Sécurité

Les dix-huit victimes de la dernière attaque des FDLR ont été portées en terre, vendredi 8 janvier, dans la cité de Miriki, située à 110 km au Nord de Goma (Nord-Kivu), en présence des membres de la délégation mixte Monusco-gouvernement. Les six blessés sont admis dans un centre de santé de la place.
  Lubero s’est réveillé en colère vendredi. Les habitants de ce territoire du Nord-Kivu accusent l’armée congolaise et les casques bleus de la Monusco de passivité. Ils ne comprennent pas comment les tueurs Fdlr ont dû opérer dans une zone où les deux forces sont présentes. A la société civile locale, on pointe du doigt accusateur les forces onusiennes. Les rebelles hutus rwandais ont tué à la machette des paisibles citoyens à proximité d’une base de la Monusco, a déploré un activiste local.
L Nord-Kivu, en général, et le territoire de Lubero, en particulier, continue de compter le nombre de morts parmi ses habitants. Les FDLR ont encore endeuillé plus d’une dizaine de familles.   Entre quatorze et seize personnes, selon les sources médiatiques relayées par Le Potentiel, ont été tuées dans la nuit de mercredi à jeudi 7 janvier dans l’Est de la RDC, précisément à Miriki, territoire de Lubero dans la province du Nord-Kivu à environ 110 km au Nord de Goma, chef-lieu de cette province déchirée par les conflits depuis plus de vingt ans.
Le commandant de la zone opérationnelle Grand Nord et de l’opération Sokola 1, le général Marcel Mbangu Mashita, a exhorté la population de la province du Nord-Kivu (Est de RD Congo) à ne « pas abuser des réseaux sociaux pour démoraliser la population et les troupes sur terrain face aux ADF Nalu ». « Les réseaux sociaux et les médias ne sont pas des voies indiquées pour donner des informations au commandement Sokola 1 sur ceux là qui commettent des crimes dans le territoire de Beni », a recommandé le général Marcel Mbangu au cours d’un  récent point de presse à B
Les services de sécurité de la République démocratique du Congo se disent inquiets par rapport aux informations faisant état d’infiltrations de rebelles burundais sur leur sol. Dans le territoire d’Uvira, l’armée et les autorités locales ont multiplié les opérations de sensibilisation auprès de la population pour signaler la présence de ces infiltrés. Il s’agit de quelque 70 km à surveiller. Une présence d’autant plus compliquée qu’il y a des groupes anciens comme les FNL du général Aloys Nzabampema, mais aussi des groupes nés depuis le début de la crise au Burundi.
Au moins quatorze personnes ont été tuées et neuf autres blessées lors d’une attaque de présumés rebelles des FDLR (Forces démocratiques de libération du Rwanda), dans la nuit du 6 au 7 janvier, à Miriki au Nord-Kivu. Selon des sources administratives locales, les victimes ont été choisies de façon sélective et ont été attaquées à l’arme blanche dans leurs maisons. Des habitants de Miriki, à plus de 200 km au nord de Goma, ont manifesté leur colère ce jeudi matin, faisant un blessé parmi les déplacés hutus qui se trouvent dans un camp près de la base locale de la Monusco. Selon le lieutenan
La société civile du Nord-Ubangi a fait une nouvelle découverte des engins explosifs non explosés à travers cette province. Le président de cette structure, Taylor Taima, a dressé l’état des lieux de ces engins de la mort, dans un entretien accordé, jeudi 7 janvier, à Radio Okapi. Il craint des éventuels accidents que pourraient causer ces engins comme celui qui a coûté la vie, il y a quelques semaines, à trois enfants qui s'amusaient avec une grenade, au village Gulu, dans le secteur de Wapinda, en territoire de Yakoma. Ces nouveaux engins ont été découverts, au Motel Nzekele, dans le quar
Suite à la situation d’insécurité qui règne dans le territoire de Lubero, au Nord-Kivu, la Société civile lance un appel au gouvernement afin de traquer les FDLR.   La Société civile des groupements de Tama et Itala, en territoire de Lubero (Nord-Kivu), appelle le gouvernement à lancer les opérations militaires contre les rebelles rwandais des FDLR et les Maï-Maï de l’Union des patriotes congolais pour la paix (UPCP), actifs dans la zone.   Cette structure a lancé cet appel dans un communiqué publié mardi 5 décembre 2015, à Lubero-Centre, rapporte Radio Okapi.   Selon la S
De prime abord, la réduction des effectifs des casques bleus n’a pas soulevé des vagues dans l’opinion, du fait que l’attention de la classe sociopolitique est braquée sur l’ouverture de ce dialogue tant vanté et attendu par les uns et les autres.