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Invité à prendre part à la célébration de la journée mondiale de la liberté de la presse ce vendredi 03 mai 2019 à Kinshasa, le chef de l'État a, dans son allocution, mis un accent particulier sur les élections du 30 décembre 2018, qui ont conduit à l'alternance. Pour Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, cette alternance est quelque chose qu'il faut bâtir.

Le chef de l'État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a déclaré ce vendredi 3 mai 2019 qu'il est préoccupé par les obstacles que les professionnels de médias croisent dans l'exercice de leur métier. Déclaration faite en marge de la célébration de la journée mondiale de la liberté de la presse à Kinshasa.

Dans une correspondance datée du 30 avril 2019 dont une copie est parvenue à 7SUR7.CD, le Commissaire général adjoint chargé de la Police Judiciaire invite Martin Fayulu Madidi à se présenter à son bureau ce lundi. "J'ai l'honneur de vous demander de bien vouloir vous présenter à mon cabinet de travail au bâtiment du casier judiciaire sise avenue Kalemie N°30 dans la commune de la Gombe ce lundi 6 mai 2019 à 10h00 précises pour des renseignements utiles à me communiquer", a écrit Jean Baelongandi.

Noël Tshiani Muadiamvita, candidat malheureux à l'élection présidentielle du 30 décembre 2018, dit constater que l'ancien chef de l'État Joseph Kabila Kabange gêne son successeur, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo. Pour Noël Tshiani, cela constitue un problème déstabilisateur de la République Démocratique du Congo.

Mike Hammer, ambassadeur des Etats-Unis d'Amérique en République démocratique du Congo, a, dans un message rendu public jeudi 02 mai à l'occasion de la Journée Mondiale de la liberté de la presse célébrée le 03 mai de chaque année, indiqué que "l'engagement déclaré du Président nouvellement élu, Félix Tshisekedi, en faveur de la liberté de la presse et du respect des droits de l’homme marque un tournant majeur et important vers un avenir meilleur pour le Congo".

Devant les militants de son parti mardi 30 avril dernier lors d’un meeting à la place de la Digue dans la commune de la Kenya à Lubumbashi, le président de l'Union des Nationalistes Fédéralistes du Congo, "UNAFEC", a réagi aux propos tenus par Martin Fayulu envers le chef de l'État lors de son dernier meeting à la Place Sainte Thérèse à Kinshasa. Selon Gabriel Kyungu Wa Kumwanza, la Constitution ne lui donne pas le droit de demander à Félix Tshisekedi de démissionner.

Le bureau définitif de l’Assemblée nationale a tenu lundi 29 avril dernier au Palais du Peuple, sa toute première réunion de travail après son installation, sous la houlette de Jeannine Mabunda. À l'issue de la réunion, le rapporteur de la chambre basse du Parlement a indiqué à la presse que le social des députés était notamment à l'ordre du jour.

Selon le directeur de cabinet du président de la plateforme Ensemble pour le Changement, Moïse Katumbi Chapwe va s'exprimer dans les jours à venir au sujet de toutes les questions d'actualité du pays. Affirmation faite par Olivier Kamitatu via Twitter lundi 29 avril dernier, en réaction à une information diffusée par un média au sujet de l'acquittement de Moïse Katumbi dans l'affaire de spoliation. Selon ce média, Moïse Katumbi aurait déclaré que son acquittement n'est pas l'oeuvre du chef de l'État Felix Antoine Tshisekedi Tshilombo.

Aubin Minaku ancien président de l'assemblée nationale a déclaré que Moïse Katumbi ne sera pas tué au cas où il décidait de revenir en République Démocratique du Congo. Déclaration faite au cours d'une interview accordée ce lundi 29 avril 2019 à Radio France Internationale, "RFI".

Aubin Minaku, ancien président de l'Assemblée nationale a, dans une interview accordée ce lundi 29 avril à Radio France Internationale, "RFI", salué la collaboration entre le Front Commun pour le Congo, "FCC", et le Cap pour le Changement, "CACH". Selon Aubin Minaku, l'essentiel demeure le fait que Félix Tshisekedi et Joseph Kabila ont permis à la République Démocratique du Congo de trouver la paix.