Politique

Dans une déclaration politique ce jeudi 28 mai 2020, l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social, (UDPS), considère  la destitution de son président a.i Jean-Marc Kabund au poste de premier vice-président de l'Assemblée nationale, comme un passage en force. Pour le parti présidentiel, le Front Commun pour le Congo, (FCC), a donné un coup fatal à la coalition FCC-CACH.
Les éléments de la police nationale congolaise (PNC) ont fait usage de gaz lacrymogènes pour disperser les militants et militantes de l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social, (UDPS), qui tentaient de marcher à hauteur de l'église Notre dame dans la commune de Katoka. La fédération de l'UDPS dirigée par Gabriel Ilunga voulait marcher pour dire non à la destitution de Jean-Marc Kabund du poste de premier vice-président de l'Assemblée nationale.
Dans un communiqué parvenu à 7SUR7.CD ce mercredi 27 mai 2020, la coalition "Tous pour la RD-Congo" appelle le conseil des ministres du 29 mai prochain à traiter les dénonciations documentées faites par les élus du pays et les ONGs sur la Minière de Bakwanga (MIBA) et la Société des mines d'or Kilo-Moto (SOKIMO).   Cette structure regroupant les organisations de la société civile, indique qu'il est urgent que le gouvernement se saisisse de ces dossiers. 
Dans une déclaration ce mercredi 27 mai 2020 à Kinshasa, le parti politique Envol a réitéré son appel à la réduction du train de vie de l'État en République Démocratique du Congo.  Cependant, la formation politique du député national Delly Sesanga précise qu'il faut notamment commencer par la présidence de la République.
Dans une déclaration ce mercredi 27 mai 2020, le parti politique Envol appelle le gouvernement de la République à demeurer prudent face à la pandémie de coronavirus et à présenter un plan d'adaptation des mesures de l'État d'urgence fondé sur l'état d'évolution de covid-19. Cette formation politique chère au député national Delly Sesanga invite l'exécutif national à prendre un maximum de précautions au regard des modes de vie des populations de la République Démocratique du Congo.
Lors de l'audience de ce mercredi 27 mai 2020 à la Cour de cassation, le juge siégeant dans l'affaire faux et usage de faux qui oppose Jean-Jacques Mamba au ministère public sur une plainte du député Simon Mpiana Ntumba, s'est retiré pour examiner la demande d'annulation des poursuites judiciaires contre l'élu du Mouvement de Libération du Congo (MLC), introduite par l'Assemblée nationale.
Le Collectif des mouvements citoyens et associations des jeunes invite le président de la République Félix Tshisekedi à tout mettre en œuvre afin de stopper "l'hémorragie judiciaire" observée ce dernier temps et qui risque de faire tâche d'huile sur les ambitions d'installer un véritable État de droit en RDC.  Dans une déclaration parvenue à 7SUR7.CD le mardi 26 mai 2020, cette structure dénonce des "procédures cavalières où plusieurs dossiers sont gérés selon les humeurs et attentes personnelles de certains magistrats soumis à des pressions politiques". 
Le président de la République Démocratique du Congo Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a échangé ce mardi 26 mai 2020 avec le premier ministre Israélien Benyamin Netanyahou. D'après la presse présidentielle, les échanges entre les deux personnalités ont notamment tourné autour de la pandémie du coronavirus qui secoue le monde depuis quelques mois déjà. Félix Tshisekedi et Benyamin Netanyahou ont également évoqué les investissements israéliens en RDC, les finances ainsi que la défense et la sécurité.
Le Sénat a rejeté ce mardi 26 mai 2020 la demande des poursuites judiciaires contre son président Alexis Thambwe Mwamba, introduite par le procureur général près la Cour de cassation. Ce, après l'adoption par la plénière du rapport de la Commission spéciale chargée d'examiner le réquisitoire aux fins d'instruction adressée à la chambre haute du Parlement. Dans leur rapport, les membres de ladite Commission ont estimé que permettre au PG de poursuivre Thambwe Mwamba va entre autre, bloquer le fonctionnement du Parlement. 
Dans une déclaration faite à Goma, chef-lieu du Nord-Kivu, ce mardi 26 mai 2020, au moins 4 chefs rebelles de groupes armés différents qui s’étaient rendus auprès des Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) entre janvier et mars 2020, annoncent leur retour en brousse avec leurs combattants suite « aux mauvaises conditions de vie dans le site de cantonnement de l’armée ».