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Une guerre qui ne dit pas son nomLa République démocratique du Congo est connue pour ses guerres ouvertes : des conflits armés liés aux minerais stratégiques, des rebellions soutenues de l'extérieur, des luttes d'influence géopolitique. Mais derrière ces affrontements visibles se joue une autre guerre, plus sournoise, plus silencieuse, mais tout aussi destructrice : la guerre de l'identité.Depuis près de quarante ans, la RDC vit sans carte nationale d'identité pour ses citoyens.
Paul Kagame : Une petitesse d’espritÀ l’occasion du Global Gateway Forum à Bruxelles, le Chef d’État congolais a tendu la main au président rwandais afin de faire une paix de braves : « Je prends à témoin ce forum et à travers lui le monde entier pour vous tendre la main afin que nous fassions la paix de braves.
La question du droit d'Anicet Georges Dologuélé à se présenter aux élections présidentielles prévues en décembre prochain revêt désormais un caractère juridique, en République Centrafricaine.Le principal problème réside dans le fait que l'ancien Premier ministre possède un passeport français depuis 1994, ce qui est contraire à la Constitution de la République centrafricaine, qui interdit clairement la double nationalité.
Tribune Libre 138Dialogue national ou repêchage ?C’est avec intérêt que j’ai lu les extraits du discours du ministre belge des Affaires étrangères, Maxime Prévot, qui a donné son avis sur la condamnation à mort de l’ancien président Joseph Kabila. Il a, dans la même lancée, rappelé la nécessité d’organiser un dialogue national pour décrisper l’atmosphère vis-à-vis de l’opposition républicaine.
Avec la modernisation de la route Kananga-Kalamba Mbuji, financée par la Sino-congolaise des mines (SICOMINES), la population de la province du Kasaï central (Centre de la République démocratique du Congo), a noté un impact considérable sur leur revenu.  
L’Assemblée nationale vit des jours sulfureux depuis la démission de son président, le très controversé Vital Kamerhe.
Tribune Libre 1362028 : Fatshi va-t-il plier bagage ?La beauté de la démocratie réside dans l’équilibre entre le pouvoir et une opposition forte, structurée et crédible.Malheureusement, en RDC, depuis l’alternance de 2018, l’opposition n’est plus que l’ombre d’elle-même.Dans un pays où il n’existe aujourd’hui aucun prisonnier politique, beaucoup de ceux qui se réclament de l’opposition ont choisi le chemin de l’exil. Cette posture leur a valu le qualificatif de "opposition ya pete"Les 13 parlementaires face à Mobutu : un bel exemple 
Alors que la province s'emploie à se revêtir de sa plus belle robe au ragrd de sa dotation en ressources naturelles et humaines, la guerre du palais se déclenche pour raison de volupté acquisitve et d'intérêts sélectifs avec en toile de fond "le protagonisme".Pour une province victime d'injustice distributive depuis des décennies à la suite des megetions et gouvernances sans priorités, l'heure serait à la synergie autour d'un leadership porteur d'espoir à l'instar de celui actuellement au cœur des réalisations louables au Kongo central.
La mémoire est une maîtresse exigeante. Elle garde les traces des grandeurs comme des bassesses et rappelle à chacun que le prestige se construit goutte après goutte, mais s’écroule en torrents, comme le disait Sartre.De mémoire d’acteur politique congolais , j’ai beaucoup observé la classe dirigeante de notre pays. J’ai vu des hommes et des femmes, brillants par leurs diplômes, reconnus par leurs titres, trahir leurs propres mérites pour de l’argent, une nomination ou un simple maintien dans les privilèges sociaux.
New York, septembre 2025 - La République Démocratique du Congo (RDC) a une nouvelle fois porté devant les Nations Unies le lourd fardeau d’un conflit trop longtemps négligé.

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