Politique

Le prétendant à la magistrature suprême de cette plateforme de l’Opposition sera connu à l’issue du conclave axé sur « l’alternance démocratique en RDC ». Ce mercredi 30 mars ne sera pas un jour comme pour l’Opposition et, plus généralement, pour le landerneau politique Kinois. C’est ce jour que le G7 devra présenter son candidat à l’élection présidentielle. Cet oiseau rare sortira du conclave de cette plateforme politique qui se termine aujourd’hui. Outre son candidat à la magistrature suprême, le G7 devra se doter d’un programme et d’une feuille de route.
Dépêchée la semaine dernière aux Etats Unis, Mme Pierrette Mwenze Kisonga, le Questeur de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) et chargée du suivi du cadre de concertation "Genre et élection » a présenté l’état de lieux du processus électoral en RDC. Elle a aussi parlé de la place de la femme dans la réussite de ce processus. C’était devant les femmes leaders, réunies à New-York dans le cadre de la célébration de la journée internationale de la femme. Elle a présenté le nouveau management de la CENI, l’année 2016 étant électorale.
La Commission d’Intégrité et Médiation Electorale (CIME) a organisé du 29 mars au 1er avril, un atelier de réflexion sur la prévention des conflits électoraux avec l’appui de Counterpart International et le soutien financier de l’USAID. Les efforts de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) seraient insuffisants si le processus n’est pas apaisé. Toutes les parties prenantes doivent concourir à cette fin. La CENI a le bonheur d’avoir comme partenaire la CIME qui est comme un cadre d’échange et de dialogue permanent.
Le G7, la plateforme es sept partis politiques exclus de la Majorité présidentielle (MP) se dit "pret" à tous les sacrifices pour atteindre les "objectifs nobles" qu'il s'est assigné.
Moïse Katumbi a été parmi les panélistes  de l’Africa CEO Forum, ce rendez-vous d’hommes d’affaires et décideurs économiques   qui s’est tenu à Abidjan,  les 21 et 22 mars 2016. L’ex-gouverneur de l’ex-province a partagé sa vision d’une Afrique qui gagne. Entre la peur de revendiquer ses droits et le risque d’explorer d’autres modèles de développement, l’Afrique doit faire un choix, a lancé Katumbi.
Plus les échéances approchent, plus le G7 se met en ordre de bataille. Pour peaufiner ses stratégies, le regroupement politique qui ne cesse de donner des insomnies à la majorité au pouvoir, a programmé un conclave dont le thème général est éloquent : « Le G7 face au défi de l’alternance en République démocratique du Congo ».   C’est aujourd’hui mardi 29 mars que le G7, regroupement de sept partis qui ont quitté le bateau MP pour basculer dans l’Opposition, se retranche en conclave à Kinshasa, dans la salle des conférences de l’église Sainte Anne. Les enjeux sont de taille.
Les nouvelles formes de criminalité émergente préoccupent les pays d’Afrique centrale. Réunis à Kinshasa, les experts vont réfléchir sur des stratégies communes en vue de combattre ce fléau aux conséquences néfastes.   Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo, abrite, du 28 au 30 mars 2016 à l’hôtel du gouvernement, la 4ème réunion spécialisée sur les nouvelles formes de criminalité en émergence en Afrique centrale.
Le professeur Jules-Fontaine Sambwa s’est éteint. Pour rendre un hommage mérité à cet économiste de renom, nous donnons aux lecteurs la recension de cet ouvrage qu’Élavait publié en 1996, une année avant la chute du Maréchal Mobutu.   Le livre «Que faire pour sortir le Zaïre de sa crise politique » de Jules-Fontaine Sambwa, économiste, président du « Club Zaïre 2000 », a été publié,, en novembre 1996.
C’est un rebondissement spectaculaire dans ce qu’il est convenu d’appeler «l’affaire Yala Tutu», du nom de ce député ancien de l’opposition passé à la MP, et qui accuse trois députés de l’opposition d’avoir imité sa signature. Le plus étonnant, c’est la vigueur avec laquelle le président du bureau, Aubin Minaku, s’est embarqué dans cette affaire en autorisant les poursuites contre trois responsables des groupes parlementaires de l’opposition, au risque de donner l’impression d’en être carrément le commanditaire. Au Diable si la volonté de museler l’opposition est trop visible.
André-Alain Atundu Liongo, porte-parole de la Majorité présidentielle (MP) a estimé dimanche que les bons résultats de son camp qui a obtenu quatorze de vingt postes de gouverneurs des provinces lors de l’élection organisée la veille est le résultat d’une politique efficace mise en place au sein de sa plate-forme. L’opposition a une nouvelle fois accusé le camp présidentiel de corruption. «C’est le résultat d’une politique efficace et d’une campagne menée de façon efficiente. Nous avons jeté notre secrétariat dans la bataille.