Après plusieurs demandes de certains partis politiques et des organisations de la société civile, la Commission Electorale Nationale Indépendante(CENI) a enfin promis de rendre publics les deux rapports de la mission concertée entre l’OIF et les Nations-Unis, effectuée l’année passée, sur l’état de lieu du processus électoral en RDC, afin de s’acquitter de cette obligation légale.
Politique
La CENI tient résolument à son engagement pour l’organisation des prochaines élections en stabilisant la cartographie opérationnelle des entités territoriales de base et des sites de vote, la révision du
fichier électoral.
Concernant la révision du fichier électoral de 2006 et de 2011, indique-t-on à la Ceni, l’objectif poursuivi est de disposer d’un nouveau fichier capable de prendre en charge tous les onze scrutins prévus dans la loi électorale, d’enrôler les nouveaux majeurs et les Congolais résidant à l’étranger.
Pour ce qui est de l’acquisition des kits d’enr
Mukendi Mulumba Kabemba est Professeur à la Faculté d’Economie de l’Université de Kinshasa. Il n’a pas apprécié les affirmations du Sénateur Mokonda Bonza contre les acquis du Gouvernement Matata dans la conclusion de sa question orale avec débats. Il sollicite, d'ores et déjà, un débat contradictoire d'idées, sans passion, ni complaisance, moins encore arguments ad hominem. Un débat urbi et orbi qui permettrait aussi à son collègue Mokonda Bonza de donner sa position.
A l’affiche, le nouveau code de la Famille, l’ordre des Infirmiers, l’ordre des Chirurgiens-dentistes, la profession de notaire…
La semaine dernière, à Genval, l’opposition congolaise a reconnu que "seule l’unité des forces politiques et sociales acquises au changement peut permettre d’atteindre (ses) objectifs". Devant la nécessité de lutter pour obtenir des élections telles que prévues par la Constitution, elle fait front aux projets du président Kabila de se maintenir au pouvoir, en se réunissant dans un "Rassemblement".
A l’occasion du début du sixième sommet des Chefs d’Etat et des gouvernements de la Conférence internationale sur la région des Grands-Lacs (CIRGL) ce mardi 14 juin à Luanda (Angola), le Centre d’étude pour la paix, la démocratie et les droits de l’Homme (CEPADHO) demande aux dirigeants de la région de se pencher sur la question des rebelles ougandais des ADF.
Cette organisation de la société civile du Nord-Kivu évoque une « menace terroriste » des ADF qui risque de traverser les frontières.
Ces rebelles ougandais sont accusés d’être responsables de plusieurs massacres des po
Une grande panique s’est emparée la nuit du dimanche à lundi 12 juin des habitants de la localité de Buleusa dans le groupement Ikobo, à la limite des territoires de Lubero et Walikale. Un groupe de présumés rebelles des FDLR armés auraient été aperçus aux alentours du village.
C'est finalement après le 2è tour que Rémy Massamba a remporté le mardi 14 juin l'élection pour le poste de 2e vice-président de la chambre basse face à Toussaint Alonga.
Rémy Massamba a été élu par 227 députés nationaux contre 122 pour son challenger. Il remplace ainsi Kombo Nkisi, dont le décès intervenu il y a plus d'un mois avait laissé le poste de 2eme vice-président de l'Assemblée nationale vacant.
Rémy Massamba, député Udps, avait les faveurs de la Majorité présidentielle. Toussaint son challenger n'avait donc pas beaucoup de chances de l'emporter.
Le facilitateur de la crise congolaise Edem Kodjo n'est pas encore au bout de ses peines. Son dialogue n'a toujours pas débuté. Ça commence à faire long pour un dialogue convoqué en novembre dernier.
Pour le débloquer, l'ex premier ministre togolais a dit, le mardi 14 juin au cours d'un point de presse, son intention de se rendre à Bruxelles pour y rencontrer l'opposant historique Étienne Tshisekedi.
Le facilitateur du dialogue se rend la semaine prochaine à Bruxelles pour rencontrer les conclavistes de Genval. Edem Kodjo pense qu’il faut avoir le même entendement avec l’opposition sur un certain nombre de points. Quelques concepts constituent encore le point d’achoppement entre les deux camps politiques. Il faut tout clarifier, dit-il pour éviter de semer la confusion. Le diplomate togolais sait que la tache ne sera pas facile face à une opposition très hostile à l’idée d’un dialogue made in Kabila.