L'Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) aile Kibassa, section Kongolo a exigé au gouverneur du Tanganyika, Zoé Kabila Mwanza Mbala de démissionner.
Dans une interview accordée à 7SUR7.CD, mercredi 22 juillet 2020, Cédric Mashangao Lugunda, fédéral de l'UDPS aile Kibassa section Tanganyika, a accusé le gouverneur Zoé Kabila de mégestion.
Pour Cédric Mashangao Lugunda, Zoé Kabila Mwanza Mbala n'a jamais prêté attention aux préoccupations de sa population.
Politique
Selon les éléments de la Police Nationale Congolaise, seuls les responsables du Front Commun pour le Congo (FCC) qui détiennent le mémorandum iront jusqu'au palais du peuple pour déposer le document.
En outre, la Police précise que le point de chute de la manifestation est le terrain situé juste en face du stade des martyrs.
Actuellement, les manifestants sont au niveau de Pont Ngabi à proximité du boulevard Triomphal.
Jephté Kitsita
La famille politique de Joseph Kabila, au Nord-Kivu ne sera pas dans la rue ce jeudi 23 juillet 2020, comme prévu.
Sa marche de soutien au bon fonctionnement des institutions du pays et au respect à la constitution a été reportée à samedi 23 juillet prochain, contrairement aux coordinations des autres entités dont celle nationale, qui vont déferler dans les rues ce même jeudi.
Le président du Conseil d'administration des Lignes Maritimes Congolaises (LMC) Lambert Mende Omalanga ainsi que son regroupement politique la CCI et Alliés prennent également part à la marche du FCC ce jeudi 23 juillet 2020 dans la ville de Kinshasa.
Se confiant à la presse durant la marche, Lambert Mende a indiqué qu'il est également question pour le FCC de compatir avec les Congolais qui font face à la pandémie de la covid-19.
Le secrétaire permanent du PPRD Emmanuel Ramazani Shadary entouré de quelques cadres de son parti viennent de débuter la marche du FCC ce jeudi 23 juillet 2020.
Pour le moment les manifestants se trouvent au niveau du Boulevard Lumumba vers la 1ère rue Limete.
Jephté Kitsita
Les tensions se succèdent entre les alliés au pouvoir constitués en deux blocs politiques : l’un (CACH) derrière le président de la République Félix Tshisekedi et l’autre (FCC) derrière l’ex président Joseph Kabila.
Après le Cap pour le Changement (CACH), c’est autour du Front Commun pour le Congo (FCC) de sonner la mobilisation en appelant à une marche ce jeudi 23 juillet 2020 à Kinshasa et sur l'ensemble du territoire national.
Voici les 9 raisons qui poussent le FCC à descendre dans la rue:
1. Réclamer la cohésion nationale ;
Plusieurs centaines de militants des partis et regroupements politiques du Front Commun pour le Congo (FCC) sont déjà regroupés sur le boulevard Lumumba au niveau de la 1ère rue Limete.
Sur place, ces derniers scandent des chansons à la gloire de l'autorité morale du FCC, l'ex-président Joseph Kabila.
Pour rappel, le FCC a appelé à une marche ce jeudi dans la capitale de la République Démocratique du Congo, notamment pour exiger le respect de la constitution.
Jephté Kitsita
Les éléments de la Police Nationale Congolaise sont déployés ce jeudi 23 juillet 2020 aux alentours du Palais du peuple situé dans la commune de Lingwala à Kinshasa la capitale de la République Démocratique du Congo.
Le Front Commun pour le Congo (FCC) de Joseph Kabila a appelé à une marche pacifique ce jeudi notamment pour exiger le respect de la Constitution.
Au moment de la rédaction de cet article, la circulation sur le boulevard Triomphal se déroule normalement.
La ligue des jeunes de l'Union pour la Nation Congolaise (UNC) a annoncé la tenue d'une marche de soutien à Vital Kamerhe le 24 juillet 2020, sur toute l'étendue du territoire national.
L'annonce a été faite ce mercredi 22 juillet par Bertin Mubonzi, président interfédéral de la jeunesse de l'UNC Kinshasa, qui a appelé les militants à se mobiliser pour dénoncer la condamnation de Kamerhe, qu'il qualifie d'injuste.
Nommer est une chose, mais nommer en se basant aux règles et principes de droit en est une autre._
De prime à bord, il convient de comprendre que le concept d'inamovibilité renvoie au sens de la "situation de celui qui ne peut être ôté d'un poste. De celui ou ce que l'on ne peut bouger".
L'article 150 alinéa 4 de la Constitution du 18 février 2006 stipule : "Le magistrat du siège est inamovible". La loi organique n°06/06/020 du 10 octobre 2006 renforce également cette disposition constitutionnelle.