Politique

Dans son discours lors de la rentrée parlementaire ce mardi 15 décembre 2020, le président du sénat, Alexis Thambwe Mwamba, a déploré les ingérences récurrentes de certaines représentations diplomatiques dans les affaires intérieures de la république Démocratique du Congo.  D'après le président du Sénat, le comportement de certains diplomates accrédités en RDC est de nature à contribuer à la méfiance et à l'opposition entre congolais.

C'est sûrement l'une des images du jour. Joseph Kabila et Modeste côte à côte, dans les installations du Palais du Peuple, précisément au Sénat. En effet, l'ancien président de la République Démocratique du Congo, Joseph Kabila Kabange a surpris plus d'un ce mardi 15 septembre 2020 en se rendant au Palais du Peuple afin de prendre part à la cérémonie d'ouverture de la session ordinaire de septembre.

Le président du Sénat Alexis Thambwe Mwamba propose la création d'un compte spécial d'affectation sous le libellé "élections 2023". Il a fait ce plaidoyer, ce mardi 15 septembre 2020, lors de la cérémonie de la rentrée parlementaire de la session budgétaire de septembre. " Je propose d'examiner par  anticipation la possibilité de créer un compte spécial d'affectation sous le libellé élections 2023. Il permettra d'éviter toute recherche impreparée ou contribution incontrôlée aux élections de 2023", a-t-il déclaré.

Dans son allocution ce mardi 15 septembre 2020, à l'occasion de l'ouverture de la session ordinaire de septembre au Parlement, le président du Sénat a salué l'initiative du chef de l'État Félix Tshisekedi qui a convié ses homologues des pays voisins à un mini-sommet à Goma, dans le Nord-Kivu.   Par ailleurs, Thambwe Mwamba a dit espérer que ces assises se tiendront rapidement afin d'obtenir l'appui des pays voisins de la RDC dans la sécurisation de l'Est.

Les sénateurs ont réservé un accueil plus que chaleureux à l'ancien président Joseph Kabila ce mardi 15 septembre 2020. Pour ainsi marquer sa présence à l'hémicycle du sénat pour la première fois en tant que sénateur à vie, un standing ovation lui a été réservé dès son entrée à la salle de plénière. Le président du Sénat a lui-même, dès l'entame de son discours, salué cette présence de l'ancien président de la RDC. Elysée Odia

Le chef de l'État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a reçu ce mardi 15 septembre 2020 la présidente de l'assemblée nationale Jeanine Mabunda. C'est donc quelques minutes avant l'ouverture de la session ordinaire de septembre au parlement que les deux personnalités se sont rencontrées. Selon une source proche de la présidence, les échanges entre le chef de l'État et la présidente de la chambre basse du parlement ont tourné autour de la session ordinaire de septembre qui s'ouvre ce jour. Une session, faut-il le rappeler, essentiellement budgétaire.

L'ancien président de la République Démocratique du Congo, Joseph Kabila Kabange, va prendre part ce mardi 15 septembre 2020 à l'ouverture de la session ordinaire de septembre au Sénat. C'est en sa qualité de sénateur à vie, lui conférée par la Constitution, que l'autorité morale du Front Commun pour le Congo (FCC), a fait le déplacement du palais du peuple. Il sied de préciser par ailleurs que c'est pour la toute première fois depuis le début de cette législature, que Joseph Kabila assiste à une séance plénière.

La session parlementaire qui s’ouvre ce mardi à Kinshasa s’annonce explosive. Les deux alliés de la coalition gouvernementale risquent de s’affronter violemment à cause des agendas divergents. Selon un député de la coalition FCC-CACH qui s’est confié à 7SUR7.CD, les dossiers qui fâchent les deux coalisés sont nombreux.  Voici les enjeux de la session de septembre qui risque de couler le gouvernement Ilunga 

Devant la presse ce lundi 14 septembre 2020, Joseph Stéphane Mukumadi a dit demeurer, jusqu'à la preuve du contraire, le gouverneur de la province du Sankuru. Ce, malgré sa destitution par l'Assemblée provinciale du Sankuru au mois de décembre dernier. 

Au terme d'une séance de travail avec le Premier ministre ce lundi 14 septembre 2020, le ministre des relations avec le parlement a affirmé que le gouvernement a pris des mesures pour sécuriser le Palais du peuple afin d'empêcher la survenance des incidents tout au long de la session dite budgétaire qui s'ouvre le mardi 15 septembre. À en croire Deo Nkusu, l'exécutif national envisage l'interdiction d'accès à l'hémicycle aux militants de partis politiques pour la bonne tenue des plénières dans les deux chambres du parlement.