Justice

jeu 10/12/2015 - 09:16
(Kinshasa) – Le gouvernement de la République démocratique du Congo devrait commémorer la Journée internationale des droits de l’homme le 10 décembre en libérant toutes les personnes détenues pour leurs opinions politiques ou pour leur participation à des activités politiques pacifiques.
jeu 10/12/2015 - 05:34
"Si on ne combat pas ce fleau, même les élections ne produiront pas de résultats escomptés", avertit le conseiller spécial du chef de l’Etat en matière de bonne gouvernance."Lorsque nous avons une évasion évaluée entre 10 et 15 milliard USD par année et que le pays continue à disposer d’un budget de 8 milliards USD, il vaut mieux inverser la tendance pour que le fonds qui échappe au Trésor public soit moindre par rapport à celui que nous avons dans la caisse", recommande Luzolo Bambi.
jeu 10/12/2015 - 05:26
Le Conseiller spécial du Chef de l’Etat congolais pour la lutte contre la corruption, le blanchiment des capitaux et la bonne gouvernance, Luzolo Bambi, estime qu’il faut faire de la lutte contre la corruption un combat vital pour tous. Il l’a fait savoir mercredi 9 décembre à Kinshasa à l’occasion de la célébration de la journée internationale anti-corruption.
jeu 10/12/2015 - 05:23
La ville de Kinshasa vient en tête des provinces touchées par les violations des droits de l’homme. Le rapport de l’Onu publié mardi 8 décembre a répertorié trente-trois cas de violations des droits de l’homme dans cette province. Le Nord-Kivu avec 27 cas vient en deuxième position. Cette province est suivie du Sud-Kivu avec vingt cas et du Kasaï-Oriental avec dix-sept cas. Le Kasaï-Occidental vient en dernière position avec onze cas.
mer 09/12/2015 - 12:51
Dans une mise au point, ce mouvement citoyen invite le Maire de Goma à lire attentivement la constitution dans ses articles 37 et 22 et les lois congolaises sur les ASBL consacrent la liberté d’association Citant un communiqué du maire de la ville de Goma daté du 3 décembre 2015, de nombreux médias relayent depuis quelques jours la rumeur selon laquelle le mouvement citoyen Lutte pour le Changement (LUCHA) serait désormais interdit de fonctionner, la LUCHA a fait une mise au point pour éclairer l’opinion.
mer 09/12/2015 - 11:05
L’Onu a publié un rapport accablant contre le régime de Kinshasa. Un rapport qui répertorie tous les cas de violation des droits de l’homme depuis le mois de janvier 2015 jusqu’à décembre. Les libertés d’association, de réunion, de manifestation publique sont ballonnées. Il faut ajouter à cela le musèlement de la presse et la traque des opposants. Entre janvier et septembre, le Bureau conjoint des droits de l’homme de l’Onu a documenté 143 cas de violation de droits de l’homme liés au processus électoral.
lun 07/12/2015 - 13:49
Le dossier Jean-Claude Muyambo est loin de se terminé. En effet, au cours de l’audience du 4 décembre 2015, la Cour suprême de justice constaté que l’un des magistrats de Lubumbashi n’avait pas été notifié. Ce qui a notamment poussé les juges à renvoyer ra cause au 15 janvier prochain, le temps de saisir ce magistrat.   Comme dit plus haut, l’affaire Jean-Claude Muyambo, inscrite sous le RPR 1175, a été renvoyée au 15 janvier 2016. Et pour cause ? Le magistrat Mikobi de Lubumbashi n’avait pas été notifié.  
lun 07/12/2015 - 11:22
Au cours de l’audience du 4 décembre 2015, la Cour suprême de justice a constaté que l’un des magistrats de Lubumbashi n’avait pas été notifié. Ce qui a notamment poussé les juges à renvoyer la cause au 15 janvier prochain, le temps de saisir ce magistrat.
lun 07/12/2015 - 11:04
Le maire de la ville de Goma, Malere Ma Micho Dieudonné a interdit au mouvement pro-démocratie- Lucha ‘‘Lutte pour le changement’’ d’exercer toutes activités sur toute l’étendue du chef-lieu du Nord-Kivu. Il affirme que ce mouvement ne dispose d’aucun document officiel l’autorisant de fonctionner. En réalité, il cherche noise à des jeunes qui dérangent le régime. Personne ne les supporte, a indiqué un responsable de la société civile locale. Les activistes de la Lucha se considèrent comme les sentinelles de la démocratie.
ven 04/12/2015 - 05:57
Après des longs mois d’audition et d’audiences, l’affaire Adellar Mineene, ancien gérant de la Coopec Imara, prend une tournure inquiétante à Goma au Nord-Kivu (RD Congo). La lenteur des procédures judiciaires et le changement des statuts de certains accusés sont autant de signes inquiétants pour l’opinion pourtant confiants en la justice. Deux mois de suspension, deux mois de retenue salariale, c’est la sanction infligée par la hiérarchie judiciaire à l’endroit de trois juges du Tribunal de grande instance de Goma, pour des faits non divulgués.