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Le chef de l'État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo est attendu à Libreville, capitale du Gabon ce mardi 11 juin 2019 pour une rencontre avec son homologue Ali Bongo Ondimba. Cette visite de travail et d’amitié selon le service de communication de la présidence, sera une opportunité pour les deux chefs d’Etat de faire le point sur les relations de coopération bilatérale et multisectorielle entre leurs deux pays, ainsi que sur les grandes questions de l’heure.
Plusieurs personnes se présentant comme membres de l'UDPS, ont organisé une marche ce mardi 11 juin dans les rues de Lubumbashi dans le Haut-Katanga pour protester contre "des propos outrageux" tenus par un député FCC contre Félix Tshisekedi lors de la  plénière du vendredi dernier à l'Assemblée nationale. Des pneus ont été brûlés dans certains endroits où les manifestants sont passés. Drapeaux de l'UDPS en mains sans oublier les affiches à l'image du président de la République, les manifestants entonnaient des chansons de soutien à Félix Tshisekedi.
Kabund, vice-pdt AN, qui a tenté en vain de raisonner les manifestants lundi Au lendemain de la manifestation des militants de l'UDPS devant l'assemblée nationale, le dispositif sécuritaire a été renforcé aux alentours du Palais du peuple, siège du parlement.  Sur place, on peut apercevoir des éléments de la police qui procèdent au contrôle des passants.  Les policiers en faction fouillent les sacs des passagers et filtrent toutes les voies d'accès du parlement. 
La Cour Constiturionelle a rendu lundi dernier dans la soirée les arrêts sur le contentieux électoral des législatives nationales du 30 décembre 2018. Une vingtaine de députés au total ont été invalidés par la Cour Constitutionnelle et perdent leurs sièges à la chambre basse du Parlement.  Parmi eux, figure l'ancien journaliste Daniel Safu membre de la plateforme politique LAMUKA. Il est remplacé par le PPRD Doudou Otete.
Dans une interview accordée à la presse ce lundi 10 juin au palais du peuple suite à la manifestation de protestation des combattants de l'UDPS, le premier vice-président de l'Assemblée nationale affirme qu'il n'était pas au courant de la motion initiée par l'élu du FCC sur les ordonnances du président de la République.
C'est depuis 11 heures, heure de Goma qu'une foule de militants de la plateforme Lamuka s'est mobilisée pour l'accueil de Katumbi à l'aéroport international de Goma. La plupart annoncent des actions de grandes envergures pour dénoncer ce qu'ils qualifient de "dictature qui prive à un fils congolais de circuler dans son propre pays." Certains Gomatraciens envisagent de faire de la désobéissance populaire face à ce deuxième refus d'atterrissage à Goma de l'aéronef de Katumbi. Ils insinuent qu'il s'agit de la continuité du régime Kabila.
  Le président intérimaire de l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social, "UDPS", Jean-Marc Kabund est intervenu ce lundi 10 juin pour calmer les militants de son parti en colère. Le premier vice-président de l'assemblée nationale a appelé les combattants du parti présidentiel au calme.  Malheureusement, la tentative du président intérimaire de l'UDPS n'a pas connu un grand succès.
Attendu ce lundi 10 juin à Goma dans la province du Nord-Kivu, Moïse Katumbi ne pourra plus s'y rendre faute d'autorisation d'atterrissage selon lui. "Je devais arriver à Goma ce lundi à midi mais faute d’autorisation, je suis encore contraint de reporter. Je m’excuse auprès de la population venue m’accueillir. Je la remercie et lui demande de ne pas se décourager. Ce n’est que partie remise. Je reste de cœur avec vous!", a indiqué Moïse Katumbi via Twitter.
Le chef de l'État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo est attendu en ce début de semaine à Malabo, capitale de la République de Guinée Équatoriale.  Il sera donc question pour le président de la République de prendre part à la conférence annuelle des banques africaines.  Organisées par la Banque Africaine de Développement, "BAD", ces assises constituent un rendez-vous des décideurs et bailleurs de fonds des projets intégrateurs régionaux et sous-régionaux. 
L'Union pour la Démocratie et le Progrès Social, "UDPS", est montée au créneau dimanche 9 juin 2019 pour fustigier le débat engagé vendredi dernier à l'Assemblée nationale autour des ordonnances du chef de l'État, portant nomination des mandataires publics à la Gecamines et à la Société Nationale des Chemins de Fer du Congo, "SNCC". Pour le parti présidentiel, la motion incidentielle du député Bindule est une œuvre diabolique montée pendant la nuit par les membres de l'ancien régime.

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