Et si la Mission onusienne n’avait été brandie que pour brouiller les pistes sur les véritables instigateurs de cette "liste mystérieuse" !
Politique
mar 31/05/2016 - 09:21
mar 31/05/2016 - 09:19
Le chef de l’Etat devrait exprimer clairement sa position sur les violences qui accablent les populations et l’impasse du processus électoral.
C’est la principale recommandation des évêques de la province ecclésiastique de Bukavu formulée samedi 28 mai, à l’issue de la session ordinaire de l’assemblée épiscopale provinciale tenue à Kindu (Maniema).
Ils ont aussi appelé les leaders politiques congolais à renoncer à la culture du mensonge pour éclairer leurs bases sur les véritables enjeux du dialogue national et les échéances électorales qui approchent.
Parmi d'autres recommandations formulé
mar 31/05/2016 - 09:15
L’Association congolaise pour l’accès à la justice (ACAJ) dénonce la détention «illégale» de quatre proches de Moïse Katumbi.
mar 31/05/2016 - 09:01
Le président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), Corneille Nangaa, affirme avoir reçu des « indications claires » sur l’appui logistique de la Monusco au processus électoral.
« Je ne pouvais pas publier un calendrier [électoral] tant que je n’ai pas d’indications claires sur l’appui logistique. Nous venons d’avoir ces indications parce que le représentant spécial [du secrétaire général de l’ONU] nous a confirmé que ça, ce n’était plus un problème. La Monusco accepte.
mar 31/05/2016 - 08:57
Le nouveau président du Tribunal de grande instance de Matadi n’a pas encore pris ses fonctions, depuis sa nomination.
lun 30/05/2016 - 17:25
Deuxième déclaration politique du » Comité Exécutif de Gestion de l’Unité des Notables Pionniers et Avant-gardistes de l’UDPS/Tshisekedi » sur l’agitation politique actuelle de faux pionniers
Compte tenu de l’agitation politique qu’on remarque actuellement dans les rangs des dissidents de l’UDPS qui se font passer, certains pour les cofondateurs, d’autres pour les pionniers, il nous paraît logique de donner encore tant à l’opinion nationale qu’internationale les précisions suivantes :
1.
lun 30/05/2016 - 17:01
Ces deux cas de jurisprudence qui donnent tort à un chef d’Etat incapable d’organiser les élections durant son mandat, viennent d’être rappelés par le bâtonnier Jean Joseph Mukendi en réaction à l’Arrêt rendu dernièrement par la Cour Constitutionnelle
L’Arrêt rendu par la Cour Constitutionnelle en date du 11 Mai 2016 continue à susciter des réactions au sein de l’opinion.
La dernière en date c’est celle du Bâtonnier Jean Joseph Mukendi wa Mulumba, avocat près la Cour Suprême de Justice(CSJ) et militant des Droits de l’homme.
Dans un entretien avec la presse le same
lun 30/05/2016 - 15:12
Tous sont privés de droit de visite, d’assistance de leurs avocats et d’être présentés
devant un juge, selon l’Ong des droits de l’homme
L’Association congolaise pour l’accès à la justice (Acaj) dénonce la détention illégale de quatre proches de Moïse Katumbi, gouverneur honoraire de l’ex province du Katanga, à l’Agence nationale des Renseignements (Anr) à Kinshasa depuis 34 jours.
Il s’agit de messieurs Yannick Kibinda Mukeba, Franck Mwashila, Sefu Idi et Darryl Lewis, arrêtés à Lubumbashi le 24 avril 2016 et transférés à Kinshasa le 25 a
lun 30/05/2016 - 12:31
Après le succès de la marche du 26 mai dernier, la Dynamique de l’opposition annonce des manifestations de grande envergure au mois de juin dans le but de ‘‘contraindre le régime Kabila à respecter la constitution et à organiser les élections crédibles dans le délai constitutionnel’’. La finalité, selon les organisateurs, c’est de permettre l’alternance paisible et démocratique au Congo-Kinshasa. La plateforme des radicaux de l’opposition anti-dialogue s’indigne de la brutalité policière et des moyens disproportionnés utilisés par les forces de l’ordre lors de la dernière marche.
lun 30/05/2016 - 12:29
Des auteurs des actes de répression et de violations graves des droits de l’homme doivent être sanctionnés. La Dynamique de l’opposition accuse le régime Kabila d’être l’auteur de plusieurs exactions contre les populations civiles. Ainsi, ses principaux acteurs demandent à la communauté internationale de prendre des sanctions ciblées contre les bourgmestres, maires, gouverneurs et responsables de la police, auteurs intellectuels des violations des droits de l’homme lors de la marche du 26 mai dernier.