Coup dur pour les consommateurs congolais avec la fin des forfaits SMS en RDC décidée par les opérateurs de télécommunication après l'augmentation du tarif de la taxe sur le contrôle des flux téléphoniques !
C'est la première conséquence, avant d'autres, du décret du Premier ministre fixant les modalités de calcul et les taux des prestations de l'autorité de régulation de postes et télécommunications (ARPTC).
Pris le 11 décembre 2018, mais non encore publié au journal officiel, le décret de Bruno Tshibala prévoit une augmentation notable de plusieurs taxes perçues par l'ARPTC.
Politique
Les éléments de la police ont érigé mercredi 19 décembre des barricades sur la route de l'aéroport pour empêcher les partisans de Lamuka d'aller accueillir le candidat président de la République Martin Fayulu.
Les partisans de Lamuka font fi de la décision du Gouverneur de la ville, André Kimbuta, interdisant les activités de campagne des candidats présidents de la République à Kinishsa. Ils se dirigent en masse depuis ce matin vers l'aéroport de N'djili pour accueillir Martin Fayulu.
Des militants de Lamuka ne veulent pas entendre parler d'une quelconque interdiction de la campagne des présidentiables à Kinshasa.
Le cortège de Martin Fayulu, qui se rend au meeting à la Place Sainte Thérèse de N'djili, est bloqué au niveau de la Commune de N'sele par la police qui a érigé une barrière créant du coup un grand bouchon sur la nationale n°1.
Selon un cadre de la coalition Lamuka, qui contacté mercredi 7SUR7.CD, le pouvoir veut empêcher Fayulu de se rendre à son meeting annoncé de longue date.
La coalition Cap pour le changement (CACH) annonce qu'elle tiendra bel et bien son meeting de clôture de la campagne le 21 décembre 2018 place Sainte-thérese, malgré la suspension par le gouverneur de la ville de Kinshasa André Kimbuta Yango, de la campagne électorale à dater de ce mercredi 18 décembre sur toute l'étendue de la capitale.
C'est-ce qu'a fait savoir Péter Kazadi, directeur de cabinet adjoint de l'UDPS et cadre de CACH, via son compte tweeter.
Selon lui, ces mesures prises pour le gouverneur de la ville sont ''anti-constitutionnelles''.
Malgré la suspension de la campagne électorale, pour des raisons de sécurité publique, ce mercredi 19 décembre à Kinshasa par le gouverneur ; La coalition Lamuka maintient son meeting à la place Sainte Thérèse à N'djili.
D'après nos reporters sur place, le podium démonté par la police, a été remonté par les organisateurs de cette manifestation.
Le gouverneur de la ville de Kinshasa a, mercredi 19 décembre dans un communiqué, suspendu la campagne électorale à Kinshasa.
André Kimbuta justifie sa décision par la confrontation que s'apprêterait à se livrer les extrémistes de tous les camps politiques.
Le gouverneur motive aussi sa décision par le fait que des incidents graves qui ont émaillé la campagne électorale.
Via une déclaration politique mardi 18 décembre, la jeunesse de l'UDPS Kibassa, appelé à une "veillée patriotique dénommée Bye bye Kabila" en guise de l'alternance démocratique au sommet de l'État lors de la publication des résultats.
Par la même occasion, les jeunes de cette formation politique proche de l'UDPS/Tshisekedi, affirment rester dans la logique de l'organisation des élections le 23 décembre, derrière leur candidat président Félix Tshisekedib et invitent le président de la CENI au respect de la date prévue pour la tenue des élections.
Par ailleurs, ils condamnent les morts enregis
Martin Fayulu est arrivé à Masimanimba, dans la province du Kwilu ce mercredi 19 décembre dans la matinée. Il y a même tenu un grand meeting de campagne électorale.
Il s'en est suivi des scènes de violences et affrontements entre les militants de Fayulu et les éléments de la police.
Des sources sur place rapportent que des militants qui suivaient le cortège de Fayulu ont tenté de déchirer une affiche de Shadary et de vandaliser un écran géant de la députée Antoinette Kipulu qui diffusait les images de campagne.
Les policiers ont vite réagi.
Le coordonnateur du Comité Stratégique du Front Commun pour le Congo, "FCC", s'est montré confiant ce mercredi 19 décembre 2018, sur la victoire de sa famille politique à la prochaine élection présidentielle.
Pour Néhémie Mwilanya qui intervenait sur Radio France Internationale, "RFI" ce matin, trois raisons principales seront à la base de l'échec de l'opposition dans son ensemble le 23 décembre 2018.
"L'opposition ne peut pas gagner les élections dans ce pays pour des raisons objectives.