Politique

Encerclé depuis ce matin dans sa résidence de Lubumbashi au quartier Golf, Moise Katumbi qui s'attend à être arrêté, vient de déclarer que « c'est la réponse de Kabila à ma candidature à la présidentielle». Mais quoiqu'il arrive l'ancien gouverneur dit maintenir sa candidature à la présidentielle. Voir tweet ci-dessous. L'affrontement entre les deux hommes vient de franchir une étape supplémentaire. Jusqu'où iront-ils? La communauté internationale et le G7 suivent cette situation de très près. Le premier a dépêché la Monusco. En cas de perquisition, elle va vérifier la régularité.
La demeure de Moïse Katumbi est encerclée en ce moment. On s'attend à son arrestation imminente. La charge contre l'ex gouverneur du Katanga avait été sonné par le ministre de la Justice Alexis Thambwe . Ce dernier avait instruis le procureur général de la République d'ouvrir un dossier à charge contre Katumbi. Les choses ont pris dès lors une tournure dramatique. Encerclé, Katumbi en a appelé à la Monusco qui est aussi à la résidence de Katumbi. Sa déclaration de candidature à la présidentielle n'aura donc pas arrêter la machine judiciaire.
Vers un déballage mortel entre la majorité présidentielle et le G7 Le duel timidement commencé il y a quelques mois entre la majorité présidentielle et le regroupement de sept formations politiques dissidentes de cette famille politique (G7) prend désormais un tournant extrêmement dangereux! En effet, parti de simples mouvements d’humeurs collectives au sein de la MP et ponctués de nombreuses déclarations anonymes dans les médias du pays, ce duel change brusquement de terrain pour emprunter les sombres dédales de la justice congolaise, à travers une enquête que le m
On ne le répétera jamais assez : la Communauté internationale met tout en œuvre pour que le spectre du Burundi ne contamine pas la Rdc. Nous l’avons écrit dans plusieurs éditions. Pour l’instant, cette Communauté internationale préfère suivre en spectateur moins engagé la crise politique au Congo-Kinshasa. Mais incidemment, nous révélons qu’en cas d’alerte rouge, l’Onu, l’UE, l’UA et les USA n’hésiteraient pas à passer à la méthode forte.
Haut cadre de l'Udps, Félix Antoine Tshisekedi (Fatshi), n'a pas mit beaucoup de temps à réagir à l'officialisation hier mercredi 4 avril par Moïse Katumbi en personne de sa candidature à la présidentielle de novembre prochain. Pour le Secrétaire aux affaires extérieures de l'Udps, Katumbi est libre de se déclarer candidat à la présidentielle. «libre à lui» a dit Fatshi ce matin sur les ondes de Rfi. Et de tempérer tout de suite: « nous ne sommes pas sûrs d'avoir des élections mais bon il a choisi de présenter sa candidature libre à lui».
Le chef de l'État a signé des ordonnances portant révocation des hauts cadres de l'administration. Ces révocations concernent principalement les ministères des Finances et des Affaires Étrangères. Ils sont révoqués pour fait de corruption. Ci-dessous la liste complète des révoqués. SONT REVOQUES DE LEURS FONCTIONS DGDA 1. M. Kamango Mudimbi, Chef de bureau Affaires étrangères et coopération internationale 2. M. Bembo Lubanzi, Directeur 3. M. Mbuyi Kalima , Directeur 4. M. Ikongo Sekoto, Directeur 5. M . Bakajika Tambwe, Directeur 6. M. Emene Bakili, Directeur 7. M. Kavuba, Chef de bureau 8.
Le ministre de la Justice de la République démocratique du Congo a déclaré mercredi avoir ordonné une enquête sur "le recrutement de mercenaires" étrangers liés à l'opposant Moïse Katumbi, probable candidat à la présidentielle. "J'ai donné injonction au PGR (Procureur général de la République, ndlr) d'ouvrir un dossier judiciaire dans l'ex-province du Katanga (...) nous avons la preuve documentée que plusieurs anciens militaires américains qui se trouvent actuellement au Katanga sont au service de M. Katumbi", a déclaré à la presse à Kinshasa, le ministre de la Justice Alexis Thambwe Mwamba.
La crème de la Diaspora n'entend pas restée en marge de la vie publique. A l'heure où la RDC est à la croisée des chemins, sa Diaspora s'invite légitimement au débat public. C'est le cas notamment de Gustave Moke, ancien rédacteur en chef au journal La Cloche, en exil au Royaume-Uni, devenu analyste politique après des études à Londres. Depuis, il fait la une de plusieurs médias pour ses analyses sur la situation politique de son pays. Pour cet analyste politique, les carottes sont cuites pour le régime Kabila. Il croit dur comme fer en l'alternance.
Le gouvernement, la mission concertée des Nations unies-OIF et la Céni ont passé à peigne fin l’appui nécessaire au processus électoral et identifié les besoins réels attendus de la communauté internationale.   L’appui nécessaire au processus électoral et l’identification des besoins réels attendu de la communauté internationale ont fait l’objet d’une réunion de haut niveau entre la Mission conjointe Nations-Unies et de l’OIF et une importante équipe gouvernementale de la RDC ainsi que des membres de la Céni, le lundi 2 mai à Kinshasa.
Edem Kodjo, facilitateur de l’Union africaine (UA) au dialogue politique national inclusif, annoncé par le chef de l’Etat, est dans de beaux draps. Le diplomate togolais peine à donner  corps à sa mission. L’élan pris pour mettre sur pied le comité préparatoire du dialogue s’est estompé brusquement. Désemparé et sans doute dépassé par la complexité du problème, l’émissaire de l’UA Edem Kodjo est essoufflé.

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