Société

Le Projet d'appui à la réhabilitation et l'assainissement urbain de la ville de Kinshasa (Parau) a pris fin jeudi 20 août. Ce programme réalisé dans 9 des 24 communes de la ville de Kinshasa depuis six ans sur financement de l'Union européenne permettait de traiter 11 000 mètres cube de déchets urbains chaque semaine.

Plus de trois cents familles sont retournées à Ntoto dans le groupement Waloa-Uroba (Nord-Kivu) une dizaine de jours après l'installation de la base opérationnelle temporaire de la Monusco dans cette localité, en proie aux affrontements entre groupes Maï-Maï. Le commandant adjoint de la Force de la Monusco y a conduit jeudi 20 août une mission d'évaluation. Les retournés de Ntoto vivent autour de la base temporaire de la Monusco où, selon eux, la sécurité est relativement assurée. Après près de 9 mois d'affrontements entre groupes armés, les habitants de la localité sont démunis.

Le Général autoproclamé Nyumba Isha, de la milice pygmée ne s’est pas rendu mardi 18 août dernier dans la localité de Mbayo, située à plus ou moins 145 km, de Manono-centre dans le Tanganyika comme cela avait été annoncé.

L’administrateur du territoire de Dilolo vient de transférer tous les dépôts de carburant de la ville de Dilolo vers les quartiers périphériques. Il justifie cette décision par souci de prévention des incendies à répétition enregistrées dans certains dépôts. Ces incendies ont selon lui détruit beaucoup de biens et appauvri les opérateurs économiques. Ainsi, l’autorité locale a suggéré aux pétroliers de construire des dépôts dans la périphérie de la ville. Cette décision est par contre décriée par la fédération des entreprises du Congo (Fec) section de Dilolo.

Plus de deux cent soixante-quinze ménages des déplacés qui sont rentrés dans quatre villages de la chefferie de Walendu Bindi en territoire d`Irumu (Iruti) vivent dans des conditions précaires.

La Mission des Nations unies pour la stabilisation en RDC (Monusco) a remis, mercredi 19 août, du matériel agricole et des équipements sportifs à deux mille trois cent trente-cinqpersonnes de retour à Mutarule Katekama dans la plaine de Ruzizi au Sud-Kivu.

Les médias publics et privés en République démocratique du Congo vivent, avant l’heure, une campagne électorale, somme toute, inopportune voire contre nature.

Il y a de cela 45 mois, soit de novembre 2011 à août 2015 (donc trois années et neuf mois) depuis que la Mutuelle de Santé des Enseignants de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Professionnel (M.E.S.P.) a pris forme et s’est mise au service des enseignants du secteur public de l’EPSP. C’était là une aventure ; la bonne alors et pour l’intérêt des familles des enseignants.

Véritable denrée rare comme l’électricité à Kinshasa, la sécurité dans certains recoins de la capitale, notamment à Masina, Ndjili, Kimbanseke et Kinkole, comme on ne cessera de le dire, suscite aujourd’hui moult commentaires et soulève maints critiques quant aux méthodes policières qui ne privilégient plus la prévention.

La Conférence Episcopale Nationale du Congo (CENCO), à travers sa commission Justice et Paix (CEJP).