Politique

Ceci est indiscutable : Moïse Katumbi est parmi les personnalités les plus populaires de notre pays et à ce titre, il ne laisse personne indifférent ! Comment, d’ailleurs, peut-il en être autrement quand on sait qu’il est à la tête d’un véritable empire financier et dirige l’un des clubs de football qui passe pour l’un des plus populaires de notre pays ? On comprend ainsi l’effervescence qui a gagné tout notre pays et plus particulièrement, la province du Katanga qu’il dirige, depuis que Moïse Katumbi est porté disparu. Que de ragots, n’a-t-on pas entendus à ce sujet ?
Les deux chambres du parlement vont se réunir en session extraordinaire du 27 décembre 2014 au 26 janvier 2015. Le président du Sénat, Léon Kengo, comme son collègue de l’Assemblée nationale, Aubin Minaku, ont déjà précisé le menu : examen et adoption de la Loi électorale. Depuis un temps, on assiste à une levée de boucliers du côté de l’Opposition parlementaire.
A l’occasion de la toute dernière conférence de presse de la Monusco de cette année 2014, Martin Köbler, représentant spécial du Secrétaire général des Nations Unies en RDC, a répondu aux préoccupations des médias, hier mercredi 17 décembre au QG de la structure onusienne à Kinshasa.
Carnages à répétition à Beni Il apparait aujourd’hui que la connexion entre les éléments de l’ex-M23 et ceux de l’ADF-Nalu dévient une réalité et qu’une tribu d’origine congolaise située à califourchon sur les territoires congolais et ougandais doit faire l’objet d’une sérieuse investigation Le ministre en charge de l’Intérieur et de la Sécurité vient de changer de mains !
Entreprises publiques Une sérieuse menace de déstabilisation du duo Agnès Mwad-Musole Il ne se passe pas un mois sans que l’une ou l’autre agence de l’Institut national de sécurité sociale, INSS, ne déplore un harcèlement d’un incivique utilisant le nom de l’assistant du Directeur général adjoint de cet établissement public pour escroquer les cadres moyens et de direction œuvrant au sein de cette institution. Se présentant au nom et en qualité de M.
Premier conseil des ministres du gouvernement Matata II aujourd’hui jeudi 18 décembre, soit neuf jours après la publication du gouvernement de » cohésion nationale « , attendu depuis plus d’un an. Les observateurs vont suivre avec impatience le compte-rendu de cette réunion, devant donner des indications sur l’application des orientations donnée à la politique du pays par le chef de l’Etat, lors de son discours sur l’Etat de la Nation. Le gouvernement Matata II, va sans doute conduire le pays aux élections de 2016.
Faut-il organiser les scrutins locaux avant la présidentielle et les législatives de 2016 en RDC ? Non, selon l'opposition, qui redoute un report de ces échéances nationales. Oui, dit le président de la Ceni, l'abbé Apollinaire Malumalu Muholongu. Apollinaire Malumalu Muholongu, 53 ans, est un prêtre catholique du diocèse de Beni-Butembo, dans le Nord-Kivu, sa province natale. De retour à Butembo en 1997 après avoir obtenu un doctorat en sciences politiques à Grenoble (où il fut curé de 1993 à 1996) et un DEA à Lyon, c'est en 2003 que l'abbé fait son entrée dans la vie politique congolaise.
Après le discours du Chef de l’Etat sur l’état de la Nation le 15 décembre dernier devant les députés et sénateurs réunis en Congrès, des commentaires fusent de partout, en sens divers. Le dernier en date, est celui de Martin Kobler, le Chef de la Monusco en Rd Congo qui s’est exprimé au sujet de l’organisation des élections.
Le leader de l'ex-rébellion du Mouvement du 23 mars (M23), Bertrand Bisimwa (photo), a déclaré mardi 16 décembre 2014 que « près de 1 600 combattants, sur un effectif total de près de 1 700, jusque-là cantonnés dans un camp militaire en Ouganda, sont en fuite ». « Ils se sont dispersés à la suite d’une tentative de rapatriement forcé qui a tourné court.
Les Nations unies ont indiqué, hier mercredi 17 décembre 2014, avoir proposé leur aide aux autorités du Nord-Kivu pour que la fermeture des camps de déplacés de cette province de l’Est de la RDC se fasse « selon les règles humanitaires internationales », rapporte l’AFP. Selon la source, au cours d’une récente « mission avec toute l’équipe humanitaire » à Goma, chef-lieu du Nord-Kivu, les agences concernées de l’ONU sont venues « apporter aux autorités provinciales l’appui des humanitaires pour que la fermeture se fasse selon les règles humanitaires internationales », a déclaré Moustapha Souma