Le procès de Mamadou Ndala assassiné dans des conditions obscures n’est qu’un simulacre de procès. Cela du fait que les vrais assassins et commanditaires de cet acte ignoble ne vont jamais comparaitre dans ce procès qui tendant surement à accoucher d’une souris. La mort du témoin clé dans cette affaire en témoigne l’idée selon laquelle, les vérités ne seront jamais dévoilées.
Ce qui pousse l’hypothèse selon laquelle, le procès Mamadou Ndala est un pseudo procès où les vrais commanditaires ne vont jamais comparaitre.
Politique
Sans doute, une main noire invisible loge derrière l’arrestation de Mukebayi, détenu illégalement à Makala, depuis 51 jours. La preuve flagrante est notamment, l’authentification clandestine et illégale par Wandolela, magistrat instructeur (du Parquet général de la Gombe), des documents de preuves contenus dans le dossier. Compte rendu d’audience publique.
En matière pénale, dixit les juristes, la preuve doit non seulement être libre mais aussi légale.
La Chambre de première instance VI de la Cour pénale internationale (CPI) a fixé le 9 octobre dernier, l'ouverture du procès dans l'affaire Le Procureur contre Bosco Ntaganda au 2 juin 2015.
Ntaganda est accusé de 13 chefs de crimes de guerre et 5 chefs de crimes contre l'humanité qui auraient été commis en Ituri, en République démocratique du Congo (RDC).
La Chambre préliminaire II a confirmé hier 9 octobre, à l'unanimité les charges portées contre Bosco Ntaganda et l'a renvoyé devant une Chambre de première instance pour y être jugé sur la base des charges confirmées.
La Cour pénale internationale (CPI) a annoncé jeudi que le procès de l'ancien chef rebelle congolais, Bosco Ntaganda, qui est accusé de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité, s'ouvrira le 2 juin 2015. M. Ntaganda est accusé de 13 chefs de crimes de guerre et 5 chefs de crimes contre l'humanité qui auraient été commis en 2002-2003 en Ituri, en République démocratique du Congo (RDC), a rappelé la CPI dans un communiqué de presse. M. Ntaganda est actuellement détenu par la Cour.
L'audience de confirmation des charges dans l'affaire Ntaganda s'est tenue du 10 au 14 février 2014.
Le ministère public a remis, mercredi 8 octobre, des objets et documents trouvés dans le périmètre du lieu de l'assassinat du colonel Mamadou Ndala. Ce commandant de la Brigade Commando de l'Unité de réaction rapide (URR), a été tué le 2 janvier
dans une embuscade tendue par des hommes armés non encore identifiés dans le village appelé Ngadi, entre l'aéroport de Mavivi et Beni-ville, dans le Nord-Kivu. Parmi les documents remis à la Cour militaire opérationnelle du Nord-Kivu, il y a notamment des imperméables, des képis, des douilles de cartouches et des chargeurs de fusils brulés.
Lors de la séance d‟hier jeudi, 9 octobre 2014, le Président de la chambre basse du Parlement, Aubin Minaku, a décidé, sur demande de l‟Honorable Emery Okundji, d‟inviter Wivine Mumba Matipa, Ministre de la Justice, pour venir éclairer la lanterne de la représentation nationale au sujet du dossier Babala, à la CPI. Intervenant par motion préjudicielle, Okundji veut comprendre pourquoi le Gouvernement congolais refuse-t-il d‟accueillir Fidèle Babala, alors la Cour Pénale Internationale serait déjà d‟accord pour sa mise en liberté provisoire.
C’est la crainte de toute une démarche qui est à la fois alarmante et révoltante. Elle relève du niveau de commerce illicite et de détournement des armes à feu dans les pays en voie de développement. Le Sénateur Hamuli Kitsa Ernest, dans sa question d’actualité, constate avec regret que la République Démocratique du Congo n’a pas ratifié le Traité qui vise à lutter contre les trafics illicites d’armes, qui alimentent des conflits. Pour en avoir une idée fixe, il a posé quelques pertinentes questions au Ministre des Affaires étrangères, Raymond Tshibanda.
Le ministre des Affaires étrangères, de la coopération internationale et de la Francophonie, Raymond Tshibanda Ntungamulongo, a rassuré jeudi, le Sénat et les populations de l‟Est, que la RDC signera, avant la fin de cette année 2014, le Traité sur le commerce des armes, adopté le 02 avril 2013, à New York, par l‟Assemblée générale des Nations Unies. Le chef de la diplomatie congolaise a donné ces assurances en réponse à une question d‟actualité du sénateur Ernest Hamuli Kitsa sur la non ratification
par la RDC de ce traité.
La Société civile du Nord-Kivu, (Est de la RD Congo) qui continue d'être «alertée par la population sur l'éventuelle réorganisation et l'infiltration en province des éléments ex-M23 en perspective de prochaines hostilités à partir des territoires de Rutshuru et Nyiragongo», dénonce l'enrôlement «de force» des jeunes. Elle indique que « certains collabos et anciens caciques du M23 seraient déjà en œuvre pour baliser le terrain et faciliter ce plan déstabilisateur » de la province.
« Certains anciens administratifs M23, revenus au pays, sont pointés du doigt.
Dans un rapport publié hier jeudi, les Nations Unies lancent un appel afin que justice soit rendue à l’égard des crimes commis par le Mouvement du 23 mars (M23) lorsqu’il exerçait un contrôle effectif sur des parties des territoires de la province du Nord-Kivu entre les mois d’avril 2012 et novembre 2013.