Le budget de la session extraordinaire de l'Assemblée nationale est chiffré à 12 millions $. Réagissant à ce sujet, le président du Conseil d'administration de l'Observatoire de la dépense publique (ODEP), le professeur Florimond Muteba Tshitenge, invite l'Inspection Générale des Finances (IGF) et la Cour des Comptes à se mettre immédiatement au travail pour vérifier si ce montant correspond effectivement à des besoins réels.
Politique
Joint par 7SUR7.CD ce jeudi 07 janvier 2021, le président de l'Association africaine de Défense des Droits de l'Homme (ASADHO) a affirmé que le budget de la session extraordinaire à l'Assemblée nationale, évalué à 12 millions de dollars américains, est opaque dans la mesure où il n'est pas détaillé.
À en croire Maître Jean-Claude Katende qui soupçonne la non-transparence dans l'élaboration de ce budget, ce montant mérite une analyse.
Le député national Eliezer Thambwe, a dans une interview accordée à 7SUR7.CD ce jeudi 07 janvier 2021, dénoncé l'acte commis par le premier ministre, Sylvestre Ilunga Ilunkamba, de mettre à la disposition de sa famille politique le document sur la demande des frais par le bureau d'âge pour la tenue de la session extraordinaire.
Pour ce député, membre de l'Union sacrée de la Nation, S. Ilunga a fait fuiter ce document pour chercher la sympathie populaire qui manque au Front Commun pour le Congo (FCC).
Le budget de la session extraordinaire convoquée à l'assemblée nationale de la République démocratique du Congo s'élève à 12 millions de dollars américains.
C'est ce que révèle une correspondance du président du bureau d'âge transmise au premier ministre en date du 29 décembre 2020, et dont une copie est parvenue à la Rédaction de 7SUR7.CD ce jeudi 7 janvier 2021.
L'Union sacrée prônée par le président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, continue de connaître l'engouement des acteurs politiques.
Reçus ce mercredi 6 janvier 2021 par le chef de l'État, les cadres et députés nationaux membres du parti politique Alliance pour la Bonne Gouvernance (ABG) dont le président est Jonathan Biasoluka Wata, ministre de pêche et élevage, ont annoncé leur adhésion à l'Union sacrée.
Au cours d'une conférence de presse tenue ce mercredi 06 janvier 2021 à Kinshasa, le secrétaire général au ministère des mines a démenti l'information selon laquelle il aurait affecté de "fausses" nouvelles unités au sein de son administration au détriment de vraies nouvelles unités.
Joseph Ikoli Yombo Y'apeke a qualifié cette information d'une cabale montée de toute pièce pour nuire à sa personne.
Selon maître Willy wenga, inserer le contrôle parlementaire parmi les matières à examiner au cours de la session extraordinaire à l'Assemblée nationale, ouverte ce mardi 5 janvier 2021, est une violation de l'arrêt de la Cour constitutionelle habilitant le Bureau d'âge à organiser cette session.
Cet avocat à la Cour d'appel de Kinshasa/Gombe l'a affirmé au cours d'une interview accordée à la rédaction de 7SUR7.CD, ce mercredi 6 janvier 2021.
L'ex ministre de la communication et porte-parole du gouvernement sous Joseph Kabila, Lambert Mende Omalanga, a été reçu en audience, ce mercredi 6 janvier 2021, par le président de la République Félix-Antoine Tshisekedi, au Palais de la Nation.
L'information a été livrée par la presse présidentielle. À l'en croire, Lambert Mende ne s'est livré à aucun commentaire au sortir de cette audience qui a duré près d'une heure.
La République populaire de Chine a annoncé ce mercredi 06 janvier 2021 l’annulation du prêt sans intérêt arrivant à échéance fin 2020 de la République démocratique du Congo et une aide sans contrepartie de 100 millions Yuan (15.526 700 $) pour financer notamment le projet de bien-être social.
L'annonce a été faite lors de l'échange entre le conseiller d’Etat et ministre chinois des Affaires étrangères Wang Yi et la cheffe de la diplomatie congolaise Marie-Tumba Nzeza.
Dans une déclaration rendue publique le mardi 05 janvier 2021, le coordonnateur de la Dynamique pour une Sortie de Crise (DYSOC) fustige la marche actuelle caractérisée par le blocage du bon fonctionnement des institutions du pays qui selon, cette structure, est orchestrée par l'actuel chef de l'État.
"Pour la DYSOC, il est aujourd'hui établi, que le président Félix Tshisekedi Tshilombo constitue l'élément de déstabilisation, de paralysie et de blocage du fonctionnement régulier des institutions", affirme Lisanga Bonganga.