Politique

C'est à 19heures, heure locale, que Félix Tshisekedi et Vital Kamerhe, respectivement candidat président de la République et directeur de campagne, ont fait leur entrée dans la ville de Matadi dans le Kongo Central.

La synergie des missions d'observation citoyenne des élections (SYMOCEL) confirme, à travers une étude, que 46 meetings populaires organisés dans les 10 provinces de la RDC depuis le début de la campagne électorale ont bénéficié d'un encadrement de la Police nationale congolaise. "La SYMOCEL reconnaît que la présence policière est nécessaire pour l'encadrement des manifestations et le maintien de l'ordre public. Les rapports de la Mission attestent que seulement 58,69% des meetings de campagne ont été couverts par la police.

La Synergie des missions d'observation citoyenne des élections (SYMOCEL) condamne les actes de violence et d'intimidations survenus lors des certains rassemblements politiques organisés durant les deux premières semaines de la campagne électorale. Dans son rapport publié le 10 décembre 2018, la SYMOCEL affirme avoir collecté beaucoup de cas flagrants de violation des libertés fondamentales dans 20% des 46 meetings de campagne observés à travers 10 provinces de la RDC.

Les sources de financement de la campagne des candidats aux élections à venir fut l'un des thèmes développés dans l'enquête menée par la Synergie des missions d'observation citoyenne des élections (SYMOCEL). Le rapport de cette structure internationale, rendu public le 10 décembre, constate avec regret qu'un grand nombre de meetings organisé durant les 15 premiers jours de campagne électorale ont été financés par l'argent de l'Etat.

La Synergie des missions d'observation citoyenne des élections (SYMOCEL) s'insurge contre le recours aux discours haineux par les acteurs politiques pendant cette période de campagne électorale. Cette structure de la société précise que ces propos à caractère haineux ont été tenus principalement lors des meetings populaires organisés depuis le début de la campagne électorale le 22 novembre. Pour la SYMOCEL, ces genres de discours sont de nature à créer des hostilités entre les partisans de différents camps politiques et polluer l'environnement électoral.

Emmanuel Ramazani Shadary, dauphin du président Kabila, caracole en tête des candidats présidents de la République les plus médiatisés durant les deux premières semaines de la campagne électorale. C'est-ce qui ressort d'une recente étude menée par la Synergie des Missions d'Observation Citoyenne des élections (SYMOCEL), rendue publique le 10 décembre. Selon les statistiques de SYMOCEL, E.

Une étude de la Synergie des missions d'observation citoyenne des élections (SYMOCEL) sur la prise en compte du Genre en politique affirme que très peu des femmes ont pris la parole lors des meetings populaires organisés depuis le début de la campagne électorale. Les observateurs de la SYMOCEL déployés dans les 10 provinces de la RDC notent que les femmes n'ont eu que très peu d'apport comme oratrices dans plusieurs rassemblements politiques organisés pendant les 15 premiers jours de la campagne électorale. "La SYMOCEL a porté une attention particulière au Genre.

Le candidat N°4 à l'élection présidentielle du 23 décembre prochain est arrivé ce lundi 17 décembre 2018 à Kikwit dans la province du Kwilu. À son arrivée, c'est une foule immense qui accueilli Martin Fayulu Madidi candidat de la coalition de l'opposition LAMUKA. Celui qu'on surnomme Le Soldat du Peuple va tenir un meeting populaire dans la principale ville de cette province, en vue de communier avec ses électeurs dans le cadre de sa campagne électorale.

Le candidat du Front Commun pour le Congo Emmanuel Ramazani Shadary devait atterrir ce lundi 17 décembre à Butembo dans le Nord-Kivu, après l'étape de Goma. À la dernière minute, son déplacement a été annulé, suite aux tensions observées actuellement dans cette ville, favorisées par des manifestations spontanées de jeunes, doublées d'actes d'intolérance politique, organisées depuis dimanche 16 décembre dans la partie nord de Butembo.

Dans une interview accordée ce lundi 17 décembre 2018 à 7SUR7.CD au sujet de l'acceptation de la machine à voter par LAMUKA, la porte-parole de la Mission des Nations-Unies pour la Stabilisation du Congo, "MONUSCO", a salué cette position. Pour Florence Marchal, la MONUSCO ne peut que saluer toute démarche allant dans le sens d'organiser de bonnes élections conformément au calendrier électoral de la CENI. "La machine à voter, le fichier électoral, le mode de transmission des résultats...font partis de sujets de discorde.