Société

Les archevêques et évêques membres de la Conférence Episcopale Nationale du Congo (CENCO) ont condamné sans ambages, mercredi 4 septembre 2024 à Kinshasa, les événements malheureux survenus à la prison centrale de Makala.  Ils ont exprimé leur compassion à travers une déclaration dénommée « la CENCO contre la banalisation de la vie humaine en RDC ». Choqués et attristés, les archevêques et évêques n’ont pas caché leur indignation en dénonçant les massacres perpétrés contre les paisibles citoyens congolais.

Le gouverneur de la Mongala a réuni, mardi dernier, les opérateurs économiques du territoire de Bumba situé à plus de 150 km de Lisala, chef-lieu de la province. Dans les échanges, Jean-collin Makaka Papekaka a d'abord remercié ces hommes et femmes d'affaires pour leur présence à la réunion. Le chef de l'Exécutif provincial les a, par la suite, sensibilisés au paiement de la taxe spéciale conventionnelle pour la reconstruction de la Mongala.

Dans une déclaration politique datée du 5 septembre 2024 et parvenue à la Rédaction de 7SUR7.CD, le parti politique Envol de Delly Sesanga estime qu’après le massacre de 9 membres d'une secte à Kilwa dans le Haut-Katanga, plus de 50 Wazelendo tués à Goma au Nord-Kivu, le carnage perpétré à la prison centrale de Makala est un fait susceptible de constituer un crime contre l'humanité supplémentaire.

Une feuille de route  de la commission technique mixte entre la République démocratique du Congo et l’Ouganda pour la reconstitution des frontières communes de ces  deux pays qui a débuté le mercredi 4 septembre dernier dans la ville de Goma est attendue. Selon une dépêche de l’Agence congolaise de presse, l’objectif des  travaux  de cette commission technique mixte est d’élaborer un budget de démarcation de la ligne de frontière partant du Mont Sabinyo à Bwindi, longue de 71 km dont 16 sont bornés.

Dans une déclaration le 4 septembre 2024, l'Eglise du Christ au Congo (ECC), dit être profondément choquée par la proportion qu'atteint le non- respect de la dignité de la vie humaine en RDC. L’ECC affirme qu’elle croit fermement que l'État congolais a le devoir sacré de protéger la vie des citoyens sans distinction.

Le président de l'Assemblée nationale, Vital Kamerhe, a reçu le mercredi 04 septembre 2024, une délégation de la société civile du Nord-Kivu, Sud-Kivu et Ituri, qui plaide pour l'amélioration de la situation sécuritaire, à la base de plusieurs difficultés sociales et économiques. Les préoccupations de la société civile ont tourné autour des conséquences qui découlent  de l'agression rwandaise dans l'Est de la République démocratique du Congo. Il s'agit de :

En marge du 9ᵉ sommet sur la coopération entre la Chine et l'Afrique, l'Ambassade de la République démocratique du Congo à Pékin a organisé, du 03 au 04, un forum économique réunissant les autorités et hommes d'affaires congolais et chinois. Durant ces assises, plusieurs panels ont été mis en place, auxquels ont participé plusieurs gouverneurs et ministres de la RD-Congo, dont ceux des Mines, Kizito Pakabomba, et des Hydrocarbures, Aimé Sakombi Molendo.

Le Service national des semences (SENASEM) sera bientôt doté d'un laboratoire "moderne". Il s'agit d'une dotation du Programme d'appui au développement rural inclusif et résilient (PADRIR). C'est le coordonnateur national du PADRIR, le professeur Muteba Kalala Damien, qui a procédé à la pose de la première pierre, le lundi 2 septembre 2024 à Kindu, devant l'inspecteur provincial de l'agriculture du Maniema. Selon les responsables de PADRIR, le coût total est évalué à environ 80.000$.

Des enseignants des écoles conventionnées catholiques et protestantes de la province du Haut-Katanga ont amorcé leur mouvement de grève illimitée suite à la non prise en charge de leurs revendications par le gouvernement de la République démocratique du Congo.