Société

Une demoiselle de 20 ans a trouvé la mort dans un Centre Médical situé au N°19 de l’avenue Bamboma, quartier Camp-Luka, dans la commune de Ngaliema, le vendredi 24 avril aux environs de 13 heures suite à un avortement forcé. Selon les témoignages recueillis auprès des infirmiers, la jeune fille est décédée suite à une hémorragie survenue après qu’elle ait tenté d’évacuer le fœtus. Faute d’un matériel adéquat dans ce Centre de santé, la transfusion sanguine de l’infortunée était impossible. Le médecin, ayant constaté que la victime avait perdu beaucoup de sang, a pris la poudre d’escampette.

Une équipe de la Police nationale congolaise en patrouille au quartier Munganga, dans la commune de Ngaliema à Kinshasa, a été attaquée par une bande de criminels non autrement identifiés, dans la nuit de dimanche 26 avril 2015 pendant que ces policiers, effectuaient, leur ronde de routine. Ils ont été surpris par des tirs d’armes à feu provenant de la direction opposée. Naturellement, la police a répliqué.

Un incendie s’est déclaré samedi 25 avril 2015 dans un immeuble abritant le centre médical Le Rocher, situé au quartier 8 dans la Commune de N’Djili. Comme un seul homme, les jeunes du quartier se sont mobilisés pour éteindre le feu afin de limiter les dégâts tant matériels qu’humains. Des sceaux d’eau ont été d’un apport important. Malheureusement, une bonne partie du centre médical étant écarté, l’origine de l’incendie n’étant pas connu pour savoir s’il s’agit d’un incendie d’origine criminelle ou une mauvaise manipulation de fils électriques.

Vingt-cinq cadres et agents du Service national d’informations rurales (SNIR) ont reçu leurs brevets de participation le vendredi 24 avril dernier des mains du Secrétaire général du Développement rural, représentant du ministre de tutelle, au terme d’un atelier de cinq jours de formation.

En l’espace d’une semaine, trois mines anti-char ont été découvertes dans le territoire de Rutshuru. Cette situation préoccupe les humanitaires et la population locale.

L’Etat a repris dans la commune de Limete (Est de Kinshasa, sur la route menant à l’aéroport de N’djili) deux villas, naguère spoliées, relevant de son domaine privé. Il s’agit des maisons portant les n°12 et 354 sur le petit boulevard Lumumba. Mais RAS, Rien à signaler sur cet immeuble de la 8 me Rue, sur le petit boulevard, côté résidentiel. Pourtant, toute enseigne indiquant que cet immeuble de 3 niveaux, revient à l’Etat est régulièrement effacée sans autre forme de procès. A ce jour, la mention « Cet immeuble est du domaine privé de l’Etat. Min.

Avril 2014, il y a, jour pour jour, une année, l’alors ministre en charge de l’Urbanisme et Habitat, Fridolin Kasweshi, est invitée à l’Assemblée nationale pour répondre à une question d’actualité au sujet de la spoliation du patrimoine immobilier de l’Etat. «Des galonnés de l’armée et de la police» L’Etat congolais dispose de plus de 8.000 titres immobiliers repartis à travers le territoire national, avait reconnu le prédécesseur d’Omer Egbake.

L’entente, la convivialité et la fraternité sont mises à mal au Sankuru, ancien district du Kasaï Oriental, devenu province à part entière, Cela, à cause d’un conflit foncier créé de toutes pièces par des personnes aux ambitions cachées de domestiquer à leur compte le territoire de Lubefu, en commençant par le groupement de Dive, situé dans le secteur de Djovo. La population du territoire de Lubefu se trouve privée depuis un temps de ses forêts, rivières et savanes.

Le Jardin Zoologique de Kinshasa se vide peu à peu des animaux Cet important patrimoine touristique de la ville de Kinshasa perd ses différentes espèces d’animaux, faute d’une prise en charge sérieuse des pensionnaires. Créé depuis l‘époque coloniale, précisément dans les années 1938, le Jardin Zoologique de Kinshasa était autrefois très apprécié pour la variété d’espèces d’animaux qu’il hébergeait et était comme la vitrine de la faune congolaise dans la capitale. Au départ, il s’agissait d’un centre de quarantaine pour animaux destinés à l’exportation. Aujourd’hui ce n’est plus le cas.

Plusieurs Kinois habitants Kimwenza, dans la commune de Mont-Ngafula, à Riflar, dans la commune de Kisenso, prennent chaque jour le train urbain de la SCTP (ex-Onatra) pour atteindre le centre ville (gare centrale), en payant seulement 500 FC. A ce désagrément, les habitués de ce train ajoutent aussi le risque de déraillement auquel ils s’exposent en empruntant ce moyen de transport urbain.