Politique

A l‟occasion de la cérémonie d‟ouverture de la conférence de haut niveau organisée par le ministère allemand de la Coopération et du Développement, Matata Ponyo, le Premier ministre congolais a insisté sur les besoins réels de l‟Afrique toute entière. Pour lui, l‟Afrique a besoin de la paix pour se développer comme l‟Europe en a eu besoin pendant les « trente glorieuses » vers les années 1945 et 1975 En ce qui concerne la prévention des conflits, le chef de l‟exécutif dit qu‟il faut tout faire pour éviter qu‟après la crise soit avant la crise.

Le vice-président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), André Mpungue Songo a donné, jeudi, à l‟Hôtel Sultani dans la commune de la Gombe à Kinshasa, le coup d‟envoi du séminaire de trois jours organisé par cette institution à l‟intention des mandataires des partis politiques sur le cadre légal et réglementaire des élections en RDC. Selon M. Mpungue, ce séminaire est destiné à mobiliser, à informer et à sensibiliser les mandataires des partis politiques pour que le cycle électoral en cours soit crédible, transparent et fiable.

Crédibiliser le processus électoral par l‟implication des différents partis politiques. Tel est l‟objectif global que poursuit la Commission électorale nationale indépendante, Ceni. C‟est la raison d‟être du séminaire qui s‟est ouvert hier, jeudi 11 septembre 2014, à l‟Hôtel Sultani, à Gombe, à l‟intention des mandataires des partis politiques et qui se clôture demain, samedi 13 septembre, au même endroit.

C'est avec une promptitude sans égale que le Président du Mouvement pour le Réveil de la Jeunesse Rd Congolaise,MRJCO en sigle, John Mbaya Ntita a réagi sur la question brulante de l‟heure : „„la révision Constitutionnelle‟‟. Il est monté sur ses chevaux pour clarifier ce que les jeunes pensent de ce sujet „‟fâcheux‟‟ qui déchire la classe politique en RD Congo. Il n‟y va pas par le dos de la cuillère pour clamer au plus fort de ces convictions que Joseph Kabila Kabange a le vent en poupe et peut conduire ce pays vers le meilleur avenir.

Le député national, Jean Bertrand Ewanga, a été condamné hier jeudi 11 septembre 2014, tard dans la nuit, par la Cour suprême de justice, à 12 mois de prison pour offense au chef de l‟Etat, aux membres du gouvernement et au président du parlement. Cette sentence est tombée à l‟issue d‟une audience qui a vu les avocats claquer la porte pour raisons d‟insécurité, suite à la présence massive des Pombas dans les périmètres de la haute cour.

Ce n‟est plus un secret pour personne, un groupe de Congolais tient à modifier ou à chambarder le pacte républicain grâce auquel ils sont pourtant au pouvoir, non pas pour consolider la démocratie mais plutôt pour préserver les privilèges acquis.

Objet d‟attention et bénéficiant de plusieurs soutiens, la Police nationale congolaise est sur la voie de devenir un service public de sécurité, appeler à inspirer la confiance à la population. Le ministre de l‟Intérieur, Sécurité, Décentralisation et Affaires coutumières en est convaincu.

Le ministre de la Santé publique, Dr Félix Kabange Numbi a transmis hier jeudi 11 septembre 2014 à la rédaction du journal le Phare, la situation actualisée de l‟épidémie d‟Ebola qui sévit dans la province de l‟Equateur. Sur base des données lui communiquées en dernière minute, par ses différents services, le titulaire de la Santé en République démocratique du Congo a signalé dans l‟après-midi que le bulletin médical à Boende se présente de la manière suivante : 3 nouveaux cas et au total, 7 cas en isolement dont 2 à Boende et 5 à Lokolia.

Le mercredi 10 septembre vers 11 heures, les principaux médias de la capitale sont informés qu‟un trait final va être tiré sur l‟affaire StarTimes qui défraie la chronique depuis près de deux semaines. Il était temps, se dit-on, car cette affaire commençait à donner une très mauvaise image de la République. Dans quel pays sommes-nous si les linges officiels sont désormais lavés dans la rue ? Vers où allons-nous si les chicanes des ministres doivent aboutir à la Cour Suprême ?

La plateforme « Cause Commune » a organisé pendant 2 jours au CEPAS, un atelier d‟échange et de réflexion avec différentes organisations féminines du pays, sur leur rôle et leurs responsabilités dans la promotion des droits des femmes. Marie- Madeleine Kalala, coordonnatrice de cette plateforme, a expliqué que l‟organisation de cet atelier procède du constat selon lequel deux décennies d‟actions et de mobilisation des organisations féminines n‟ont connu qu‟une faible influence sur la société jusqu‟à ce jour.