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Le Tribunal de Grande Instance de Kinshasa/Matete a rendu son jugement, ce mardi 10 juin 2025, dans l'affaire du meurtre du cadre de l'UDPS, Célestin Kabasele Wampanga. Sur les 11 prévenus, 9 ont été condamnés à la peine de mort.Les juges ont déclaré établie à leur charge l'infraction de meurtre. Quant aux intérêts civils, le Tribunal a condamné les 9 prévenus à payer 200.000 dollars américains à titre de dommages et intérêts à la maman de Kabasele Wampanga.

Le président de la République, Félix Tshisekedi, a officiellement ouvert ce mardi la 12e conférence des gouverneurs de provinces au village de Congrès, à Kolwezi. La conférence a pour thème : « La santé comme facteur de cohésion nationale et du développement durable des provinces ».Ces assises constituent un cadre de concertation essentiel entre les provinces et le pouvoir exécutif national.

Une explosion acomppagnée des tires de sommation ont semé une panique, ce mardi 10 juin 2025, à Funu, dans la commune de Kadutu, lors d’un meeting tenu par le bourgmestre Maître Byamungu Kazimiri, représentant de l’AFC/M23.Le rassemblement, organisé devant le terrain de Funu, au quartier Cimpunda, a été perturbé lorsqu’un engin explosif aurait été lancé à proximité du podium sans faire de victimes.

Le vice-premier ministre, ministre des Transports, voies de communication et désenclavement, Jean-Pierre Bemba, a révélé ce lundi 9 juin 2025, au cours d'une interview accordée à Top Congo FM, que le nouvel aéroport en cours de construction à Kinshasa sera inauguré en décembre 2027.Le patron des Transports a saisi cette opportunité pour indiquer que  c'est bel et bien le groupe SUMMA (entreprise familiale à capitaux 100 % turcs) qui exécute ces travaux et non Milvest comme initialement annoncé.

Jean-Pierre Bemba a, dans une interview accordée à Top Congo FM, une radio émettant à Kinshasa, ce lundi 9 juin, affirmé que l'ancien chef de l'État, Joseph Kabila, a muselé tous les proches de Mzee Laurent Désiré Kabila, voire assassiné certains d'entre eux, pour asseoir sa démarche de déstabilisation de la RDC.Il en veut pour preuve « l'assassinat » de la fille de l'ancien chef de l'État Mzee Laurent-Désiré Kabila, Aimée Kabila, qui résidait à Binza Pigeon, un quartier de la commune de Ngaliema, à Kinshasa.

L'étau se resserre autour du ministre d'État chargé de la Justice, Constant Mutamba. Le procureur général près la Cour de cassation a saisi la chambre basse du parlement pour obtenir l'autorisation de le poursuivre pour détournement présumé de fonds.Le réquisitoire a été lu ce lundi 9 juin par le président de l'Assemblée nationale, Vital Kamerhe, lors d'une séance plénière.Auditionné au parquet la semaine dernière, après l'autorisation de l'instruction le concernant, le ministre de la Justice ne s'est pas présenté à l'audience de ce lundi 9 juin 2025.

Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, accompagné de son épouse Denise Nyakeru, est arrivé en ville de Kolwezi, chef-lieu de la province du Lualaba, dans le Sud-est de la République démocratique du Congo, ce lundi 09 juin 2025. Le couple présidentiel de la RDC a été accueilli au pied de l'avion par plusieurs autorités du pays, dont le président du Sénat, Jean-Michel Sama Lukonde Kyenge ainsi que la gouverneure Fifi Masuka Saïni, chef de l'exécutif provincial. 

Dans un communiqué de presse publié ce lundi 9 juin à Kinshasa, l’opposant Martin Fayulu manifeste son désir de mettre en place son initiative de « camp de la patrie ».Il souhaite rassembler les acteurs politiques congolais pour faire face aux menaces « réelles » de balkanisation de la RDC.Selon lui, cette vision incarne la conviction que la RDC est « une, unie et indivisible ».

Des structures médicales de Kinshasa impliquées dans la mise en œuvre de la « gratuité de la maternité », ont décidé de suspendre ce programme à cause de l'insolvabilité du gouvernement.

Lors du conseil des ministres du 6 juin 2025, Félix Tshisekedi a commencé sa communication par la ville de Kinshasa confrontée à une recrudescence « alarmante » de braquages et de vols à mains armées.D’après le compte rendu du conseil des ministres, ces actes criminels, désormais fréquents et d'une audace préoccupante, se produisent en plein jour, dans des quartiers résidentiels, sur les axes routiers principaux, à proximité des supermarchés, marchés et établissements publics.