Politique

Le Centre d’Etudes Politiques et Stratégiques, CEPOST en sigle, qui se présente, ici,  comme une structure impartiale  de la Société civile, constate que les conditions d’organisation des élections crédibles ne sont toujours pas réunies en RD. Congo.  Le fichier électoral est dépassé alors que  l’Etat peine à mobiliser 1,2 milliards USD  pour la tenue des scrutins prévus. Pendant ce temps, le décor de la contestation est planté.
La Fédération provinciale du Parti démocrate chrétien (PDC) en ex-Équateur accuse le gouverneur intérimaire et coordonnateur de la Majorité présidentielle (MP), Sébastien Impeto, d’utiliser le logo et le drapeau du parti sans autorisation. Le 14 octobre dernier, M. Impeto a été radié par le collège des fondateurs de ce parti du G7, parce qu’il a decidé de rester fidèle au chef de l’État, Joseph Kabila.
Le président de la République Joseph Kabila vient d’envoyer un message politique fort à ses adversaires politiques. Ceux qu’ils soupçonnent de vouloir l’enterrer politiquement très tôt.  Le chef de l’Etat vient de procéder à la nomination  de nouveaux gouverneurs appelés « commissaires spéciaux » pour combler le vide administratif dans les provinces nouvellement créées (22 au total).
A peine rentré de sa tournée ouest-africaine, l’opposant Moise Moni Della a mis en garde le pouvoir contre toute tentative d’organiser le referendum. Il a  dénoncé la stratégie du régime Kabila de prévoir déjà le financement du référendum dans le projet du budget 2016. Le secrétaire général du Rcd-N  a  rappelé que ce n’est pas à la veille des élections, qu’un régime finissant peut se permettre une telle monstruosité. ‘‘Un tel referendum n’est pas conforme aux règles de l’art.
Ils ne baissent pas les bras. Les anciens élus de 2006 et de 2011 demandent à l’Etat de payer à chacun leurs arriérés d’émoluments et primes évalués à 7 mille dollars. N’étant pas entendus, ils sont descendus protester jeudi au cabinet du premier ministre. Malheureusement et comme d’habitude à la primature, la police a été réquisitionnée pour les disperser. Les législateurs d’hier ont été chassés comme des malfrats, a déploré un activiste de droits de l’homme. Le sit in projeté a été étouffé par la police.
1. Prologomènes Serrez la ceinture lors de cette lecture car la présente réflexion vous fera voguer dans des zones vertigineuses. Les révérends protestants du sommet du sous-marin (pas les bandimi), et les vénérables catholiques du haut du pavé (épargnant les fidèles) ont rivalisé et rivaliseront en vue d’arracher le contrôle de la CENI, un mécanisme politique ultra névralgique, créateur des dieux, pardon, faiseur des rois. En accéléré nous dirons : les protestants ainsi que leurs alliés, crient victoire. Mr NANGAA, leur poulain moulu à l’école de Malumalu, et hissé sur le strapontin.
Le débat sur le projet de budget 2016 a révélé un malaise sérieux qui bat son plein au sein de la Majorité Présidentielle (MP), la famille politique du chef de l’Etat, Joseph Kabila Kabange. Les sévères critiques émises par les membres de cette famille à l’endroit du premier d’entre eux dans l’exécutif national, Augustin Matata Ponyo, ont démontré que la cohésion n’est pas totalement refaite malgré les appels à l’unité du Rais après lé départ des dissidents du G7.
Le projet de Budget 2016 finalement déclaré recevable.   Après les critiques acerbes enregistrées lors du débat général sur la loi de reddition des comptes 2014 par le ministre des Finances, puis sur le projet de budget 2016 par le Premier ministre, notamment au sujet des dépassements budgétaires, de mauvaises imputations des dépenses, du non respect des rubriques libellées, l’opinion pensait que Matata Ponyo allait être recalé à l’Assemblée nationale.
La République démocratique du Congo participe activement au troisième sommet du Forum Inde-Afrique qui se tient à New Delhi, en Inde.   Le chef de la diplomatie congolaise, Raymond Tshibanda, est en visite à New Delhi, capitale de la République de l’Inde où il est arrivé dans la nuit du 27 octobre, à 3 heures du matin, heure de l’Inde par aéroport international Indira Gandhi.   Au coeur des échanges des ministres des Affaites étrangères du continent africain et l’Inde, le renforcement de la coopération dans p1uieurs domaines de développement entre l’Inde et l’Afrique.
Une fois de plus comme il ambitionne de le faire, le président national de « Congo Na Biso » a été à l’écoute de là base. Il a été l’hôte de la cellule du parti Kimbwala-Malweka à Kinshasa.   Le président national du parti politique « Congo Na Biso », Freddy Matungulu, est, depuis son retour au pays en train de palper du doigt les réalités des conditions de vie, non seulement des militants de sa formation politique, en particulier, mais aussi de tous les Congolais, en générai.