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Le Parti Lumumbiste Unifié (PALU) est prêt à aller au dialogue politique entre Congolais. Le secrétaire permanent et porte-parole du parti Gizenga Lugi l’a fait savoir le samedi 19 décembre dernier devant les cadres et militants réunis au siège du parti sis au quartier Debonhomme, dans la commune de Matete. C’était à l’occasion de la rencontre qu’il a organisée à l’intention des chefs des organes de base du parti. Il s’agit notamment des chefs de cellules, chefs de cercles, chefs de sections, ainsi que des secrétaires provinciaux de la ville de Kinshasa.  

Tout est allé vite et très vite à l’Office congolaise de Contrôle ! La grève déclenchée il y a une semaine vient de produire des effets néfastes et inattendus avec, la suspension du Directeur Général de cet office en la personne de Assani.

« A douze mois du délai constitutionnel, il est toujours possible d’organiser des élections crédibles, justes et transparentes, qui prennent en compte le défi majeur de l’inclusion des jeunes de 18 à 22 ans non enrôlés. Ainsi, le consensus électoral en demeure une condition sine qua non ». C’est en ces termes que les animateurs de la plate-forme « Agir pour les Elections Transparentes et Apaisées» (AETA), ont introduit la conférence de presse animée le samedi 19 décembre 2015 au Centre interdiocésain de Kinshasa, à Gombe.

C’est depuis le 18 décembre dernier que Thomas Lubanga et Germain Katanga ont quitté la prison de Scheveninge, dans la ville de La Haye, aux Pays-Bas, pour Kinshasa, où ils purgent désormais leurs peines. L’exécution des peines sera cependant, soumise à la supervision de la Cour Pénale Internationale (CPI) et doit être conforme aux normes internationales généralement acceptées pour le traitement des prisonniers, selon un communiqué de cette juridiction internationale.  

Qui a dit que l’UDPS était prête à renier son engagement à se battre pour l’émergence d’une vraie démocratie en République démocratique du Congo ? Ce serait mal connaître son président Etienne Tshisekedi. 

Le décor est en train de se mettra en place. Patiemment certes, mais tout porte à croire que, d’ici peu, ce sera le grand démarrage du dialogue politique. Confidences de Léonard She Okitundu.   II a été annoncé pour être national et inclusif... Et le dialogue politique le sera, d’ici peu. La confirmation est du sénateur Léonard She Okitundu. « Avec la désignation, bientôt, par le secrétaire général des Nations unies, du facilitateur au dialogue national, le décor est planté pour le démarrage en trombe de ce forum », a-t-il affirmé jeudi à Kinshasa.  

Des sources généralement bien informées à Kinshasa, nous apprenons que Joseph Olenghankoy, leader des FONUS, un des partis de l’Opposition qui n’ont cessé d’élever la voix pour appeler l’actuel Chef de l’Etat qui en est à son second et dernier mandat à la tête du pays à ne plus briguer un autre mandat, ferait l’objet d’un mandat de comparution du Parquet général de la Gombe. Le Parquet aurait en effet invité l’enfant terrible de l’Opposition congolaise à se présenter ce vendredi 18 décembre , afin qu’il soit entendu sur des infractions qui lui seront signifiées sur place.

Outres les organisations de la Société civile et formations politiques du pays, la communauté internationale a aussi débattu de cette situation des nouveaux majeurs!   La Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) procède, depuis la mise en place de son nouveau bureau, à l’évaluation du processus électoral en RD Congo. Un processus que cette centrale électorale a conduit jusque-là, alors dirigée par l’abbé-président Malumalu, qui avait démissionné de cette institution d’appui à la démocratie pour raisons de santé.  

Pour peu que l’on sache, la corruption est un crime grave qui affaiblit la société. Pourquoi, alors, ne pas se liguer, tous, contre cette pieuvre pour l’endiguer? Décodage   « À chacun, sa part du contrat dans l’implacable lutte contre la corruption ». Dans tous les cas, il n’y a pas meilleure posture à prendre que celle mise en avant par le conseiller  spécial du chef de l’Etat en matière de bonne gouvernance, de lutte contré la corruption, le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme.  

Le calendrier électoral n’est plus une priorité pour la Céni. De l’avis de son président, il ne sert à rien d’en publier un quatrième pour l’instant, alors que les trois premiers n’ont jamais été appliqués. Jouant au Ponce Pilate, Corneille Nangaa rejette toute la responsabilité sur les acteurs politiques qui doivent l’aider à dégager un consensus. Entre-temps, il promet de poursuivre ses consultations sans se préoccuper de la tenue d’élections générales en 2016.  Combien de temps prendront-elles ?