La Maison civile du chef de l'État a organisé, ce samedi 17 décembre, à Kinshasa, un forum sur le renforcement de la cohésion sociale dans la région centre de la République démocratique du Congo, composée de 5 provinces, à savoir : le Sankuru, le Kasaï Central, le Kasaï, le Kasaï Oriental et la Lomami.
Politique
La récente annonce de la candidature de Moïse Katumbi à l'élection présidentielle de 2023 et son départ de l'union sacrée de la nation ne cessent de susciter des réactions dans la classe politique congolaise.
Réagissant à cette question qui fait l'actualité, le Parti Travailliste (PT) de Steve Mbikayi, a, quant à lui, estimé que le départ de Moïse Katumbi de l'union sacrée n'est, ni une surprise encore moins un événement, parce que ce n'était un secret de polichinelle.
Moïse Katumbi sera candidat à l’élection présidentielle prévue en 2023 en République démocratique du Congo. Le président d’Ensemble pour la République l’a personnellement annoncé vendredi dernier.
Cette annonce ne cesse de susciter des réactions au sein de la classe socio-politique congolaise. La dernière en date est celle du député national Éric Ngalula Ilunga.
A la COP 15 qui se tient à Montréal, au Canada, la co-facilitation de la négociation sur le financement pour la préservation de la diversité biologique a été confiée par les parties au Rwanda, le vendredi 16 décembre 2022.
Se rendant compte de la situation, la vice-première ministre de l’environnement et du développement, Eve Bazaiba, a récusé cette décision. Ceci à cause de la destruction de la biodiversité du parc national des Virunga, au Nord-Kivu, par le M23 avec le soutien de l’armée rwandaise.
Le président national du parti Ensemble pour le changement, Moïse Katumbi, sera candidat à la prochaine élection présidentielle. Cette information est confirmée par le porte-parole de cette formation politique, Francis Kalombo, joint par 7SUR7.CD.
Selon lui, l'ex-gouverneur du Grand Katanga a annoncé également son départ de l'Union sacrée de la Nation, vision du président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo.
Le sort des membres d'Ensemble au gouvernement
Retrait de la République Démocratique du Congo de l’Organisation Internationale de la Francophonie ?
Une politique du silence pourrait-elle faire du bruit ?
À Kinshasa, le manque d’implication de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) face à l’agression rwandaise, sous couvert du M-23, dont est victime la République Démocratique du Congo (RDC), suscite bien des réactions au niveau de la société civile et de certains milieux politiques.
Moïse Katumbi Chapwe, président du parti politique Ensemble pour la République a annoncé son départ de l'Union sacrée pour la Nation du président Félix Tshisekedi Tshilombo, ce vendredi 16 décembre 2022.
Invité par nos confrères de RFI et de France 24, Moïse Katumbi a aussi affirmé sa candidature aux prochaines élections présidentielles en République démocratique du Congo. Il a indiqué qu'il a de l'expertise et un programme pour sortir le peuple congolais de l'insécurité et du chaos.
Le secrétaire général de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social "UDPS", Augustin Kabuya, s'en est pris ouvertement aux cadres de l'UDPS nommés mandataires au sein des institutions de la République Démocratique du Congo.
Devant des milliers de militants et cadres réunis au siège du parti au pouvoir, fédération rurale du Kasaï-Oriental, Augustin Kabuya n’a pas hésité à critiquer certains cadres de son parti qui, après avoir été nommés mandataires dans les entreprises publiques, s’illustrent par l’égoïsme et le rejet total des combattants.
La session ordinaire de septembre 2022 s'est clôturée le jeudi 15 décembre 2022 au Sénat. Avant de clôturer sa session, le Sénat a notamment voté la Loi des Finances exercice 2023 et la Loi d'habilitation en faveur du gouvernement.
Ces deux textes portent le bilan législatif du Sénat à 38 textes de lois votés durant cette session réputée essentiellement budgétaire, dont 27 lois de ratification et plusieurs initiatives de contrôle parlementaire.
Il s'agit de :
- Loi portant Habilitation du gouvernement
La France veut amplifier sa coopération avec le plus grand pays francophone au monde (en termes des locuteurs, 100 millions d’habitants). Et pour cela, l’Hexagone sort le chéquier.
A travers son Agence Française de Développement (AFD), la France compte investir 500 millions d'euros en RDC d'ici à 2025. C'est ce que rapporte une note d'information de cet établissement public bancaire Français parvenue à la rédaction de 7SUR7.CD, jeudi 15 décembre 2022.