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Plusieurs fidèles de l'église Assemblée Chrétienne de Kinshasa (ACK) et des supporters du club de football Renaissance du Congo sont rassemblés devant la prison centrale de Makala à Kinshasa pour assister à la sortie de l'évêque Pascal Mukuna. Son acquittement est intervenu depuis samedi dernier selon certaines sources judiciaires, mais rendu public lundi. C'est en principe ce mardi 25 août 2020 que le leader du mouvement Éveil Patriotique doit sortir de la prison.
La conférence des présidents du Front Commun pour le Congo (FCC) a, à travers un communiqué parvenu ce mardi 25 août 2020 à 7SUR7.CD, condamné l'anarchie qui a élu domicile au poste frontalier de Kasumbalesa dans le Haut-Katanga où un groupe de militants du parti présidentiel opère dans la zone neutre dite "Bilanga" en percevant notamment des taxes douanières. 
Le groupe de 13 personnalités politiques et sociales signataires de l'appel du 11 juillet pour un consensus sur le processus électoral en RDC, a été reçu ce lundi 24 août 2020 en fin de journée par Martin Fayulu Madidi, président du parti politique Engagement pour la Citoyenneté et le Développement (ECIDé). À l'instar de la rencontre intervenue un peu plus tôt dans la journée avec Adolphe Muzito, coordonnateur de LAMUKA, le groupe de 13 a fait part de son cahier de charge à l'ancien candidat à l'élection présidentielle du 30 décembre 2018.
L'évêque Pascal Mukuna, responsable de l'église Assemblée Chrétienne de Kinshasa (ACK) a été acquitté par la justice congolaise. L'information émane de Me Jean-Claude Katende, président de l'Association Africaine de Défense des Droits de Homme et cadre de l'Éveil Patriotique, un mouvement piloté par Pascal Mukuna. "Enfin, l'évêque Mukuna est acquitté et sort bientôt de la prison. La justice a rétabli la vérité", a indiqué ce lundi 24 août 2020 JC Katende via Twitter.
Le groupe de 13 personnalités politiques et sociales signataires de l'Appel du 11 juillet dernier a été reçu ce lundi 24 août 2020 par le coordonnateur de la coalition de l'opposition LAMUKA, Adolphe Muzito, à Kinshasa, la capitale de la République Démocratique du Congo. Au cours de cette rencontre, il était question pour le groupe de 13, d'expliquer à l'ancien premier ministre Muzito le bien fondé de leur démarche, qui consiste à dégager un consensus les réformes à opérer avant la tenue des élections générales prévues en 2023.
François Rubota, président du regroupement politique, Alliance des Démocrates pour le Renouveau et le Progrès (ADRP), a, dans une interview accordée à 7SUR7.CD ce lundi 24 août 2020, rejetté les allégations du sénateur Modeste Bahati Lukwebo selon lesquelles des membres du FCC l'ont  "diabolisé" auprès de Joseph Kabila. D'entrée, F. Rubota précise que personne n'en veut à B. Lukwebo.
Par visioconférence, le président du Parti National pour la Réforme (PNR) a présenté le samedi 22 août 2020 sous forme de conférence de presse la vision de son parti pour l'émergence Économique de la RDC. À en croire Delphin Kyubwa, les perspectives technologiques à elles seules peuvent permettre la création de 10 millions d'emplois dans 5 ans. "La vision du PNR consiste à tirer profit de la révolution technologique moderne pour faire de la RDC un pays émergent dans 5 ans", a expliqué le président du PNR.
Les réformes électorales à opérer avant la tenue des élections générales prévues en 2023 continuent de susciter des réactions en République Démocratique du Congo. Plusieurs initiatives sont entreprises dans ce sens par différents acteurs sociopolitiques Congolais. C'est le cas du groupe de 13 personnalités politiques et sociales signataires de l'appel du 11 juillet dernier, qui préconise un consensus sur les réformes électorales.
C'est le samedi 22 août 2020 que Martin Fayulu et Adolphe Muzito, deux membres du présidium de la coalition LAMUKA, ont regagné Kinshasa par l'aéroport international de N'djili. Un come back tant attendu par les militants de cette plateforme politique, qui tenaient à tout prix à revoir celui qui les a représentés à la présidentielle 2018, mais aussi l'ex-premier ministre de la RDC.
Dans un communiqué daté du 23 août 2020, l'Union pour la Nation Congolaise (UNC) a constaté que la dégradation de l'état de santé de Vital Kamerhe a suscité des sérieuses inquiétudes au sein de l'opinion dimanche dernier. C'est dans ce cadre que le secrétaire général a.i de cette formation politique précise que l'UNC a échangé avec les médecins qui le soignent et informe les cadres, militants, sympathisants, l'opinion nationale et internationale que l'état de santé de Kamerhe est "stable mais nécessite un suivi médical approprié et permanent".