Sécurité

Des éléments des Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) ont été déployés dans 3 villages de Kalemie dont Mulisha, Matetezi et Kabuga en province du Tanganyika pour faciliter le retour des déplacés qui ont fui les attaques des groupes rebelles, il y a quelques jours. Selon l'administrateur du territoire assistant de Kalemie, ce renfort de l'armée a été effectué en vue d'assurer la sécurité des habitants de ces 3 villages précités, qui commencent déjà à regagner leurs milieux respectifs.

D'après un communiqué de presse de l'ambassade des États-Unis d'Amérique en République démocratique du Congo daté du 30 janvier 2021 et parvenu à 7SUR7.CD, les possibilités de formation militaire et d'engagement coopératif que le Commandement Américain pour l'Afrique (AFRICOM) offre à ses partenaires sont uniques et permettent un développement mutuellement avantageux des forces de chaque Nation.

Au total, 250 rebelles Twas se sont engagés pour une cohabitation pacifique à Kazana, une localité qui se situe à plus ou moins 75 kilomètres du territoire de Manono, en province du Tanganyika.    Se confiant à 7SUR7.CD le vendredi 29 janvier 2021, Mokamba Kaseya, administrateur dudit territoire affirme que cet engagement intervient après un long moment de sensibilisation qu'il a initiée à l’endroit de ces belligérants.  

La délégation du Commandement Américain pour l'Afrique (AFRICOM) qui séjourne en RDC depuis le 27 janvier dernier, a rencontré le chef de l'État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo ce jeudi au Palais de la Nation situé à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo.

Les Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) ont affirmé avoir délogé un autre groupe des rebelles, à l’issu des combats qui les ont opposé, lundi et mardi derniers au village Nyamitwitwi, près de Nyamilima, dans le territoire de Rutshuru (Nord-Kivu).  D’après le porte-parole de l’armée au Nord-Kivu, le major Djike Kaiko Guillaume, qui livre l’information à 7SUR7.CD ce jeudi, l’ennemi a été vite contenu. Il n’a cependant pas dressé un bilan « pour des raisons tactiques ». 

Au total, 7.909 violations et atteintes aux droits de l'homme ont étés recensées en République démocratique du Congo en 2020. C'est ce que révèle le rapport du Bureau Conjoint des Nations-Unies aux Droits de l'Homme (BCNUDH) rendu public le mercredi 27 janvier 2021.  "En 2020, le BCNUDH a documenté 7.909 violations et atteintes aux droits de l’homme en République démocratique du Congo, ce qui représente une moyenne de 659 violations par mois", renseigne ledit rapport.

Les rebelles Maï-Maï "Léopards" viennent d'exprimer leur volonté de se rendre aux autorités congolaises après de nombreuses années d'activisme en territoire de Lubero (Nord-Kivu). Ce vœu est consécutif à une campagne de sensibilisation du programme de Désarmement, Démolisation et Réinsertion Communautaire (DDRC) qui les a visés.

Les Forces Armées de la République Démocratique du Congo "FARDC" ont lancé ce lundi 25 janvier 2021, un avis de recherche contre Justin Maki Ghessi alias "Petit loup de la montagne", leader de l'Armée de Libération du Congo, Coopérative pour le Développement du Congo(ALC/CODECO). A en croire le lieutenant Jules Ngongo, porte-parole du secteur opérationnel de l'armée en Ituri, l'objectif visé à travers cet avis de recherche est "de neutraliser définitivement" ce chef rebelle, auteur de plusieurs exactions en territoire de Djugu.

David McLachlan-Karr, coordonnateur humanitaire en République démocratique du Congo (OCHA), condamne  "fermement" les massacres, les enlèvements et autres atteintes aux droits de l’homme perpétrés par les éléments armés à Beni, dans la province du Nord-Kivu, à l’encontre des civils. Dans un communiqué publié jeudi 21 janvier 2021, OCHA indique que les violences se sont multipliées à Beni et se sont étendues sur les territoires frontaliers d’Irumu et de Mambasa, dans la province de l’Ituri depuis novembre 2019. 

Les Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) ont annoncé avoir arrêté quelques suspects impliqués dans le meurtre du colonel Vita Kitambala, tué dans une justice populaire la semaine dernière en commune de Lume, secteur Ruwenzori, dans le territoire de Beni. L'annonce a été faite, ce vendredi 22 janvier, par le lieutenant Antony Mualushayi, porte-parole du secteur opérationnel de l'armée dans la région.