Santé

Les élèves finalistes des sous-divisions de Beni et Oicha devront encore patienter jusqu'au mois de juillet prochain pour qu'ils affrontent enfin les épreuves des examens d'État pour l'édition 2018-2019. Même si les examens d'État dans leur phase préliminaire ont été lancés ce jeudi 2 mai sur l'ensemble de la province du Nord-Kivu tel que le calendrier du ministère de tutelle le prévoyait, la veille, la ministre provinciale de l'éducation a rappelé que les deux sous-divisions susmentionnées ne sont pas concernées par ce chronographe scolaire. Adel Bazizane note qu'il y'a encore à récupérer d
En chefferie de Bashu dans le territoire de Beni, trois centres de santé de la zone de Vuhovi restent fermés depuis plus d’un mois suite à l’activisme des groupes armés. Les miliciens Maï-Maï continuent de menacer le personnel soignant et les relais communautaires de ces structures sanitaires qu’ils accusent d’être en collaboration avec les équipes de riposte contre Ebola, affirme notre source. Ces structures sanitaires sont notamment, les centres de santé d’Isonga, de Vuhesi et de Katanda. Les habitants de la chefferie de Bashu qui ne savent plus où se soigner d’urgence appellent à l’inter
Le ministre provincial ayant dans ses attributions la santé, sollicite l'implication multisectorielle pour réussir la vaccination au kwilu. Appel lancé lors du tête-à-tête vendredi 26 avril dernier avec les professionnels de médias. "J'en appelle à l'implication de toutes les couches sociales. Les parents vous êtes appelés au respect du calendrier vaccinal. Les autorités locales, intégrez dans vos plans de travails les sujet de la vaccination.
Au total, 12 personnes guéries de la maladie à virus Ebola sont sorties des centres de traitement de cette épidémie en ville de Butembo ce vendredi 26 avril 2019. Le déchargement de ces vainqueurs d’Ebola au sein des structures des soins s’est fait en présence de leurs familles. 8 personnes qui ont vaincu Ebola sont sorties du CTE/Katwa et 4 quatre autres de celui de Butembo. «Je viens de faire ici deux semaines et deux jours. J’avais transporté un malade dans ma voiture pour l’amener à Kyondo.
La maladie à virus Ebola qui sévit en RD Congo et précisément dans les provinces du Nord-Kivu et de l'Ituri continue de faire des victimes. Selon le dernier rapport du ministère de la santé, déjà 900 personnes ont perdu la vie de suite de cette épidémie depuis son début. La situation épidémiologique en date du vendredi 26 avril 2019 se présente de la manière suivante : Au total, 1.386 cas (1.330 confirmés et 66 probables), 900 décès et 394 personnes guéries ; 23 nouveaux cas confirmés ; 10 nouveaux décès de cas confirmés ;
La maladie à virus Ebola continue de sévir en République Démocratique du Congo, particulièrement dans les provinces touchées, celles du Nord-Kivu et de l'Ituri. Le ministère de la santé renseigne que 6 nouveaux cas confirmés d'Ebola ont été enregistrés et 5 nouvelles personnes ont trouvé la mort. En date du jeudi 25 avril, la situation épidémiologique se présente comme suit : Au total, 1.373 cas (1.307 confirmés et 66 probables), 890 décès et 394 personnes guéries ; 6 nouveaux cas confirmés ; 5 nouveaux décès de cas confirmés ;
Le ministre de la santé a déclaré ce jeudi 25 avril 2019, en marge de la journée mondiale de lutte contre le paludisme, qu'environ 18.000 personnes ont trouvé la mort l'année dernière à cause du cette maladie. "Le paludisme est le premier motif de morbidité, d'hospitalisation et de mortalité dans notre pays. Ainsi, le paludisme a tué silencieusement au cours de l'année 2018, plus de 18.000 personnes dans notre pays.
Le ministre de la santé de la République Démocratique du Congo a salué une fois de plus, le travail qu'abattent les différentes équipes de la riposte contre Ebola sur terrain. Cependant, Oly Ilunga appelle les uns et les autres à ne pas baisser le bras d'autant plus que les défis de l'épidémie d'Ebola sont énormes. "Les défis de cette épidémie d'Ebola sont énormes. J'ai énormément de respect pour le travail inimaginable de nos héros de la sante sur le terrain. Sans eux, nous serions en train de vivre un drame d'une toute autre ampleur.
Le personnel soignant de la ville de Butembo, toutes tendances confondues, ne compte pas croiser les bras face aux séquestrations dont il est victime depuis l'avènement du virus ebola dans la zone. Médecins, laborantins, infirmiers, tous estiment qu'il est inconcevable que leur vie soit mis en péril alors que depuis des mois déjà, ils se sont investis sans calcul pour sauver de nombreuses vies de cette maladie mortelle. Allusion faite principalement à l'assassinat vendredi dernier du docteur épidémiologiste Richard Mouzoko, abattu par des porteurs d'armes aux cliniques universitaires de l'UC
Dans son rapport du dimanche 21 avril sur la situation épidémiologique de la maladie à virus Ebola, le ministère de la santé a indiqué que samedi dernier, il n'y a pas eu activités de riposte dans certains coins à Butembo. "Pas d'activité de riposte contre Ebola dans les zones de santé couvertes par la sous-coordination de Butembo ce samedi 20 avril 2019 suite au décès de notre collègue docteur Richard Mouzoko", a indiqué le ministère de la santé. S'agissant de l'évolution de l'épidémie, elle se présente globalement comme suit : Au total, 1.336 cas (1.270 confirmés et 66 probables)