Fibank, au centre d’une maffia avec un indopakistanais

Mardi 10 juin 2014 - 10:26

Image retirée.
Ib hussein waljani, sujet indopakistanais, cadre de l’agence Ds Design Studio s’est octroyé sans qualité, un prêt de l’ordre de 225.000 dollars par la Fibank, au nom de son entreprise. Alors qu’il n’en avait pas reçu mandat. En réalité, des sources concordantes renseignent que c’est un groupe des cadres de cette institution financière qui lui avait facilité cette opération, en contre partie d’un pourboire consissant. Concrètement, sieur Ib hussein waljani s’est servi d’une procuration de son patron lui donnant exclusivement mandat pour accomplir les charges dans la paie des agents et d’autres besoins inhérent au fonctionnement de l’agence.

Point barre. Mais il va se servir de cette procuration spéciale pour engager l’agence, jusqu’à obtenir au nom de celle-ci mais pour son compte personnel, un prêt de 225.000 dollars. Ce qui est vrai, Ib hussein waljani ne pouvait pas parvenir à son but sans la complicité d’un groupe des agents de Fibank. Il va le du 27 mars 2013, bénéficier la première tranche de 125.000 dollars et la seconde tranche 100.000 dollars.

Ib hussein waljani ne mettra jamais le patron de l’agence au courant du prêt en question. Bien que le patron étant à l’époque en voyage pour des soins médicaux. D’ailleurs, c’est dans cette absence même, qu’Ib hussein waljani va profiter, pour concrétiser son entreprise criminelle. Ce n’est qu’au retour du patron de cette agence que l’affaire a été découverte.

Et l’agence va saisir le parquet près le Tribunal de grande instance de la Gombé qui a ouvert un dossier judiciaire enregistre sous le RMP 5976/PGI/KAS. Des sources renseignent également que la Fibank a même refusé de montrer au patron de cette agence les extraits des mouvements bancaires du compte de sa boite pour toute vérification utile.
Mais le parquet qui avait inculpé et mis en détention préventive Ib hussein l’a curieusement accordé la liberté provisoire dont la Fibank aurait payé même la caution. Le comble est qu’avec cette liberté, Ib hussein risque de se soustraire de la justice, parce que les faits sont avérés. Cette affaire a même mise en alerte la direction de litige de la banque centrale.
leon pamba
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