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Dans une déclaration politique faite ce vendredi 30 juillet 2021, le parti politique Ensemble pour la République de Moïse Katumbi dit prendre acte de l'absence, à cette heure, de consensus au sein de la société civile, en particulier au niveau des confessions religieuses tout en condamnant fermement "les pressions, intimidations et menaces", dont celles-ci ont, de leur propre aveu, fait l'objet.

Les chefs des confessions religieuses réunis ce vendredi 30 juillet 2021 au Centre Interdiocésain dans la commune de la Gombe à Kinshasa, pour dégager un consensus sur le candidat président de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), ont bouclé leurs pourparlers. Comme il y a quelques jours, les confessions religieuses ne se sont limitées qu'à dire que la primeur de leurs conclusions est réservée à l'assemblée nationale. 

Dans une correspondance adressée le jeudi 29 juillet 2021 aux chefs des confessions religieuses, Monseigneur Marcel Utembi a invité ses pairs à la reprise des pourparlers ce vendredi pour désigner leurs délégués à la centrale électorale.  Pour garantir la transparence du processus électoral et éviter au pays de sombrer, le président de la CENCO a exhorté ses pairs à laisser tomber les candidats qui font l'objet des suspicions en vue de garantir l'indépendance de la CENI. 

Selon plusieurs sources, Monseigneur Marcel Utembi propose le retrait des candidatures de Denis Kadima et Cyrille Ebotoko. Le président de la CENCO suggère leur disqualification de la course à la présidence de la CENI, pour favoriser un autre choix.  Que reprochent l’ECC et la CENCO à Denis Kadima ? 

Le ministre de l'Enseignement Primaire Secondaire et Technique, Tony Mwaba Kazadi, a participé à un sommet mondial sur l'éducation qui s'est tenu du 28 au 29 juillet 2021 à Londres, au Royaume-Uni.  Organisé par la Grande Bretagne en collaboration avec le Kenya et le Partenariat Mondial pour l'éducation, ce sommet avait pour but de mobiliser les leaders mondiaux et les donateurs en faveur de l'éducation, particulièrement de l'amélioration de l'accès des filles.

Le pasteur Éric Nsenga, porte-parole de l'Église du Christ au Congo (ECC) est monté au créneau pour fustiger une fois de plus le recours aux menaces et intimidations à l'endroit des confessions religieuses par des officines politiques.  Au cours d'une interview accordée jeudi 29 juillet 2021 à 7SUR7.CD, il a mis en garde contre ce modus operandi d'autant plus que les confessions religieuses ne sont pas une entreprise d'embauche pour caser de personnes à la centrale électorale. 

 Environ 70% des grandes options levées par le gouvernement Sama Lukonde dans le cadre de ses 100 premiers jours, ont été réalisées ou sont en cours de réalisation. C'est ce qui ressort de la réunion du Comité de conjoncture économique (CCE) présidée par le premier ministre, Jean-Michel Sama Lukonde, ce jeudi 29 juillet 2021. Les ministres du Commerce extérieur, du Travail, des Mines, vice-ministre des Finances, ainsi que la gouverneure de la Banque centrale du Congo (BCC) ont pris part à cette réunion.

Le feuilleton de la désignation du futur président de la Commission Électorale Nationale Indépendante par les confessions religieuses, est au cœur de l'actualité en RDC.  La pierre d'achoppement entre les pères spirituels réside au mode de choix du successeur de Corneille Naanga dont l'issue est soit le consensus soit le vote conformément à la Charte qui régit la plateforme des confessions religieuses en son article 17.  L'Église du Christ au Congo (ECC) et l'Église catholique qui tiennent à tout prix au consensus, sont prêtes à retirer leurs candidats. 

Des affrontements ont opposé les Forces Armées de la République Démocratique du Congo "FARDC" aux miliciens CODECO dans l'après-midi du mercredi 28 juillet 2021, dans la région de Kilo en secteur de Banyali-Kilo dans le territoire de Djugu, province de l'Ituri. Le porte-parole des opérations militaires en Ituri dresse un bilan de 7 miliciens tués, plusieurs autres blessés et deux armes AK-47 récupérées par les forces loyalistes. Un militaire a été également tué et deux autres blessés lors de ces combats, précise la même source.

La ville de Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo, connaît un déficit en électricité de 700 mégawatts. Actuellement, seulement 1,2 million des ménages sur environ 2,1 millions recensés, sont desservis en énergie électrique.  Ces chiffres ont été donnés par le directeur général de la Société Nationale d'Électricité (SNEL), Jean-Bosco Kayombo, lors de la cérémonie de la pose de la première pierre de construction du Poste 220 kv de Kinsuka le 27 juillet dernier.