Redonner du sens à la vérité : Nicolas Kazadi réhabilité par le temps et ses performances (Tribune de Cédric Mudiantu)

Dimanche 27 juillet 2025 - 21:17
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Dans un environnement politique féroce, il a choisi la méthode plutôt que le tumulte. Ses détracteurs l’ont sali, mais sa gestion a tenu bon. Aujourd’hui, alors que les procès médiatiques s’essoufflent et cèdent progressivement la place à de vrais procès qui identifient de vrais coupables, l’opinion redécouvre cet homme que la République n’aurait jamais dû trahir.

Quand le mépris et l’humiliation ont été publics, le pardon, lui aussi, doit l’être. Pendant des mois, Nicolas Kazadi a été livré à la vindicte, caricaturé, piétiné dans les discours comme dans les intentions. Certains voulaient faire de lui un symbole d’échec, un paratonnerre commode pour dissimuler leur propre impuissance, ou, pire encore, leur mafiosité.

Mais à l’épreuve du temps, les faits ont fini par parler, et leur voix est plus forte que tous les procès de l’opinion. Il faut du courage pour gérer les finances d’un État en mutation, encore plus pour affronter les tempêtes sans céder à la facilité du populisme. Nicolas Kazadi l’a fait, avec méthode et détermination. Derrière les attaques, il a laissé les chiffres répondre. Derrière les attaques personnelles, il a préféré l’effort soutenu et la cohérence plutôt que la surenchère médiatique.

Aujourd’hui, ses réalisations imposent le respect, même à ceux qui ont voulu le noircir à tout prix.

Au tribunal du temps, le juge s’appelle la vérité. Et devant ce tribunal-là, les artifices s’effondrent, les mensonges se dissipent, la cohérence s’impose.

Nicolas Kazadi n’a pas eu besoin de hurler pour se défendre : le temps, cette autre appellation de Dieu, a été son meilleur allié et il a fait le tri. À ceux qui doutaient encore, la réalité vient rappeler que les bâtisseurs finissent toujours par se distinguer, même dans le vacarme.

La fière chandelle revient aussi au Président de la République, Félix Tshisekedi, pour avoir su garder le cap de la sagesse et de la neutralité. Il n’a pas cédé aux pressions, ni aux règlements de compte, préférant le discernement à la foule. En démocratie, il est rare de voir un leader maintenir cette hauteur de vue. Ce choix, aujourd’hui, honore la République.

Nicolas Kazadi Nzuji, surnommé à juste titre « Monsieur Performances », revient dans le débat public, non pas par des slogans populistes ou des intrigues, mais porté par les preuves concrètes de son action. Ses réalisations parlent désormais plus fort que les cris de ses détracteurs. Ce n’est pas la polémique qui construit un pays, c’est la rigueur, la vision, le travail et les résultats. Et en cela, il a marqué son temps.

Cette vérité-là, aucune campagne d’opprobre ne pourra l’effacer. A ceux qui s’acharnent sur les hommes de devoir, qu’ils méditent ceci : « l’histoire ne retient pas les injures, elle retient les œuvres ».

Tribune de Cédric Mudiantu

 

AfroPari Juillet 2025