Un sit in était même prévu.

    Situé dans la Commune de Selembao, le Centre Pénitentiaire et de Rééducation de Kinshasa (CPRK) ex prison centrale de Makala est un véritable mouroir. Le constat est vite fait quand on considère le régime alimentaire insignifiant auquel sont soumis les prisonniers, la promiscuité, l’absence des soins médicaux et généralement des conditions carcérales infra humaines dans lesquelles vivent les prisonniers.

Le Syndicat national des médecins « Synamed » s’est réuni hier lundi 25janvier à son siège situé avenue de l’Enseignement dans la commune de Kasa-Vubu, à Kinshasa. Il a tenu une conférence de presse au cours de laquelle il dénoncé la situation relative au blocage des listings de paie reprenant les noms de 171 médecins pour le premier trimestre.

Accusé d’avoir participé à un mouvement insurrectionnel, le chef de la bande, Célestin Kambale Malonga promet de faire le déballage.   Le procès de vingt-sept des trente-six prévenus auteurs de l’attaque survenue dans la nuit du 1er au 2 juin 2015 contre l’aéroport international de Goma, au Nord-Kivu a débuté hier lundi 25 janvier devant la cour militaire de Goma.

La gestion des risques de catastrophes est une priorité de développement. Bien qu’il ne soit pas possible d’empêcher ces phénomènes naturels, des mesures doivent être prises pour réduire leur impact. La République démocratique du Congo (RDC) vient de bénéficier d’un don en matériels de gestion des catastrophes naturelles. La cérémonie a été organisée, jeudi 21 janvier 2016 à Kinshasa.

Les lauréats du concours ’’Battle of minds’’ sont désormais connus.

Trois personnes sont décédées dimanche 24 janvier dans deux communes de la ville de Lubumbashi à la suite des pluies qui se sont abattues le même jour dans la ville, ont indiqué les autorités municipales de la commune Annexe. Deux femmes sont mortes noyées dans la commune Annexe. La première est tombée dans la rivière Karavia alors que la seconde a été prise par les eaux de la rivière Kafubu. Leurs corps n’ont pas encore été retrouvés mais les recherches se poursuivent, ont fait savoir des sources locales. Une autre personne est morte par électrocution dans la commune de Kampemba.

Des parents et enseignants ont manifesté lundi  25 janvier dans plusieurs villes du Sud-Kivu pour protester contre la prise en charge des enseignants par les parents dans les écoles. Selon Roger Matabaro, un responsable d’une coalition de syndicats d’enseignants et de regroupements de parents, ces derniers ont voulu manifester leur refus contre ce système de prise en charge. Les enseignants aussi rejettent ce système institué depuis plusieurs années en RDC où l’Etat peine à payer correctement les enseignants.

Les vendeurs de farine de froment qui font la navette entre Goma et Bukavu ont décidé lundi 25 janvier de durcir leur mouvement de grève entamé la semaine passée. Ils protestent contre la hausse de la taxe d’embarquement imposée par le gouvernement provincial du Nord-Kivu. Selon Amani Mulume, président de l’association de ces commerçants, cette taxe est passée de 200 à 1 300 francs congolais (0,2 à 1,4 dollars américains) par sac de 100 kg. La même source regrette que la perception de cette taxe ait été confiée à un particulier. Amani Mulume estime que la hausse de cette taxe est une traca