Politique

L‘évaluation de dernières élections des gouverneurs de vingt et une nouvelles provinces du pays a permis à la MP de constater la faiblesse dans son argumentation juridique relative à la contestation de l’élection des gouverneurs de l’Equateur et de la Mongala.   La Majorité présidentielle (MP) évalue les dernières élections des gouverneurs de vingt et une nouvelles provinces du pays et prend deux décisions majeures.
En dehors de quelques cas isolés, les élections des nouveaux Gouverneurs semblent s’être déroulées dans le calme. Mais, après coup, un certain signe indien semble pourtant pourchasser les nouveaux élus.   Mort d’un Vice-gouverneur à peine   Le tout nouveau Vice- Gouverneur de la Province du Bas-Uélé, François Barthélemy Mayonga, est décédé le dimanche 3 avril à Buta.
  Le ministre de la communication et médias, Lambert Mende Omalanga ne s’est pas empêché d’assimiler la dernière résolution de l’Onu à un agenda caché après le refus par le conseil de sécurité de l’Onu de réduire de moitié les effectifs de la Monusco au Congo-Kinshasa. Les proportions ne nous paraissent pas conformes par rapport à la réalité, explique-t-il. Le porte-parole du gouvernement insiste que le pays de Kabila n’a plus besoin de 19 mille hommes pour sécuriser ses frontières.
Le G7 a très mal digéré la sortie médiatique de Bruno Mavungu, le secrétaire général de l’Udps au sujet de la candidature portée par les ex- frondeurs de la MP sur la personne de Moise Katumbi. Après le plébiscite de l’ex-gouv du Katanga par le G7, le SG de l’Udps avait qualifié Katumbi de candidat de la Majorité présidentielle. Pour lui, Katumbi et Kabila, c’est la même chose. Au G7, on a considéré cette prise de position de Mavungu comme de la pure provocation.
  Après l’annonce par le G7 de la candidature de Katumbi à la présidentielle, le ministre congolais de la communication a qualifié cette désignation de l’ex-gouverneur du Katanga, d’une simple agitation. Lambert Mende considère que cette plateforme transfuge de la Majorité présidentielle ne peut pas désigner un candidat à la présidence sans même que les règles de jeu soient fixées par la commission électorale nationale indépendante. ‘‘Pas de fichier électoral, pas de calendrier électoral. Qu’est-ce qui justifie cette précipitation’’, s’est interrogé Lambert Mende.
  A peine que le scandale international sur les évasions fiscales éclabousse le monde financier avec la publication des piles des documents par les grands médias d’investigation du monde, le député de l’opposition, Jean Claude Vuemba hausse le ton. En première ligne comme d’habitude, le leader du Mpcr demande au procureur général de la république de diligenter déjà une enquête pour tous les congolais cités dans cette odieuse affaire d’évasion fiscale.
Le Conseil de sécurité de l’ONU a adopté le mercredi 29 mars dernier la Résolution 2277, dans laquelle il a prorogé jusqu’au 31 mars 2017 le mandat de la Mission de l’ONU pour la stabilisation en République démocratique du Congo (MONUSCO). Il a aussi insisté sur la tenue des élections prévues à la fin de l’année.
MLC jusqu’au bout, le sénateur Jacques Djoli n’attend pas se dédire. Bien au contraire.
Plusieurs engins de combat et des troupes sont de plus en plus déployés dans cette ville en cette période où la RD Congo s ‘approche de la fin du second et dernier mandat du chef de l‘Etat!   La ville cuprifère de Lubumbashi est de plus en plus militarisée ces derniers jours.
Nous saluons, comme il se doit, la Résolution 2277 du Conseil de Sécurité des Nations Unies adoptée à l’unanimité le 30 mars 2016.