Politique

Augustin Kabuya s'est exprimé ce samedi 25 janvier 2020 sur l'affaire du voyage non autorisé du secrétaire permanent du PPRD Emmanuel Ramazani Shadary à Bujumbura au Burundi. Le secrétaire général de l'UDPS, qui s'exprimait devant la base du parti présidentiel, a indiqué qu'il a voulu s'imprégner de ladite affaire auprès de la Direction Générale de Migration, (DGM). Par ailleurs, le numéro deux de l'UDPS souligne qu'il s'agit d'une affaire de passeport diplomatique qui est à la base de cette situation selon la DGM.

Le secrétaire général de l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social, (UDPS), a déclaré ce samedi 25 janvier 2020 que l'ancien candidat à la présidentielle du 30 décembre 2018 a fait la honte du Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie, (PPRD). Au cours d'une matinée politique tenue ce samedi à la permanence du parti présidentiel, Augustin Kabuya a affirmé qu'Emmanuel Ramazani Shadary a fait la honte du parti de Joseph Kabila, ancien président de la République Démocratique du Congo.

Devant les militants et combattants de l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social, (UDPS), ce samedi 25 janvier 2020, Augustin Kabuya n'est pas allé par le dos de la cuillère au sujet des déclarations du secrétaire permanent du PPRD Emmanuel Ramazani Shadary. Augustin Kabuya déclare que l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social, le parti présidentiel, ne tolérera pas de bêtises et que les voleurs doivent répondre devant la justice.

Un prêtre catholique a appelé la coalition  FCC-CACH au pouvoir en République Démocratique du Congo à mettre en place une nouvelle philosophie de gouvernance qui est le "peuple d'abord". Cet appel a été lancé le vendredi 24 janvier 2020 par le curé de la paroisse  Christ Roi de Tshiamala à Mwene-ditu dans la province de Lomami lors de la commémoration du premier anniversaire de l'alternance pacifique et démocratique au sommet de l'État.

Le Cadre de Concertation Nationale de la Société Civile en République Démocratique du Congo (CCNSC-RDC) dénonce les guerres et tueries dans l'Est du pays, une année après l'accession du président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo au sommet de l'État. Elle l'a fait savoir à travers un communiqué final sanctionnant sa réunion du vendredi 24 janvier 2020 et dont 7SUR7.CD dispose d'une copie.

  Des combattants de l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social, (UDPS), ont appelé ce samedi 25 janvier 2020 à la démission de la présidente de l'Assemblée Nationale. Pour la plupart des militants du parti présidentiel présents à la permanence à l'occasion de la matinée politique qui sera animée par le secrétaire général Augustin Kabuya, Jeanine Mabunda a "manqué du respect au chef de l'État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo".

Les militants et combattants de l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social, (UDPS), ont répondu présents ce samedi 25 janvier 2020 à l'appel de leur secrétaire général Augustin Kabuya. Le numéro deux du parti présidentiel va animer une matinée politique au cours de laquelle, il réagira aux propos tenus par le secrétaire permanent du Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie, (PPRD).

Le Recteur de l'Institut Facultaire des Sciences de l'Information et de la Communication (IFASIC) a, dans un communiqué parvenu à 7SUR7.CD ce samedi 25 janvier 2020, annoncé la reprise des cours le lundi prochain à 8 heures.  Rigobert Munkeni Lapess  indique que seuls les étudiants en règle avec les frais académiques y prendront part.  Le début de semaine a été mouvementé à l'IFASIC où les étudiants avaient protesté contre la majoration des frais académiques fixés à 580.000 FC pour les classes de recrutement et à 510.000 pour les classes montantes. 

Dans une interview accordée à 7SUR7.CD le vendredi 24 janvier à Goma au Nord-Kivu, le mouvement citoyen Lutte pour le Changement (LUCHA), dresse un bilan négatif de la première année du président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo à la tête de la RDC. D'après ce mouvement citoyen, Félix Tshisekedi a réussi à maintenir le pouvoir de son prédécesseur Joseph Kabila, car "n'ayant pas fait la rupture avec la corruption, l'insécurité, la répression, le détournement, le clientélisme politique, le népotisme, l'égoïsme politique, etc."

La première année du président Félix Tshisekedi à la tête du pays continue à susciter des réactions au sein de la classe politique congolaise. Alors que le travail abattu par le chef de l'État au cours de sa première année au pouvoir est loué par sa famille politique, il est en revanche très critiqué du côté de l'opposition.