Politique

Dans des salons huppés de la ville de Kinshasa, on parle, de plus en plus, des résultats d’un sondage sur les présidentiables qui émargent de l’Opposition pour les élections de 2016 en République Démocratique du Congo. Trois noms sont cités : Etienne Tshisekedi, Moïse Katumbi et Vital Kamerhe. Selon des bribes d’information parvenues à La Prospérité, les deux premières personnalités, c’est-à-dire, Etienne Tshisekedi et Moïse Katumbi se tiendraient dans un mouchoir de poche, avec une légère avance pour le président national de l’UDPS.  Vital Kamerhe les talonne.
Devant une commission du Sénat américain, le mercredi 10 février, l’Envoyé spécial de Barack Obama dans les Grands Lacs, Tom Perriello, a de nouveau plaidé pour le respect de la constitution.Pour Perriello, le non respect de la loi fondamentale entraîne ipso facto une escalade de conflits comme au Burundi, alors que les populations de la région aspirent à la paix, à l’Etat de droit et souhaitent construire un avenir très différent de leur passé.
Le Bureau de Liaison avec le Parlement (BLP) de la Conférence Episcopale du Congo (CENCO) a organisé vendredi 12 février une tribune d’expression populaire au centre Interdiocésain. Cette rencontre a été placée sous le thème " Le dialogue est une opportunité pour la relance du processus électoral dans le pays ". L’Abbé Donatien Nshole, secrétaire général adjoint de la CENCO a indiqué que leur structure veille à ce que le dialogue n’énerve aucune disposition de la constitution. Il a souligné qu’aucun gouvernement de transition ne serait issu de ces assises.
En cette année 2016, toute manifestation à caractère politique relative aux événements du 16 février 1992 n’a aucun lien d’esprit, ni de corps avec la Conférence nationale souveraine, moins encore avec la sauvegarde des acquis du processus démocratique, quand on sait que ces assises avaient été liquidées par la 3ème voie (ni Cns, ni Conclave politique de Kinshasa) en 1994, davantage par le Dialogue intercongolais de 2001 à 2003. Que s’est-il réellement passé le 16 février 1992 pour que " Dynamique ", " G7 ", " Filimbi " et " Front citoyen 2016 " en viennent à appeler à une " journée v
L’avocat du député national Martin Fayulu Madidi exige la libération de son client, arrêté dimanche 14 février au siège de son parti, dans la commune de Kasa-Vubu, à Kinshasa. Maitre Jean Marie Kabengela Ilunga l’a dit dans un entretien accordé à Radio Okapi : «Nous demandons sa relaxation pure et simple. Ce pays n’appartient à un individu ou un groupe d’individus.
  Le président de l’Union pour la nation congolaise, Vital Kamerhe a été tranchant. Le mandat du président Kabila arrive à terme le 19 décembre à minuit et il n’y aura pas de prolongation, a-t-il expliqué dimanche à Kinshasa. Il est inutile de concocter des plans qui ne vont pas réussir. M. Kamerhe, l’une des figures de proue de l’opposition congolaise a demandé au régime Kabila de ne pas briser le pacte républicain de Sun City en cherchant à s’éterniser au pouvoir.
  Le leader des Fonus , Joseph Olenghankoy a dénoncé la dictature du régime Kabila après l’arrestation dimanche de l’opposant Martin Fayulu. Dans un message fort, le modérateur de la Dynamique de l’opposition a prévenu que si Fayulu n’est pas libéré, tous les opposants vont se constituer prisonniers politiques. En outre, il considère que le pouvoir de Kinshasa va très loin en étouffant les libertés publiques. ‘‘Trop, c’est trop, le pouvoir de M. Kabila veut tuer la démocratie au Congo-Kinshasa, et ca ne ça ne passera pas’’, vocifère Olenghankoy.
Vital Kamehre, le leader de l'Union pour la nation congolaise (UNC), est l'un des principaux opposants congolais. Après avoir été, entre autres, secrétaire général du parti au pouvoir et président de l'Assemblée nationale, il est rentré dans l'opposition en 2010. L'organisation de la présidentielle prévue en novembre 2016 est aujourd'hui sa principale revendication. Entretien.
L’envoyé spécial des Etats-Unis d’Amérique dans la région des Grands lacs, Thomas Perriello soutient que «les obstacles majeurs à la tenue d’élections d’ici fin 2016 sont d’ordre politiques et non pas techniques».
Au cours d’un point de presse tenu hier à Kinshasa, le Secrétaire Général de l’UDPS, Bruno Mavungu, qualifie cette rencontre de succès et réaffirme que son parti ira au dialogue sous la facilitation de la Communauté Internationale conformément à l’Accord-Cadre d’Addis-Abeba et aux Résolutions des Nations Unies » N’en déplaise à ceux qui veulent plonger le pays dans le chaos, l’UDPS ira au dialogue parce que telle est la décision de son Président, une position partagée par toute la communauté internationale « , a déclaré Me Bruno Mavungu Puati, secrétaire Général

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