Une

Jugé ce jeudi en procédure de flagrance par la Cour de cassation pour imputations dommageables et propagation de faux bruits, le député national et ancien ministre du Tourisme, Modero Nsimba, a contesté les accusations portées contre lui.  Il a nié toute implication dans un audio diffusé sur les réseaux sociaux, mettant en avant l'utilisation de l'intelligence artificielle pour manipuler sa voix.

La Chambre du Conseil de la Cour de Cassation a siégé, ce mercredi 20 mars 2024, autour du dossier de l'interpellation du député national Modero Nsimba par les renseignements militaires pour propagation de faux bruits et imputation dommageable au sujet de la mort l'ancien ministre des transports Cherubin Okende.  Au terme de l'audience en attendant la poursuite de l'instruction, les juges ont décidé d'assigner cet ancien ministre du Tourisme en résidence surveillée, en lieu et place de la détention préventive dans la prison centrale de Makala. 

Le Vice-premier ministre en charge de l'intérieur a réceptionné  mercredi 20 mars 2024, un lot des conteneurs comprennant des matériels devant servir à l'enrôlement des congolais pour la délivrance des cartes d'identités nationales. À en croire Peter Kazadi,ces matériels concernent d'abord les 24 communes de la ville de Kinshasa.

L'organisation non gouvernementale (ONG) internationale Médecins sans frontières (MSF/Suisse) suspend momentanément ses activités à l'hôpital général de Drodro, dans la zone de santé portant le même nom en territoire de Djugu, province de l'Ituri. C'est le coordonnateur terrain ai de ladite organisation à Drodro qui  a annoncé cette décision au cours d'un point de presse tenu ce mercredi 20 décembre 2024 à Bunia, chef-lieu de l'Ituri.

Lors de la cérémonie d'adieu à Chérubin Okende, ancien ministre des Transports et ancien député national, qui s'est déroulée ce mercredi 20 mars 2024, Dieudonné Bolengetenge, secrétaire général d'Ensemble pour la République de Moïse Katumbi, a loué sa mémoire en soulignant son sens du devoir, de la responsabilité et son discernement. Il a promis que les valeurs incarnées par ce dernier constituent un héritage que sa formation politique va perpétuer.

Le cardinal Fridolin Ambongo qualifie d’ « incompréhensible » la conclusion de l’enquête sur la mort de l’ancien ministre des Transports, voies de communication et désenclavement, Chérubin Okende, menée par la justice.  Dans son homélie prononcée, ce mercredi 20 mars 2024, au cours de la messe de requiem à la cathédrale Notre-Dame de Kinshasa, l’archevêque métropolitain de Kinshasa a affirmé que la conclusion de cette enquête est la preuve « suprême » que la justice congolaise est vraiment malade. 

L’inspecteur général des finances chef des services de l’IGF Jules Alingete a échangé, mardi 19 mars dernier, avec l’ambassadeur suisse Chasper Sarott sur les défis que doit relever cette institution dans l’exercice de ses missions, notamment l’implémentation de la bonne gouvernance en République Démocratique du Congo. 

Au cours d'une plénière organisée le mardi 19 mars 2024, le bureau provisoire de l'Assemblée nationale a mis en place une commission spéciale chargée de vérifier les pouvoirs de 49 députés validés par la Cour constitutionnelle, ainsi que des suppléants des députés ayant renoncé à leurs mandats. Cette commission sera composée de 26 députés nationaux, en raison d'un délégué par province.

Le cardinal Fridolin Ambongo s’oppose au rétablissement par le gouvernement, de la peine de mort en République démocratique du Congo pour notamment des cas de traîtrise. S’exprimant, le week-end dernier, sur la chaîne catholique KTO, l’archevêque métropolitain de Kinshasa a affirmé que cette décision marque un pas en arrière. 

À travers un tweet sur son compte X lundi 18 mars dernier, l’opposant congolais Martin Fayulu a exprimé son indignation face la décision relative à la  levée du moratoire sur l'exécution de la peine de mort prise par le gouvernement de la République Démocratique du Congo. Pour le président du parti Ecidé, cette mesure expose les opposants du régime Tshisekedi à des règlements de compte.  Martin Fayulu estime que ,par cette levée du moratoire sur la peine de mort, les autorités congolaises ont clairement pris la voie de la « dictature ».