Le commandant du service national, le général-major, Jean-Pierre Kasongo, a effectué une descente dans les différents entrepôts et cantines répandus dans les camps militaires à travers la ville de Kinshasa, dans le but de s'assurer de la quantité du stock disponible pour les hommes et les femmes en uniforme ainsi que leurs familles respectives pendant les festivités de fin d'année.
S'assurant du respect des instructions du chef de l'État Félix Antoine Tshisekedi, le général-major estime que son devoir de contrôle de stock est pour le bon déroulement des festivités.
« Moi en tant que commandant du service national, j'ai comme obligation de m'assurer que dans tous les camps militaires et toutes les cantines militaires à travers la ville de Kinshasa, il y a suffisamment de stock, pour que les militaires, les membres de leurs familles y accèdent facilement et qu'ils passent la période de fête en beauté », a-t-il fait savoir.
Jean-Pierre Kasongo a rassuré qu'il n'y a jamais eu de rupture de stock, ni de changement de prix depuis le lancement de cette opération de ravitaillement des cantines il y a près de 3 ans.
« Je voudrais ici rassurer les familles des militaires et policiers que les services militaires a suffisamment de stock pour nouer les deux bouts de l'année. Il n'y a jamais eu de rupture de stock depuis que nous avons lancé l'opération de vente des farines dans les cantines militaires et il n'y en aura pas. Nos stocks en sont la preuve. Nous avons suffisamment produit l'année dernière, nous avons des cultures en croissance. Pendant que je vous parle, nous allons commencer une prochaine récolte d'ici le mois de mars et donc on ne manquera de rien. Il n'y aura jamais de rupture, donc les militaires, les policiers ainsi que leurs familles ne doivent pas s'inquiéter », a-t-il déclaré.
Le service national, dans le souci d'améliorer la vie sociale des militaires, policiers et leurs dépendants, diversifie sa production avec l'élevage des boeufs qui sera bientôt la matérialisation de l'une des promesses du chef de l'État, Félix Antoine Tshisekedi.
Notons que malgré la dépréciation de la monnaie nationale, le sac de maïs de 25 kg se vend toujours à 18000 francs congolais. Dynamique que prévoit maintenir le service national.
Grâce Kenye