Politique

La réponse du G7 au Ministre de la Justice  La déclaration publique faite hier lundi 25 juillet par le Ministre de la Justice et Garde des Sceaux selon laquelle, M.

L’hypothèque à la tenue d’un dialogue politique consensuel levée L’information fait l’objet de larges commentaires dans les chancelleries diplomatiques à Kinshasa, dans les milieux socio politiques de l’ensemble du pays et dans tous les pays qui suivent de plus près la situation de crise dans laquelle se morfond désespérément le peuple congolais : l’opposition agissante en RD Congo refuse la facilitation du dialogue politique inclusif confiée au Togolais Edem Kodjo par l’Union Africaine (UA). D’après des sources dignes de foi proches du Rassemblement des forces poli

Ils déplorent l’incohérence et le manque de sincérité de certains membres du Rassemblement des Forces politiques et sociales En prévision du retour demain mercredi 27 juillet du Président de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), qui est en même temps à la tête du Rassemblement des Forces politiques et sociales acquises au changement, à Kinshasa, la Coalition des Regroupements des Alliés d’Etienne Tshisekedi a lancé, depuis le vendredi 22 juillet dernier, l’opération dite  » Debout 22 juillet « .

La Conférence Episcopale Nationale du Congo (CENCO) invite les acteurs politiques à l’organisation d’un dialogue national. Dans une déclaration datée du 22 Juillet 2016, il est expliqué l’importance majeure de cette table-ronde par rapport à la crise politique que traverse, actuellement, le pays. Ainsi, la CENCO invite Majorité et Opposition à plus de responsabilités afin de trouver ensemble les voies et moyens pouvant permettre à la RDC de sortir de sa crise. Ci-dessous l’intégralité du message. 1.

Alors que le facilitateur a été désavoué par l'Opposition, les préparatifs du Dialogue se poursuivent. C'est demain mercredi 27 juillet qu'il sera procédé à 11h 00 au siège de l'Union africaine en RDC, à la validation des mandants des membres du Comité Préparatoire au Dialogue politique. Coïncidence ou pas, elle intervient le jour du retour d' Étienne Tshisekedi. Pour rappel, le début des travaux du Comité préparatoire est prévu pour le samedi 30 juillet. La validation des mandats ne sera pas chose aisée car tout le monde veut faire partir du Comité.

Désavoué le dimanche 24 juillet 2016 par le Rassemblement des Forces Politiques et Sociales Acquises au Changement, Edem Kodjo, Facilitateur du Dialogue, doit choisir entre rendre le tablier ou opérer un passage en force. D’aucuns pensent que même s’il bénéficie encore du soutien de la Majorité Présidentielle et de la confiance du Groupe de Soutien de l’Union Africaine à la Facilitation, l’élégance devrait lui commander de s’effacer de la scène politique congolaise.

Le président de l’Union pour la Démocratie  et le progrès Social (UDPS) rentre à Kinshasa ce mercredi 27 juillet 2016, après deux années passées à Bruxelles pour des raisons de santé. Selon Bruno Tshibala, Secrétaire général adjoint et porte-parole de ce parti, l’opposant historique sera transporté par un Falcon  de douze places.

  L’Union pour la nation congolaise tourne aussi le dos à Edem Kodjo. Le parti de Vital Kamerhe qui, pourtant venait de rencontrer tout récemment le facilitateur récusé et les membres du groupe de soutien international a, par solidarité, refusé de participer aux travaux préparatoires du dialogue. Le Rassemblement et l’Unc et alliés ont les mêmes exigences. Elles avaient été posées par le leader de ce parti lors de cette rencontre.

Il interpelle aussi tous les acteurs politiques de l’Opposition. L’heure est grave et, par ailleurs, les enjeux de taille. Le peuple compte sur eux pour voir une alternance démocratique s’opérer en République démocratique du Congo, cette année. Divisés, cette bataille ne saura être menée avec succès. L’union des forces majeures de l’Opposition à Genval suite à l’appel d’Etienne Tshisekedi a été une occasion inouïe de fédérer les forces acquises à la cause d’un changement radical tant des animateurs des institutions qu’au niveau de la gouvernance. Mais, hélas !

" Rien sur le plan de droit ne peut justifier l’arrestation de Moïse Katumbi », répond Mwando Nsimba Au G7, on ne décolère pas contre le ministre de la Justice et Garde des sceaux. Pour cause, les propos de Thambwe Mwamba sur le cas " Katumbi ". Le ministre de la Justice ayant déclaré que Moïse Katumbi serait immédiatement arrêté dès son retour au pays. Dans un communiqué de presse signé par son président, cette plateforme de l’opposition s’insurge contre ses propos.